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  • Astro Maya - Vendredi 22 Novembre 2013

    Vous

    Tendance du jour : accorder matériel et spirituel

    Votre combat dans la vie doit avoir lieu envers vous-même et non contre les autres. Ne recherchez pas les satisfactions que peut procurer une vie matérielle, ne vous obstinez pas dans une existence trop spirituelle. L’une est liée à l’autre, aussi c’est dans un ancrage entre ces deux pôles que vous trouverez votre équilibre. Votre ego doit être canalisé dans ses exigences afin d’accorder vos aspirations spirituelles avec la vie dans ce monde. Et c’est en évoluant que vous parviendrez naturellement à ce que ce soit votre âme qui oriente votre vie.

    Vous et les autres


    Tendance du jour : la concorde

    Il est temps de combattre les mauvaises habitudes que vous avez pu accumuler envers les autres. En effet, les bons sentiments ne sont guère à la mode et l’influence des films toujours plus violents et prônant l’idée que la vengeance doit remplacer la justice, ne sont pas un exemple à suivre. Prenez systématiquement le contre-pieds de toutes ces tendances, qui, si vous n’y prenez pas garde, risquent de vous influencer dans vos rapports avec ceux qui ne sont pas en accord avec vous. Souciez-vous d’être toujours un jardinier de paix, semant les bonnes graines là où poussent les mauvaises herbes.

     

    ton ange est là

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  • Compassion, mon Amie



    Comme je compatis à toute Vie, à tout Être, quelle que soit sa forme, son expérience !

    Je compatis à toute situation, qu’elle soit mienne ou inconnue. Je compatis à ma propre destinée, au jeu qui se révèle doucement chaque instant.

    Ainsi, comment puis-je m’en vouloir d’avoir fait tel ou tel choix ? Comment puis-je envier l’aventure de mon voisin, convoiter la réussite d’un autre, ou me poser des questions inadéquates sur le fait d’aimer tout, la Vie, la réalité, les rêves, l’Absolu ?

    Je suis née pour devenir une créature consciente de son Univers.

    Je suis née pour me réveiller à la Splendeur de toute chose.

    Je suis née pour être moi, emplie de « défauts » et de « qualités » humaines.

    Si je pense pouvoir m’éloigner de ce chemin, c’est que je cherche à convoiter celui d’un autre.

    Si je décide de regarder mes imperfections, c’est que je doute de ma réalité unique.

    Si je me lasse de certaines situations, c’est que j’ai oublié que tout n’est qu’un leurre, que je reconstruis chaque jour, lorsque je rouvre les yeux sur ce monde aux folies multiples.

    Alors, j’aime ! J’aime Moi et moi. J’aime mon ouvrage du moment. J’aime tout ce qui m’entoure, des fleurs aux oiseaux dans le ciel. J’aime à cœur perdu cette minette qui s’affale sur mes genoux, lorsqu’elle pressent que je vais voguer dans les nuées sans limites. J’aime respirer la Vie, la sentir vibrer, s’affoler, s’alanguir, se reposer, s’étirer, être.

    J’aime par-dessus tout, tout ce Qui est, ici et maintenant.

    J’aime ce que d’autres trouvent laid, cruel, innommable, insupportable. Non pas par irrespect ou désinvolture, mais parce que je n’ai pas choisi cet aspect de ma vie. Je compatis de toute mon âme, de tout mon cœur, de tout ce Que je suis, et déverse mon Amour sans fin vers ceux qui peinent, qui souffrent, qui se sacrifient, qui pleurent, qui abdiquent. Je leur rends grâce de me faire remarquer ce que je n’ai pas choisi d’être. Je les remercie de me montrer leurs périples, tout en n’y prenant pas part. Je pourrais sembler sans cœur, impassible, irrespectueuse ou opportuniste, mais il n’en est rien. Je comprends la souffrance pour l’avoir connue maintes fois et encore. Je comprends le manque, car il a fait un bout de route en ma compagnie. Je comprends l’absurde pour l’avoir vu se poser sur mon cœur, et versé des larmes amères, tant de fois.

    A ce que je ne peux changer : je le regarde avec compassion, même si quelque chose en moi se rebelle, ou souffre de tant de sottises inutiles.

    A ce que je ne peux comprendre, je laisse mon intellect analyser le fait et trouver où le ranger, pour plus tard, ou pour jamais.

    A ce que je ne peux aimer, je m’en excuse et souris tendrement. Je ne suis pas un dieu, un surhomme, une fée, une divinité, une magicienne, je suis moi, tout simplement. Je m’octroie des choix et les expérimente jusqu’à la lie. Je dissèque, pour mieux goûter, tout ce qui se présente à moi, pas à pas, instant après instant. Et je me rassasie de tout ce qui m’est offert ou de tout ce que j’ai décidé de savourer. La vie est si immense et généreuse.

    Si j’analyse le mot « compassion », il résonne en moi : avec passion. C’est ainsi que je mène mon expérience : avec passion.

    Ma passion m’a révélée de merveilleuses aventures, puisque ne sachant jamais faire les choses à moitié. Elle m’a permis de me tromper et de croire aux légendes, aux contes doucereux, aux histoires d’Amour, et de dégringoler la pente amère de la désillusion. Ma force m’a donné la possibilité de me relever à chaque fois, pour repartir de plus belle, vers des ailleurs plus cléments. Et j’y suis parvenue, tout en étant si loin du drapeau « arrivée ». Il me reste tant à voir, tant à découvrir, qu’une seule vie ne me suffira jamais.

    J’aime. J’aime dans l’absolu depuis ma naissance. Je suis peut-être « fleur bleue », mais n’est-ce pas ainsi que l’on reste dans une certaine frivolité, une insouciance salutaire et non suicidaire ? N’est-ce pas cette petite folie qui nous maintient la tête hors de l’eau quand tout se noie autour de nous ? Dans mon for intérieur, je sais que rien ni personne ne pourra détruire totalement cette partie de moi. Je suis elle, elle est ma personnalité et nous jouons bien ensemble.

    Je compatis pour ceux qui ne savent plus rêver, qui ne peuvent plus s’émerveiller d’un vol de papillon, d’un éclat de rire de bébé, d’une brise douce qui câline nos sens, d’un regard amoureux qui fait frémir notre cœur. Je compatis pour ceux qui ont choisi la lutte, contre la vie, contre la mort, contre les injustices, contre tous, contre eux. Je les aime d’autant plus que je comprends leur expérience, puisque c’est un des choix que j’aurais pu faire. Je compatis envers tous ceux qui se battent pour leurs coutumes, leurs valeurs, leurs opinions, leurs devoirs, leurs acharnements, leurs convictions, leurs défaites. Je les embrasse toutes. Personne n’a jamais eu tort, personne n’a jamais eu raison, mais tous ont suivi leur cœur, leur famille, leur habitude, leur tradition, leur bon sens.

    C’est ainsi que je m’émerveille de la complexité que nous avons décidé d’expérimenter. Cet écheveau, garni de possibles, est le meilleur refuge qui soit, lorsque la lassitude envahit chacun de nous. Il ne nous reste qu’à cueillir la pomme qui réjouira nos sens et nous fera ressentir que la Vie peut tenir dans une seule main.

    La compassion envahit ce Que je suis et l’Amour infini l’accueille dans son berceau éternel…

    Comme vous êtes Beaux et Belles ! Et quel bonheur d’être en votre compagnie …quel doux bonheur.

    Avec passion, j’aime, je vous aime !

    Rédigé par : Pascale Arcan

    http://www.lesperlesdelunivers.fr/

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  • La compréhension juste des qualités de l’Être




    Lors de notre parcours dans l’expérience humaine, depuis notre naissance, et notamment dans l’enfance, nous avons été impressionnés (nous avons assimilés des principes en nous) par les comportements extérieurs, en particulier ceux de nos éducateurs, d’abord nos parents puis les enseignants. Si ces comportements n’étaient pas juste, qu’ils ne reflétaient pas de pures qualités de l’Être, à notre tour, nous pouvons être en difficulté pour les exprimer, n’ayant pas été confrontés au bon exemple.

    Il est sûr que chacun à ses forces et ses faiblesses, et s’exprime simplement selon son niveau de conscience et ses croyances sur la façon dont devrait de dérouler la Vie. Déjà, la Vie est-elle sensée se dérouler de telle ou telle manière ? N’est ce pas un moyen d’essayer de contrôler celle-ci ? Ne serait-il pas plus sage de s’abandonner à Son courant, sachant que qu’Elle est toujours de notre côté, et qu’elle nous soutient constamment. La Vie, et j’entends par là La Source en nous, est en effet, à chaque instant, d’un amour constant et d’une Présence sans conditions. En acceptant de cesser de donner de la valeur à notre mental linéaire (moi, je sais ! et je juge), en osant se redéfinir différemment, du point de vue de la conscience (dans le cœur), nous nous alignons sur les principes corrects de la Vie, ceux qui nous élèvent, nous rendent autonomes et puissants. Et cet alignement nous permet de vibrer de façon juste, à notre manière, les principes universels.

    Ainsi, il est important de redéfinir, de réhabiliter la définition juste des qualités qui dictent nos comportements, et je vous invite, dans une introspection personnelle, à voir de quelle manière vous comprenez ces mots, et comment ils vous ont influencé :

    - L’autorité, ce n’est pas l’autoritarisme. L’autorité bienveillante permet d’offrir à l’être une ligne directrice, de se tenir droit, et de lui fournir des repères sains pour ses choix personnels. Elle apprend le positionnement juste, et véhicule une rigueur bienfaitrice.

    - La rigueur, ce n’est pas la rigidité. Elle dirige vers l’autonomie et la constance, elle offre de la force et soutient aussi la droiture. La rigueur est une base essentielle qui permet, dans le quotidien, de rester fidèle à ses choix, de se respecter et de s’honorer. Elle est une des bases de l’Amour.

    - L’Amour, ce n’est pas la permissivité. L’Amour est une force (la plus grande d’ailleurs) et porte l’être vers son niveau le plus haut. L’Amour, c’est d’abord se respecter et s’honorer en se reconnaissant en tant d’Être Divin. Puis c’est aussi s’aimer dans son humanitude, dans la reconnaissance de cette condition imparfaite. L’Amour commence par soi, et permet de se dire : « je choisis de m’aimer, même si je suis triste, même si je suis fatigué, même si je suis frustré, angoissé… car je sais que ces expériences sont temporaires, alors que l’Amour est la base de la Vie ». Nous sommes l’expression de l’Amour en incarnation et nous apprenons à nous améliorer dans ce contexte, par nos interactions, nos relations. L’amour que nous choisissons de nous porter (et par extension, d’offrir aux autres) nous invite ainsi à poser des limites saines (ne pas tout permettre), et à exprimer de la compassion.

    - La compassion, ce n’est pas de la pitié. La pitié est une expression de la personnalité inférieure, inconsciemment, elle contient un jugement, et elle est concentrée sur la souffrance. La compassion, c’est offrir la lumière de la Conscience Divine sur une situation, sans y porter un quelconque avis, et sans entrer dans la souffrance, mais en restant tourné vers la solution. La compassion est ainsi une force qui nous permet d’exprimer notre sensibilité.

    - La sensibilité, ce n’est pas la sensiblerie. Elle est une qualité supérieure qui nous permet de vibrer et d’exprimer notre créativité. Elle nous aide à identifier nos émotions pour mieux apprendre à les maîtriser. Elle nous maintient dans notre authenticité et notre Unicité. La sensibilité est donc une qualité qui nous aide à nous affirmer.

    - L’affirmation de Soi, ce n’est pas du dirigisme ou de la supériorité. L’affirmation de Soi soutient le développement et le rayonnement de la personnalité, et l’expression, encore une fois, de l’Unicité. Elle permet de se définir dans ce monde, sans rapport ou comparaison avec l’extérieur, mais dans la reconnaissance de notre valeur et de nos qualités personnelles, de nos spécificités. Nous sommes tous Divins, issus de la Source, et nous avons tous choisi de l’exprimer d’une manière unique, telle que nous l’appréhendons. Et cela est Juste et Respectable. Nous rayonnons ainsi de confiance.

    - La confiance, ce n’est pas de l’orgueil. L’orgueil a pour base la peur de ne pas être à la hauteur, et s’appuie sur le complexe de supériorité, une facette de la personnalité inférieure (dans la non reconnaissance et compréhension des principes divins). La confiance, à l’opposé est une qualité divine, l’affirmation de l’Être qui se reconnaît lui-même, et qui affiche son authenticité. C’est une appréciation et claire de Soi, dans la Simplicité.

    Redéfinir ces qualités de manière juste, les reconnaître et désirer les incarner, à notre niveau, et suivant notre compréhension du moment, qui va toujours en s’élargissant, nous amène à vibrer notre note personnelle d’une manière plus juste et à équilibrer nos relations, autant intérieures que d’extérieures. C’est un exercice de Justesse.

    Rédigé par : Sophie Riehl

    http://www.natureetharmonie.net/

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  • Astro Maya - Jeudi 21 Novembre 2013

    Vous

    Tendance du jour : l’éveil

    Accéder à la connaissance signifie acquérir une parfaite compréhension de vous-même, et surtout une totale compréhension de la vie. Votre but pour y parvenir est d’éveiller votre conscience en vous élevant vibratoirement. Ne craignez pas les moments difficiles, perturbants et déstabilisants. Restez bien centré(e) pour passer les étapes, sachant que lorsque vous recherchez l’amour et la compassion vous serez toujours protégé(e). Plus vous progresserez, plus la puissance qui demeure en vous se développera.

    Vous et les autres

    Tendance du jour : l’esprit sain


    Ne vous préoccupez pas de ce que renferme votre porte-monnaie mais plutôt de ce que contient votre esprit. Faites en sorte d’avoir en permanence la pensée juste pour que vos actes soient en accord avec votre nature profonde qui est d’aimer les autres quoi qu’il arrive. Ne les jugez pas, ne les condamnez pas. Acceptez-les comme ils sont, avec à l’esprit la conviction que chacun évolue et que demain sera meilleur que la veille grâce aux expériences vécues au quotidien.

     

    enfant fee

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  • Les fréquences supérieures de l’Esprit



    Lorsque des pensées de fréquence supérieures sont présentes, elles sont captées par la portion éveillée de votre cerveau.

    La glande pinéale, qui est située à l’arrière de votre tête, capte cette fréquence supérieure et se met à enfler, et vous pouvez ressentir des maux de tête, des vertiges ou une grande légèreté dans la tête. Cette fréquence est alors transformée en un courant électrique de haute tension et envoyée par le système nerveux central à chaque cellule de votre corps. Vous ressentirez comme une poussée à travers le corps, ou bien des fourmillements, ou une impression d’être physiquement allégé, car une énergie supérieure à celle que vous ressentez habituellement y circule alors. Cette fréquence enflamme chaque cellule, ce qui en élève la fréquence vibratoire.

    Plus vous captez des pensées illimitées, plus les vibrations du corps s’intensifient. Et votre corps commence à donner l’impression de luire parce que vous commencez à faire retourner le corps de la densité à la lumière.


    Comment peut-on décrire le sentiment suscité par les pensées illimitées ? On ne le peut. La connaissance d’une pensée illimitée ne peut se traduire par aucun mot car c’est l’expérience d’une pensée nouvelle, une émotion nouvelle, un sentiment immense qui vous émeut d’une manière profonde mais en même temps très paisible. La connaissance vous vient comme pure sensation : émotion soudaine, non identifiée, sans nom.

    La plupart de ceux qui sont à la recherche de l’illumination pensent qu’elle se produira sous forme de mots. Mais si l’objet de votre compréhension pouvait être décrite avec des mots, vous l’auriez sentie auparavant. Si cela est impossible, et que cela prenne la forme d’un sentiment simplement, ce que vous ressentez est du génie ; c’est de l’intelligence ; c’est en vérité de la pensée illimitée.

    Toutes les choses que vous avez cherché à comprendre n’ont pas de mots ; elles ont de l’émotion et de la vision. Et lorsque la connaissance surviendra, elle vous rendra muets d’émotion. Limiter la pensée est l’art d’y associer des mots. Un maître n’explique rien ; il sait, simplement. Pour expliquer, il devrait se limiter.

    Lorsque vous en arrivez au point où vous savez, simplement – sans besoin de justifier ou d’expliquer votre connaissance, vous êtes en vérité le maître de votre royaume.

    Alors, vous êtes dans la connaissance absolue. Qu’advient-il du sentiment d’allégement physique ressenti devant ces pensées de fréquence supérieures ? Il est préservé dans votre âme qui le maintiendra à jamais comme mémoire. Votre âme permet que la mémoire de pensées illimitées se produise par l’émotion, par le sentiment. Ainsi, ceci appartient à jamais à votre connaissance, et ce que vous vous êtes autorisé à capter peut être atteint à volonté.

    Autre chose merveilleuse au sujet de ce sentiment d’allégement : votre âme, de par votre champ aurique, le transmet au flux de la conscience, ce qui non seulement allège la densité de la conscience mais attire dans votre vie une situation qui produira le même sentiment. Pour quelle raison ? Afin que cette pensée puisse être complètement comprise grâce à l’expérience.

    Lorsque la pensée à fréquence supérieure est intégralement comprise, elle est enregistrée dans votre âme comme sagesse. La sagesse est atteinte lorsque la connaissance a été solidifiée en vous, qu’elle est devenue absolue. Non seulement la sagesse élève le niveau de fréquence de l’âme ce qui fait que votre vie sera conforme à son être émotionnel supérieur mais elle active aussi la pituitaire afin de permettre au cerveau de capter et de raisonner des pensées de fréquence encore supérieures, et ainsi de suite. Lorsque la glande pituitaire commence à s’épanouir, votre vie change au-delà de toute attente. Toute pensée sera l’occasion d’une vive émotion.

    Alors que la connaissance que vous ressentez en vous devient créatrice, vous commencez à voir vos pensées se manifester de plus en plus rapidement. Votre amour, votre compréhension, votre compassion sont accrus. Et certaines entités sortent de votre vie car vous avez atteint une compréhension d’un niveau différent. À leur place, d’autres, de pensée comparable, se trouveront attirés dans votre vie.

    Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “?traduit par Chantal Lafont?Chapitre 19 – Ouvrir son esprit?Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

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  • Nos facultés de conscience supérieure



    Bientôt, alors que l’intelligence, la créativité et la connaissance s’intensifient en vous, vous commencez à connaître et à sentir des choses que vous n’aviez jamais auparavant connues ou ressenties. Regardant une autre entité, vous ressentirez cette entité en votre être. Vos pensées vous dévoileront votre avenir.

    Croyez-vous que les facultés métapsychiques soient une rareté ? Si oui, vous raisonnez suivant les critères de la conscience sociale, et la conscience sociale ne considère pas ces facultés supérieures normales. Tout le monde possède ces facultés métapsychiques. Lorsque vous vous permettez de connaître, vous connaissez tout, car la connaissance – libérée des illusions de la conscience sociale ôte le voile de devant vos yeux et vous permet de voir d’autres dimensions. Elle désembourbe vos oreilles et vous permet d’entendre la musique de toute vie vibrant en harmonie avec elle-même. Comment cela peut-il bien se produire ? En le désirant.

    Plus votre désir de l’illimité est puissant et plus vous embrassez et ressentez les pensées qui se présentent, plus la pituitaire secrète son hormone et plus large sa bouche devient-elle. Plus vous avez le désir d’aimer ce que vous êtes et de vivre dans la connaissance, plus le Dieu qui entoure votre être ouvre votre cerveau, toujours plus. Vous devenez alors plus que votre corps. Vous devenez ce qui vous maintient en vie.

    La pituitaire est en vérité la porte qui mène à Dieu. Plus vous acceptez de pensées illimitées dans votre cerveau, plus elle s’ouvre. Plus elle s’ouvre, plus votre connaissance grandira. Et ce que vous saurez, vous le deviendrez. La fleur émet une fréquence de pensée. Au même moment, le tapis émet une fréquence de pensée. Dès lors que vous avez acquis l’aptitude de capter tout l’éventail des fréquences de pensée, vous êtes aptes à devenir à votre gré toute fréquence finie. Vous êtes alors absolument libre de devenir le vent ou quoi que ce soit d’autre que vous désiriez devenir.

    Bientôt, l’intégralité de la pituitaire se trouve pleinement épanouie et le cerveau complètement activé. Alors, tout ce qui appartient au corps spirituel de la pituitaire est livré à l’esprit entier, et l’esprit ne peut plus jamais retourner à un état de limitation.

    Une fois que la fleur commence à s’ouvrir, elle ne se referme jamais ; elle est ouverte pour l’éternité des temps.

    Lorsque votre cerveau est pleinement activé, vous n’avez plus à vrai dire de point fixe dans la réalité. Vous pouvez vous trouver ici et en même temps au septième niveau ; vous pouvez être au septième niveau et en même temps dans les Pléiades ; vous pouvez être dans les Pléiades et en même temps aux côtés d’un ami.

    Une fois votre pituitaire épanouie, vous ne mourez plus ; vous ne vieillissez plus. Le corps fera ce que vous lui direz de faire. Vous pouvez dire à votre corps d’accélérer sa fréquence vibratoire et il s’élèvera dans une autre dimension. Votre cerveau est à ce point puissant. Vous pouvez même ressusciter votre corps. Arrivés à ce niveau de pouvoir, vous portez la couronne divine de Dieu. Et ; étant pur Dieu, pure vie, vous êtes à jamais. Alors, vous êtes tout. Ceci est le ciel le plus sublime. Ainsi le septième sceau s’est couronné lui-même, et votre esprit est totalement éveillé, et le déploiement entier de la connaissance peut être capté par votre magnifique récepteur. Plus vous connaissez et plus votre corps fait l’expérience de cette fréquence, plus les vibrations de votre corps s’accélèrent jusqu’à devenir toujours plus léger. Alors, un jour, lorsque vous aurez aimé et embrassé toute vie – que l’âme en a fini avec les Expériences de ce monde cette même connaissance et cette même vibration s’accroîtront des millions de fois, rendant le corps invisible et détaché de ce lieu. Alors vous serez dégagés de la roue de la vie.

    Extrait du livre ” Ramtha, Le livre blanc “?traduit par Chantal Lafont?Chapitre 19 – Ouvrir son esprit, ?Editions AdA Inc. Varennes (Qc)

    http://francesca1.unblog.fr/

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  • Maîtres Créateurs en Devenir



    Cette canalisation fait partie d’une session privée avec Saint-Germain canalisée par Alexandra et Dan. Elle est reproduite avec le consentement de leur client.

    JE SUIS Saint-Germain. Lorsque vous osez vous fondre avec votre Âme dans cette vie, vous exprimez la Vérité Sur Vous. Vous reconnaissez que Vous Êtes Dieu, aussi, et que vous êtes désireux de vivre votre vie de cette manière. Ce n’est ni une déclaration de faux orgueil, ni de la supériorité spirituelle — c’est la reconnaissance simple, sérieuse, de ce que vous êtes la Source et l’auteur de votre propre vie.

    C’est une déclaration de votre maîtrise, et un merveilleux bond en avant dans votre conscience.

    Lorsque vous franchissez cette étape, vous reconnaissez que vous êtes un foyer individualisé de conscience de Soi au sein de la plus grande vie du Dieu Source — uniquement vous, mais Dieu, aussi.

    La résolution de ce paradoxe dans votre esprit est un signe de maîtrise. Vous comprenez maintenant que toute la puissance de Dieu est investie en vous. Et pour cette raison, vous savez que vous pouvez créer des réalités, les aimer et en faire pleinement l’expérience — tout comme Dieu le fait.

    C’EST CELA la maîtrise.

    Reconnaître Votre Maîtrise

    Mais que se passe-t-il quand vous reconnaissez votre maîtrise pour la première fois — quand vous voyez enfin que tout ce que vous avez jamais expérimenté est votre propre création ? Les joies et les peines sont à vous seul. Les hauts et les bas, c’est vous qui vous les avez attirés sur vous. Personne d’autre ne peut être blâmé.

    Vous précipitez-vous en hâte pour améliorer les choses ? Retracez-vous chacune des lignes que vous avez déjà écrites, ou modifiez-vous chaque coup de pinceau déjà déposé sur la toile de votre vie ?

    Non, vous ne le faites pas. Ces travaux sont terminés.

    En tant que maître, vous les acceptez pour ce qu’ils sont — des expressions de la connaissance et de l’expertise que vous aviez au moment où ils ont été créés. Vous les aimez, et vous passez à autre chose.

    Vous prenez une nouvelle toile, et vous dessinez ou peignez à nouveau, mais cette fois avec une conscience retrouvée du créateur que vous êtes.

    Création Consciente

    Pour beaucoup de gens, s’accepter en tant que maître créateur est déstabilisant.

    Après tout, c’est une chose de créer inconsciemment — générer un portrait de vous-même après l’autre sans reconnaître que vous êtes l’artiste. Il est facile, ainsi, de prétendre que les défauts que vous voyez sur ces images sont le résultat de l’œuvre de quelqu’un d’autre, et puis les en blâmer. Mais c’est une pensée délirante.

    Créer consciemment est une toute autre affaire.

    Lorsque vous êtes un créateur conscient, vous savez que vous êtes l’artiste. Vous savez que vous avez le choix du moyen d’expression et vous choisissez les outils pour exprimer votre Soi. Et vous êtes conscient que vous seul déterminez si vos créations, et votre processus créatif, vont vous passionner ou non.

    Oui. Accepter le fait que vous êtes le maître créateur de votre propre réalité peut être très déstabilisant, même quand vous entrez volontiers par vous-même dans cette conscience.

    La Peur de Créer

    Ironie du sort, lorsque vous entrez pour la première fois dans la conscience de votre maîtrise, vous avez souvent peur de créer à nouveau.

    La responsabilité semble tout simplement trop difficile à gérer. Il se peut que vous ayez encore le souvenir de ce que c’était que de créer inconsciemment, et de ne pas avoir apprécié ce que vous aviez créé. C’est ce qui vous inhibe maintenant.

    Si vous êtes artiste, vous pourriez commencer à vous sentir mal à l’aise avec vos outils. Vos brosses pourraient sembler moins familières, et les couleurs que vous utilisiez dans le passé pourraient vous déplaire maintenant. La toile vierge, plutôt que d’inviter votre expression, vous fait tourner les talons. C’est neutre et vide — un endroit où rien ne peut être connu et où rien ne peut être découvert. Et plus vous insistez sur votre dilemme, plus vous vous sentez bloqué.

    Cela vous rappelle quelque chose ? Vous connaissez ce sentiment ?

    Qu’allez-vous faire ? Peut-être n’êtes-vous pas le maître que vous vous imaginiez être.

    Si vous continuez sur cette pente, alors avant même de vous en apercevoir, vous allez vous convaincre que vous êtes incapable de créer.

    « Je n’ai ni les outils, ni la technique, ni le talent pour la tâche. Alors, pourquoi me casser la tête ? La meilleure chose à faire est peut-être de laisser tomber. De toute façon, personne ne s’en apercevra. »

    Et c’est ce que vous faites.

    Ce genre de résignation est triste, et complètement inutile.

    Il y a une autre méthode. Et nous allons vous raconter l’histoire de quelqu’un qui l’a trouvée.

    Michel-Ange

    Vous connaissez peut-être Michel-Ange. Il était bien connu à son époque, et encore plus maintenant, pour son art très raffiné de la sculpture de la forme humaine dans le marbre. Il était passé maître dans son art à un âge très précoce, et il le savait.

    Au début des années 1500, Michel-Ange fut invité par le pape pour peindre le plafond de la chapelle Sixtine à Rome, un projet qu’il a mis quatre ans à parachever. Âgé d’à peine une trentaine d’années, il était inquiet et plein d’appréhension. Dès le début il dit au pape qu’il préférerait ne pas accepter la commande.

    Michel-Ange savait qu’il était un maître sculpteur, mais il ne se considérait pas vraiment comme un peintre. Bien sûr, il avait suivi une formation de peintre dans sa jeunesse, et traçait encore des esquisses presque tous les jours, mais sa confiance dans les pinceaux et les pigments n’avait rien à voir avec celle qu’il avait dans son marteau et son burin.

    Michel-Ange était également préoccupé par les motivations qui sous-tendaient cette requête. Il soupçonnait ses rivaux d’avoir encouragé l’invitation du Pape pour le voir échouer. Après tout, l’ampleur de la tâche était colossale — et elle devait être effectuée en utilisant des outils et un support (couleur sur plâtre humide) qui n’étaient pas ses préférés.

    Malgré ses appréhensions et son doute sur lui-même, Michel-Ange accepta la commande. Le résultat est l’une des plus belles œuvres de l’histoire de l’art en Occident.

    Bien sûr, il y avait de nombreux obstacles à surmonter sur le chemin : concevoir un échafaudage sur lequel tenir debout tout en peignant très haut au-dessus du sol ; élaborer une formule de plâtre qui résiste aux moisissures et aux champignons ; tracer un schéma de couleurs qui puisse être vu bien loin du plafond ; et surtout, créer des pinceaux et des coups de pinceau qui transmettent la dramaturgie et l’apparat des thèmes bibliques.

    Ce qu’il fit avec une maîtrise consommée.

    Vous Êtes un Maître de la Conscience de Soi


    Comme Michel-Ange, vous avez atteint un haut niveau de maîtrise. Vous êtes un maître de la conscience de Soi. La conscience de Soi c’est savoir que Vous Êtes Dieu, aussi. La maîtrise de Soi signifie que vous vivez votre vie de cette manière.

    La maîtrise de Soi signifie aussi que vous comprenez la nature de la création et que vous reconnaissez votre partenariat avec Dieu dans ce domaine. Vous savez que les créations proviennent des croyances que vous entretenez dans votre esprit conscient (ou inconscient) ; et que le Dieu Source, le Plus Grand Vous, Se ré-assemble autour de ces désirs pour vous apporter l’expérience que vous avez demandée.

    Vous êtes libre d’expérimenter la réalité de vos créations de n’importe quelle manière de votre choix. Mais quand vous avez maîtrisé la conscience de Soi, les pensées dans votre esprit sont guidées par l’Amour qui est dans votre cœur, afin que vous ayez une expérience cohérente de la Divinité dans tout ce que vous créez.

    Le Maître Devant la Toile

    Comme Michel-Ange, il y a des moments où vous pouvez vous sentir mis au défi par le potentiel créatif que vous possédez — par l’ampleur et la portée de ce dont vous êtes capable en tant que créateur conscient. Peut-être que maintenant, avec la conscience retrouvée de votre maîtrise, vous vous sentez propulsé dans un territoire inconnu. Dans des royaumes au potentiel inconnu ou non encore essayé.

    Vous vous retrouvez face à quelque chose de plus vaste et de plus grandiose que ce que vous avez rencontré avant. Mais ce phénomène est naturel. Des avancées majeures dans la conscience sont souvent accompagnées d’opportunités nouvelles et inhabituelles, alors n’ayez pas peur.

    Oui, vous pouvez vous sentir comme un artiste privé de ses outils familiers. Mais sachez que vous avez maintenant la possibilité de créer quelque chose de complètement différent — quelque chose qui combine vos connaissances, vos compétences et la maîtrise d’un nouveau procédé de création.

    Ce qui vous déconcerte, c’est le sentiment de quelque chose d’inhabituel.

    Jusqu’à présent, vous avez créé votre vie avec des outils familiers — des modèles de pensée récurrents et des habitudes d’erreur d’identification. Vos efforts ont produit des résultats magistraux. Peut-être pas ceux dont vous êtes satisfait maintenant, mais néanmoins magistraux.

    Mais tout cela est en train de changer. Maintenant que vous vous rappelez Qui Vous Êtes Vraiment, ne soyez pas si dur envers vous-même s’il vous plaît. Accordez-vous du temps pour vous réadapter à ce changement dans votre conscience, jusqu’à ce que vous puissiez trouver un endroit à partir duquel créer à nouveau avec confiance.

    Être Calme, se Tourner vers l’Intérieur

    Alors, que faites-vous de cette opportunité de créer à nouveau d’une manière entièrement nouvelle ?

    Demandez-vous : que Michel-Ange a-t-il fait quand il a eu un pinceau dans la main, à la place d’un ciseau, et qu’on lui a dit de peindre au lieu de façonner la pierre ?

    Était-il désespéré ? A-t-il paniqué ?

    A-t-il pensé : « Rien ne m’est familier, je ne peux donc rien faire. Je ne dois plus être un maître » ?

    Bien sûr que non.

    Au lieu de cela, il a fait l’inventaire de ce qu’il maîtrisait. Il s’est rendu compte que son habileté résidait dans son savoir, pas dans ses outils, et que sa créativité pouvait s’exprimer de plusieurs manières — en utilisant des compétences multiples, et pas seulement une.

    Sa maîtrise n’a pas disparu avec l’absence du marbre qu’il aimait sculpter. Il pouvait encore imaginer la forme et la symétrie comme avant. Sa maîtrise de la perspective n’avait pas changé. Et son appréciation de la couleur et des ombres était intacte. Rien n’avait changé.

    Il était un maître créateur

    Il était capable d’adapter ses connaissances au changement de sa situation, d’embrasser le procédé plus vaste qui lui était offert, et de créer à nouveau avec une inspiration renouvelée.

    Il était un maître créateur. Et vous aussi.

    L’inspiration dans le Monde Nouveau

    Lorsque vous aurez accepté votre maîtrise, et réalisé que votre aptitude créatrice transcende tout ce que vous avez connu auparavant, alors vous n’aurez plus peur de créer à nouveau.

    Au lieu de cela, vous entretiendrez une vision de votre Divinité et la ferez vôtre, en respirant profondément en elle pour l’appeler à la vie. Vous devrez charger votre pinceau avec la couleur, tracer une ligne, et commencer à travers la toile le parcours d’un mouvement qui n’appartient qu’à vous.

    Vous arrêterez de vous comparer avec tout ce que vous avez été précédemment, ou ce que vous avez un jour désiré être. Vous allez franchir le seuil de la Connaissance Intérieure et constater que vous donnez naissance à de nouvelles expressions de Qui Vous Êtes Réellement.

    Vous vous sentirez soulagé au niveau mental parce que vous saurez que vous êtes guidé par votre intuition, et non par vos attentes. Et vous vous sentirez soulagé au niveau émotionnel parce que vous serez libre de jugement de soi et de critique.

    Vous réaliserez que vous êtes entré dans un Monde Nouveau — un monde de fluidité et de facilité, où la liberté d’expression est vôtre par droit de naissance.

    Et quand votre création sera là devant vous, entière et achevée, vous serez émerveillés de ce que vous avez fait. Vous pourrez regarder le Nouveau Vous avec les yeux de l’innocence — avec les yeux de l’Amour — en ne reconnaissant presque pas que c’est vous qui lui avez donné vie et inspiration.

    Vous pourriez même vous demander : « Est-ce moi qui ai créé cette merveille ? »

    Et la réponse que vous allez vous donner sera : « Oui ».

    Parce qu’en vérité, vous êtes un maître créateur

    JE SUIS Saint-Germain. Et je remercie Kuthumi de sa présence en ce jour.

    Traduction AD
    Page d’origine : http://joyandclarity.blogspot.fr/2008/07/saint-germain-and-kuthumi-channel.html

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  • Astro Maya - Mercredi 20 Novembre 2013

    Vous

    Tendance du jour : le pouvoir créateur

    Inutile de vous angoisser sur ce que vous allez vivre l’instant d’après ou dans un futur lointain. Vous projetez ainsi une réalité qui est inexistante et par conséquent parfaitement illusoire. De plus, la peur étant une énergie puissante, elle peut faire un barrage à l’avènement d’une situation positive. Visualisez l’avenir sous un angle bénéfique afin de mettre en marche une action qui finira par produire un effet harmonieux.

    Vous et les autres

    Tendance du jour : la puissance de l’amour

    Il vaut mieux ne pas avoir d’état d’âme lorsqu’une personne de votre entourage montre de la mauvaise humeur. Cela ne pourrait que lui faire peser un poids supplémentaire dont elle n’a pas besoin. Mieux vaut essayer d’avoir une attitude détachée et souriante afin de lui apporter de l’énergie, ce qui l’aidera à s’en sortir. C’est la magie de l’amour.

     

    Flammes jumelles

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