autre

« Nous allons vous parler de fraternité d’une façon un peu différente.

Nous aimerions commencer par vous dire que la fraternité doit d’abord être appliquée à soi-même.

Tant que vous serez en permanence en dualité avec votre corps, ce merveilleux corps, ce corps sacré que vous ne connaissez pas, ce corps que vous rejetez parfois lorsqu’il vous crée des souffrances, ce compagnon de vie tellement important, tant que vous n’aurez pas totalement fraternisé dans l’Amour avec votre corps, vous ne pourrez pas fraterniser dans l’Amour avec les êtres qui vous entourent !

Nous sommes si facilement enclins à juger les autres, à trouver l’intrus, à voir la faute, le négatif en l’autre, que nous nous privons du meilleur de chacun.

Lorsque nous nous nous attardons sur le défaut de l’autre, nous ne pouvons pas trouver la quiétude en nous. Nous mettons notre énergie sur l’autre, plutôt que de la mettre sur nous. Nous nous préoccupons de ce que l’autre fait, dit ou pense, mais nous oublions de nous concentrer sur ce que nous, nous faisons, disons et pensons.

Maître Sananda – introduisez du corps dans la relation à l’autre
 

Traiter les autres avec affection, c’est le meilleur signe de respect que l’on puisse leur manifester.

Un tel comportement rime avec bonté, amabilité, respect et amour. En effet, quel serait l’intérêt de ne pas traiter avec affection les personnes que l’on aime ? La réponse est simple : nul.

Or, cette affirmation, bien souvent, n’est pas en accord avec la réalité ; on a tendance à facilement oublier l’importance de traiter les autres avec délicatesse, de poser nos mains émotionnelles sur eux, et de leur dédier des actes ainsi que des mots tendres au quotidien.

Mauvaises réponses, manque de respect, impertinence, cris, exigences… Sûrement chacune de ces réactions sont-elles trop présentes dans nos relations, ainsi que dans notre façon de communiquer avec les autres.

par Marie Ribeill

Le soleil est à son zénith et comme l’oiseau qui veut découvrir le monde, vous êtes tentés de fuir les jours sombres pour enfin vous tourner vers le soleil, les ailes grandes ouvertes…

Il est temps, mes enfants. Je vous le dis souvent et pourtant, il est temps… Vraiment temps d’accueillir et d’Accepter en vous cette Lumière et de bénir qui vous Êtes ! *Il fait un grand sourire généreux, heureux et bienveillant*