Blog
-
Qu’appelle-t-on Miracles ?
- Par reikiland
- Le 18/11/2013
Des phénomènes qui défient ou nient les lois de la nature. Eh bien, de tels phénomènes n’existent pas, et celui qui parle de miracles, qui croit aux miracles, ignore les lois qui peuvent les expliquer. En réalité, aucune manifestation n’échappe aux lois physiques et chimiques de la nature ; il peut seulement exister des phénomènes exceptionnels, parce que très rares sont les personnes capables de les produire. Mais des miracles tels que les imagine la plupart des croyants, cela n’existe pas ; même les faits les plus extraordinaires sont naturels, rien n’est « surnaturel ». Seulement la nature a différents degrés, des plus matériels aux plus subtils ; les lois du monde psychique et du monde spirituel, comme les lois du monde physique, sont des lois de la nature, il faut seulement savoir sur quel plan elles agissent.
Si jésus guérissait les malades, c’est qu’il possédait une force spirituelle qui lui permettait de se projeter jusqu’au plan causal pour y déclencher une force capable de s’opposer à la maladie. Mais cette force, combien la possèdent ?… C’est pourquoi, quand certaines personnes prétendent soigner les malades par des formules magiques, des prières, des passes magnétique sou l’imposition des mains, en prétendant que leur foi et celle du malade feront le reste, elles peuvent en effet obtenir quelques résultats s’il ne s’agit pas de maladies graves, mais pas plus. Quelle que soit leur foi ou celle du malade, la foi ne suffit pas ; pour pouvoir guérir comme jésus, il faut posséder la force de l’esprit et il faut s’être longtemps exercé à travailler sur cet instrument de l’esprit qu’est la pensée. Mais, là encore, très peu d’êtres en sont capables, car il ne suffit pas de croire à la puissance de la pensée, il faut la posséder et s’en être rendu maître.
Parce qu’ils sont déçus par les insuffisances de la médecine officielle ou effrayés par ses tendances de plus en plus matérialiste, beaucoup de malades cherchent la guérison du côté des pratique spirituelles en utilisant les pouvoirs de la pensée. C’est bien, mais à condition d’être tout à fait au clair sur cette question. Comme, en nous, le corps physique et le psychisme ne sont pas séparés, ils s’influencent mutuellement, mais il ne faut pas tout mélanger ; pour obtenir des résultats, il est nécessaire de bien savoir situer les choses.
Le miracle est en réalité un processus naturel, l’homme peut, par un travail intérieur, mais aussi par des exercices physiques, participer au processus de guérison. Il n’est pas nécessaire que je vous explique ce que sont les exercices physiques ; en revanche, vous avez besoin de plus de lumière concernant le travail intérieur.
Pour agir efficacement par la pensée sur le corps physique, il faut commencer par déclencher une énergie, et comme cette énergie vient de très haut, le premier effort à faire est d’élever sa pensée jusqu’au plan causal. Car le travail de la pensée ne consiste pas à répéter ; « je serai en bonne santé, je n’aurai plus mal à la tête, ou au foie… », ni à adresser des prières à Jésus, à la Vierge Marie et à tous les Saints pour leur demander la guérison. Évidemment, il vaut mieux faire cela que de se concentrer sur ses maux en gémissant et en importunant son entourage ; mais le véritable pouvoir de la pensée sur le corps ne s’acquiert que si on parvient à s’élever au-delà des plans astral et mental, pour atteindre le plan causal. Et voilà la façon dont s’expliquent certaines guérisons dites miraculeuses.
Il est arrivé qu’on me pose des questions concernant les guérisons qui se produisent parfois à lourdes … Évidemment, la foi a dû y avoir une part très importante. Mais il est certain aussi que, dans cette atmosphère de ferveur, au milieu des chants et des prières de toute une foule, des personnes peuvent être psychiquement soulevées et transportées très haut, jusqu’au plan causal. Et c’est cela qui fait le miracle ; la personne est intérieurement comme arrachée à son état de conscience ordinaire et projetée jusqu’à un sommet ; et lorsqu’elle touche ce sommet, il se déclenche dans tout son être de puissants courants d’énergie pure qui descendent directement jusqu’au plan physique pour tout rétablir.
Mais laissons ces cas exceptionnels ; tout le monde ne souffre pas de maladie grave, tout le monde ne vas pas en pèlerinage à lourdes ou ailleurs pour demander la guérison ; en revanche chacun d’entre nous a tous les jours dans sa vie familiale, dans sa vie sociale comme dans sa vie intérieure, des problèmes à résoudre, des difficultés à affronter. Pour conserver l’équilibre, pour trouver la paix, pour dominer la situation, il n’existe qu’une méthode ; se projeter par la pensée jusqu’au sommet de son être. Au fur et à mesure que nous nous élevons intérieure, nous découvrons que les éléments avec lesquels nous entrons en contact sont plus puissants et ont un champ d’application plus vaste. Oui, c’est de ce sommet, le plan causal, le roc dont parle jésus que nous avons tout pouvoir sur les régions situées au-dessus. Quels que soient les troubles, les difficultés et les obstacles, rien n’est incurable, rien n’est irrémédiable, mais il faut aller jusqu’au sommet et construire là sa demeure.
Lorsque les ordres viennent de très haut, du sommet, la nature et les humains sont obligés d’obéir. De la même manière, quand notre pensée atteint le sommet, nous touchons le cœur des forces dont tout dépend et nous recevons un flot d’énergies pures et vivifiantes. Car c’est au sommet qu’agit la toute-puissance de l’esprit et c’est là que les miracles s’accomplissent.
http://herosdelaterre.blogspot.fr/ -
Être Résolu et Courageux
- Par reikiland
- Le 18/11/2013
Un message personnel de Saint-Germain canalisé par Alexandra Mahlimay et Dan Bennack. Cette canalisation est reproduite avec le consentement de leur client.
Cher Saint-Germain, j’ai toujours douté de moi. Je n’ai pas assez confiance en moi pour explorer ou développer mes dons. Je suis intelligent et curieux de beaucoup de choses différentes, mais je ne sais pas encore à quoi je pourrais être bon dans ma vie. Au lieu de cela, j’ai choisi de faire ce qui, je pense, va plaire aux autres, particulièrement aux membres de ma famille. J’aimerais être plus aligné avec le but de mon Âme, mais pour le moment je me sens complètement coincé. Pouvez-vous m’aider s’il vous plaît ?
Mon ami, JE SUIS Saint-Germain.
Dans cette vie, le but de votre Âme est que vous appreniez à appliquer de la concentration, de la discipline et de l’engagement à un champ d'expérience de votre choix. Mais comme vous le savez, choisir et puis s’engager crée également des défis pour vous. Le défi est le suivant : avec votre esprit intelligent et curieux, vous aimez beaucoup d'expériences vastes, variées et stimulantes. Et pour cette raison, vous avez tendance à perdre votre concentration, ainsi que la discipline qui va avec et qui est nécessaire pour aller en profondeur dans une expérience singulière de votre choix.
Vous pouvez également constater que vous faites face à des problèmes importants dans votre vie en voulant être libre et indépendant des autres, mais aussi en vous sentant indécis quant à savoir si vous pouvez vous éloigner de l'abri, des conseils et de la direction que les autres — en particulier les membres de la famille — vous ont fournis. Ces sentiments contradictoires vous amènent à osciller entre le sentiment d’être trop dépendant, et plus tard celui d’avoir besoin de vous détacher pour être libre à tout prix.
Pour contrer ces tendances, votre Âme vous encourage à vous appuyer davantage sur l'initiative personnelle, l'auto-détermination et le courage. Vous êtes invité à relever le défi de choisir un chemin puis de vous y engager en dépit de votre peur ou de l'incertitude du résultat. À mesure que vous commencerez à exercer davantage votre autonomie et votre nature indépendante, plutôt que de retomber dans les vieux schémas de dépendance à l'égard des autres, vous vous alignerez davantage avec le but de votre Âme pour vous. Vous n'aurez alors pas l'impression d’être retenu par les autres, ni ne craindrez de devoir toujours leur plaire avant de prendre soin de vos propres besoins.
Esprit de décision, Courage et Confiance
L'esprit de décision et une volonté d'agir sans beaucoup d’hésitation sont des qualités que votre Âme vous encourage à développer maintenant. Plus tôt dans cette vie, ou peut-être dans d'anciennes vies, vous pourriez avoir fait trop attention aux conventions sociales, ou aux attentes des membres de la famille ou de la société. En d'autres termes, il a peut-être été plus important pour vous de « vous adapter » ou d'être aimé, que de défendre vos propres vérités ou vos propres désirs. Dans le processus, vous avez compromis des parties de vous-même afin de plaire aux autres ou de les obliger.
Un autre problème pour vous, comme vous l'avez souligné, c'est le courage et la confiance. Bien que vous ne puissiez pas toujours être confiant et sûr de vous lorsque vous êtes confronté à la nécessité d'agir, rappelez-vous que le courage est quelque chose que vous êtes capable d’apprendre, dans la mesure où vous vous autoriserez à ressentir la peur et à avancer quand-même.
Dans cette vie, vous êtes appelé à délaisser les rôles et les habitudes traditionnels pour céder la place à une nature plus excitante, plus sincère et plus passionnée. En osant suivre ce qui vous excite vraiment et ce qui parle à votre curiosité, vous laissez derrière vous votre tendance à compromettre ce que vous voulez de la vie dans le but de plaire, ou de NE PAS DÉPLAIRE, aux autres.
Un Point de Vue Différent
Je voudrais partager avec vous aujourd'hui un point de vue différent sur ce qui se passe dans votre vie. J’aimerais vous aider à voir qu’à partir de maintenant vous pouvez vivre votre vie avec confiance et courage, plutôt que de vous sentir perdant sur quelque chose d'important parce que vous ne pouvez pas encore voir ce que vous aimeriez faire de votre vie. Au lieu de cela, je veux que vous soyez assuré que vous faites ce qui est bon pour vous, même si ça ne semble pas être le cas dans l’immédiat.
Je vous appelle à faire preuve de courage en vous regardant maintenant avec honnêteté. Observez ce que vous ressentez à propos de vous et du monde. Vous devez comprendre que les choses qui se passent en ce moment dans votre vie ont une raison de se produire. Rien de ce qui s’est présenté sur votre route n’a été une erreur. Rien n'a été offert à votre expérience pour vous faire souffrir.
Il est important, au contraire, de comprendre que chaque pas que vous faites maintenant était bien préparé pour vous. Plus précisément, vous êtes ici pour comprendre comment vos choix, et tout ce que vous faites dans votre vie, sont les bons pour vous. Même s’il semble que vous êtes sur la mauvaise voie, cela ne signifie pas que vous avez échoué à faire les bons choix. Lorsque vous pourrez comprendre cela et l'accepter, vous déchargerez le fardeau de votre sentiment d’avoir échoué — et de ne pas être capable de voir l'horizon lumineux de vos rêves.
Vous devez garder la foi et vous souvenir que vous êtes de toute évidence guidé par votre Âme. Vous avez sa lumière devant vous, et cela vous montre la voie vers les expériences qui sont appropriées pour vous.
Acceptez cela, et soyez en paix. Cela vous permettra de vous sentir plus à l'aise avec vous-même, et avec le monde en général. Vous serez alors plus à l'aise aussi avec les expériences que vous allez traverser.
Au lieu d'être débordé par toutes les choses dont vous pensez que vous devriez essayer de les faire afin de sentir que vous faites la chose juste, il serait préférable pour vous de vous focaliser davantage sur la seule chose qui vous apporte de la joie, du contentement, et de la satisfaction émotionnelle.
Votre nature est très sensible. Vous êtes très ouvert et intuitif, et vous avez la capacité naturelle de percevoir le monde à travers votre état émotionnel très amplifié. Mais vous vous êtes fermé à cet aspect sensible de vous en mettant des barrières autour de lui. Vous le faites dans le but de vous protéger des demandes qui viennent des autres, et de l'incertitude et du doute que vous dirigez vers vous et qui érodent votre confiance en vous.
Du Brouillard à la Clarté
En ce moment, vous sentez que vous êtes en quelque sorte dans un brouillard. Vous n’êtes pas en mesure de percevoir mentalement ou de formuler les possibilités parfaitement réalistes qui sont là pour vous dans la vie, même si vous savez intuitivement qu'elles y sont. Cette confusion vous donne un sentiment de dissolution, le sentiment que vous êtes en train de perdre le contact avec le monde. Mais même au milieu de cette confusion, vous sentez toujours une envie irrépressible de faire quelque chose au sujet de votre vie — de prendre part à une expérience qui vous fait avancer, et qui vous libère des personnes et des relations qui demandent de vous des choses que vous ne sentez pas authentiquement vôtres.
Sachez s'il vous plaît que je vous encourage à présent à continuer d'avancer sur votre chemin.
Afin de prendre les décisions qui vous semblent justes maintenant, vous allez devoir comprendre ce besoin presque compulsif que vous avez d’être indépendant au point de vouloir rompre vos relations avec les autres, ainsi que le comportement contradictoire que vous entretenez qui vous raconte que vous devez plaire aux autres afin d'être en sécurité, et qui vous enferme ainsi dans des relations de dépendance aux autres.
Souvenez-vous que vos peurs et vos tendances passées se rappelleront parfois à votre bon souvenir pour vous dire que vous devez être une personne dévouée, que vous devez être là pour les autres, au point même de ne pas être en mesure de définir qui vous êtes ou ce que vous souhaitez faire de votre propre vie. Mais quand cela arrivera, rappelez-vous aussi que le vrai défi — et l’un de ceux que vous pouvez affronter courageusement et avec succès — est de comprendre l'importance des frontières dans vos relations avec les autres, afin que vous puissiez choisir celles qui vous permettent de vous exprimer librement, sans vous refuser la proximité avec les personnes que vous appréciez.
Vous pouvez maintenant suivre votre propre chemin, en rompant avec le poids des attentes des autres sur la façon dont ils considèrent que vous devriez vivre votre vie. Lâchez les doutes sur vous que vous avez intériorisés, et libérez les vieilles images autodestructrices afin d’être libre de découvrir ce que vous voulez vraiment. Votre âme vous guidera pour ce faire, et d’un petit coup de coude elle vous dira quand faire le prochain pas. Souvenez-vous simplement qu’il est toujours important d'être en contact avec le noyau le plus profond de vous-même — le sanctuaire intérieur de votre Âme où vous pouvez vous connecter avec telles choses et telle situation que vous aimeriez appeler à se manifester physiquement pour en faire l'expérience. C'est là que se trouve votre vraie liberté, c’est là où vous trouverez la clé de votre satisfaction ultime dans la vie.
En vérité, JE SUIS Saint-Germain.
Traduction AD
Page d’origine : http://joyandclarity.blogspot.fr/2013/10/being-decisive-and-courageous-saint.html
http://www.anneduquesne.com/article-etre-resolu-et-courageux-121142298.html -
Annales Akashiques sur... les Émotions Humaines
- Par reikiland
- Le 18/11/2013
Transmettons-nous une énergie basse lorsque nous vivons de la peur ou de la douleur ? Si oui, comment pouvons-nous transformer efficacement cette énergie sans le processus de guérison de la douleur ?
Votre corps émet une vibration d'énergie plus élevée lorsque vous êtes au cœur d’une expérience de vie, de peur, ou de toute autre émotion ou expérience réellement douloureuse. Lorsque vous êtes au cœur de votre expérience, si vous êtes en colère en sachant que vous l’êtes, et en traitant cette colère, vous émettez réellement une fréquence très élevée. Lorsque vous êtes dans la douleur en sachant que ça fait mal, et en laissant votre corps traiter cette douleur, vous émettez réellement une fréquence très élevée. L’énergie qui se présente lorsque vous vivez authentiquement l'expérience que vous êtes en train de vivre est très lumineuse. Cela inclut les moments joyeux et les moments douloureux. Quand votre cœur se brise et que vous vous entourez tout simplement de vos bras en vous disant que ça va, et en pleurant longtemps, vous émettez réellement cette énergie hautement vibratoire, merveilleuse et lumineuse. Si en revanche, vous avez le cœur brisé et que vous vous dites que vous devriez arrêter de pleurer, mais en gardant ce cœur brisé ou cette douleur à l’intérieur de vous, c'est alors que votre énergie devient très basse.
Vous émettez une fréquence très basse si vous retenez beaucoup d'émotions refoulées, ou de peurs ou de douleur refoulées. En réalité, le niveau de votre vibration est plus le reflet de votre authenticité que de la nature de l'émotion que vous ressentez. Que vous ressentiez de la peur ou du bonheur, vous pouvez avoir une fréquence très élevée si vous êtes authentiques dans l'expérience. Que vous ressentiez de la peur ou du bonheur, si vous réprimez l'énergie de cette peur ou de ce bonheur, alors votre vibration s’affaiblit. Il y a un petit problème avec cela quand vous vivez une vie humaine, parce que vous ne pouvez pas toujours exprimer toute votre gamme d'émotions en toutes circonstances. Il y a des moments où il est préférable d'attendre d’être rentré chez vous pour commencer à pleurer. Il y a des moments où il est préférable de ravaler vos paroles au lieu de dire quelque chose de blessant sous le coup de la colère. Et c’est normal de le faire. Le défi pour passer à une vie plus éclairée est d'apprendre à discerner le moment et les moyens appropriés pour exprimer ce que vous avez besoin d’exprimer. Parfois vous devez le faire directement avec la personne qui a causé la douleur ; parfois vous avez besoin de commencer par aller en parler à un ami.
Ce qui importe le plus, c'est de ne pas réprimer en permanence les expériences que vous traversez. Cela signifie pour chacun d'entre vous que, pour atteindre un niveau supérieur de vibration dans votre vie, il est nécessaire de ressentir la douleur. Il est nécessaire de vous réveiller pour vous rappeler et revivre la douleur refoulée de votre passé. Pour que la douleur, ou la peur, ou quoi que ce soit qui a été réprimé, sorte et soit libéré et guéri, vous devez le ressentir à nouveau. Il est important de savoir que vous n'avez pas à le ressentir de la même manière que lorsque vous étiez jeunes. C'était beaucoup plus douloureux pour vous de réprimer vos expériences que de les laisser aller. Vous allez découvrir que la peur que vous entretenez au sujet d’une vieille douleur enfouie, ou d’une douleur future, est beaucoup plus importante que la douleur elle-même. Si vous vous contentiez de vous permettre d’avoir du chagrin, si vous vouliez simplement vous laisser ressentir ce que vous devez ressentir, vous verriez que ces émotions changent rapidement et vous pourriez revenir à un état d'équilibre. Mais aussi longtemps que vous vivez une vie humaine, aussi longtemps que vous existez dans un corps humain, vous ressentirez parfois de la douleur. Cela est vrai même si vous êtes complètement illuminés. Parce que même si vous vous souvenez de ce qu’est réellement votre âme, même si vous vous rappelez que vous êtes juste un esprit vivant une vie humaine, une partie de cette vie humaine implique d'avoir un corps qui est vulnérable. Une partie de cette vie humaine consiste à avoir des relations qui sont compliquées. Donc, une partie de cette vie humaine impliquera toujours un potentiel de douleur. Être illuminé signifie que vous êtes en mesure d'étreindre cette douleur parce que vous admettez que c'est une expérience momentanée. Vous reconnaissez que ce n'est pas la fin du monde. Et quand vous y parvenez, vous pouvez goûter la douleur comme une merveilleuse partie de ce que signifie être humain, et la douleur peut aller et venir. Vous pourriez ne pas apprécier la douleur, et vous ne la chercherez certainement pas — mais vous ne l'éviterez pas non plus lorsque vous pourrez voir qu’elle est nécessaire. La douleur et la peur de la douleur ne vont pas rester avec vous comme elles l’ont fait lorsque vous les avez réprimées. C'est cela, la manière d'élever votre vibration, et c'est la manière de faire l’expérience de la peur comme un aspect de l'être humain plutôt que comme quelque chose qui vous limite et vous submerge.
Qu'est-ce que les Gardiens ont à nous dire au sujet de la joie ? Comment pouvons-nous nourrir la joie et l'expérimenter davantage dans nos vies ?
La première chose que nous pouvons vous dire, c'est que vous êtes censés faire l'expérience de la joie pendant une plus grande partie de vos vies. Certains d'entre vous pensent que vous avez besoin d’une permission pour ressentir de la joie, ou que vous devez la gagner avant de pouvoir en faire l'expérience. Bien sûr, comme toutes les choses de la vie humaine, la joie va aller et venir — mais dans l'ensemble vous êtes censés la ressentir beaucoup plus que la plupart d'entre vous ne le font. Pour ceux d'entre vous qui ont le sentiment d’avoir besoin de permission pour ressentir de la joie, qu’ils considèrent cela comme un impératif divin en provenance des dimensions supérieures : vous êtes libres de ressentir davantage de joie ! Ne lui résistez pas — étreignez la joie !
Les membres d’Akashic Transformations ont accès à la canalisation complète, en anglais, sur ce sujet.
Traduction AD
Page d’origine : http://www.akashictransformations.net/ARonFREE
http://www.anneduquesne.com/article-annales-akashiques-sur-les-emotions-humaines-121172564.html -
Astro Maya - Lundi 18 Novembre 2013
- Par reikiland
- Le 18/11/2013
Vous
Tendance du jour : la volonté
La volonté libère l'énergie qui coule du coeur. Vous êtes le jardinier d’un monde encore en friche que vous pouvez cultiver pour y faire croître de jolies fleurs et enlever les mauvaises herbes. C'est votre volonté qui permettra à la paix, la fraternité et l’amour d'éclore sur terre. Enfant de cette terre, vous aurez le droit de jouir alors d’un monde merveilleux que vous aurez participé à construire. Mais il vous faut le désirer pleinement et le bâtir jour après jour. Pensez-y sans relâche !
Vous et les autres
Tendance du jour : le libre arbitre
Un acte d’amour doit être pleinement consenti pour vraiment profiter à celui qui le fait. Agir par obligation ou sentiment de culpabilité est bien sûr préférable à un manque d’amour mais n’a pas la même valeur qu’un geste spontané et désiré. L’amour est une expression de soi qui doit venir du cœur et non du mental. Il doit être donné par amour de l’amour sachant qu’il est le seul critère et le seul moyen pour évoluer. Aussi, ne forcez personne à aller contre sa volonté et surtout ne faites jamais de remarque sur tout manquement. Soyez plutôt un exemple, cela incitera votre entourage à aller dans ce sens. -
Votre épanouissement commence à l’intérieur de vous
- Par reikiland
- Le 17/11/2013
Votre épanouissement commence à l’intérieur de vous. Ainsi votre extérieur est reflété par votre intérieur et vice-versa. Voici quelques astuces qui vous permettront de vous épanouir et vous rendront harmonieux avec votre être dans sa totalité.
Prenez soin de votre intérieur :
- Méditez. Prenez le temps de méditer. Cela permet à votre mental de stopper les pensées négatives et néfastes. Augmentant votre taux vibratoire (votre énergie), la méditation vous permet ainsi de ralentir votre horloge biologie, c’est-à-dire le vieillissement de vos organisme et corps. De plus, en cas de prise de médicaments, la méditation permet un meilleur rétablissement, tout en vous aidant de ne pas ressentir les effets secondaires des médicaments (s’il y en a).
-Écoutez la nature. La nature nous parle à tous. Elle a beaucoup à nous dire. Le chuchotement des feuilles au vents nous apaise énormément, baisse notre pouls cardiaque et permet de respirer plus profondément. Le chant des oiseaux nous amuse et donc augmente notre taux vibratoire aussi. Notre mère la Terre nous couve de son amour, il est normal que nous la lui rendions, cela crée un échange hautement énergétique.
-Écoutez de la musique. Peu importe votre style de musique, votre musique augmente votre taux vibratoire, elle aussi. Nous donnant l’envie et l’entrain de bouger ou tout simplement de relaxer, dépendamment de la musique, nous augmentons d’une façon ou d’une autre notre taux vibratoire. Bien entendu, il vaut mieux d’éviter les sons agressifs qui ne font que stresser vos cellules.
-Assumez-vous. Soyez confiant dans vos paroles et vos gestes. Cela permet de voir que vous êtes sûr de vous, que vous ne vivez pas dans les peurs. Afin de travailler votre confiance en vous, parlez calmement. Ainsi votre prononciation sera limpide ce qui permettra aux autres de mieux capter votre message.
-Prenez des marches. Prendre des marches permet une meilleur circulation sanguine. La marche permet aussi la lubrification de vos jointures.
-Nettoyage des pores de votre peau. Lorsque quelque chose vous tracasse, vous vous sentez agressé ou agressif, ou vous êtes dans un état démoralisant, stressé, etc. prenez une douche si cela vous est possible. Cela sonne un peu paradoxalement, n’est-ce pas? Eh bien, lisez bien ce qui suit. Lorsque vous êtes dans cet état, votre organisme produit des toxines en quantité industrielle. La transpiration due au stress s’explique par ces toxines. En prenant votre douche, la vapeur ouvre les pores de votre peau, tandis que l’eau propre les nettoie et permet à votre peau de retrouver son apparence saine. Voilà un bel exemple qui démontre que l’intérieur reflète sur votre extérieur. Ce petit geste, lui aussi, permet une augmentation de votre taux vibratoire.
-Respirez. Prenez l’habitude de respirer lentement et profondément en gonflant votre abdomen. Le cerveau humain a besoin d’être aéré. Si l’air vous gonfle le ventre, soyez en sûr que la quantité d’air nécessaire se rend aussi dans votre cerveau.
Il est donc important d’augmenter votre taux vibratoire afin de retrouver la paix intérieure.
Prenez soin de votre extérieur :
Si à l’intérieur de vous, c’est-à-dire dans votre esprit vous allez bien, eh bien cela se voit par votre apparence extérieure. Votre apparence extérieur ne peux qu’être harmonisé à tout votre être. Voilà donc une façon pour vous d’apprendre en observant les gens autour de vous à distinguer qui est harmonisé et épanoui dans sa totalité et qui ne l’est pas, mais sans faire de jugement ni de comparaison. Mais tout simplement dans l’apprentissage et constatation des faits.
-L’air soigné. Femmes et hommes prenez l’habitude d’avoir l’air soigné. Cela vous permet d’instaurer une hygiène de vie ou certains rituels quotidiens vous donnent plus confiance en vous. Par exemple, il est prouvé par vos scientifiques que lorsqu’une femme est bien coiffée, elle est beaucoup plus sûre d’elle. Pareillement, lorsqu’un homme a des mains propres il n’a pas peur d’aller de l’avant car dans son inconscient, les mains propres représentent la poignée de mains.
Prenez un temps de rituel au quotidien afin de prendre soin de votre corps. Oui, la plupart de vous avez déjà des habitudes telles que vous brosser les dents, prendre votre douche, etc. Mais je parle ici de faire un petit plus pour votre corps. Offrez-lui des huiles essentiels par exemple. Ou pourquoi pas vous offrir de temps en autre un massage qui permet de vous relaxer. Ce conseil est valable tant pour les hommes que pour les femmes. Les hommes ne sont pas à exclure car ceux-ci ont tendance à recroqueviller leurs muscles lors des situations stressantes.
-Soyez aimable. Soyez aimable avec les gens. Rien ne vous coûte de faire d’offrir des sourires aux passants, ou même aux sans-abris. Croyez-moi, votre sourire a un pouvoir énorme d’égayer la journée de quelqu’un. Un sourire sincère et authentique attire à vous le merveilleux.
-Mangez sainement. Introduisez plus de fruits et légumes dans vos repas. Mangez des sucres naturels qui sont plus adéquats à votre organisme et à sa capacité de l’éliminer de façon naturel et cela sans le forcer pour rien.
-Prenez le temps de manger. Manger sainement veut aussi de prendre le temps de bien mastiquer vos aliments. De cette façon vous aiderez votre système digestif de mieux transformer vos aliment ingurgités. En effet, il n’aura pas à faire le travail de mastication à votre place. La plupart d’entre vous mangez à la hâte. Essayez donc de dépasser de 10 à 15 min votre temps de repas actuels. Cela donnerait à votre organisme du temps d’assimiler les informations reçus par les aliments que vous lui soumettez. Ce qui vous permettra de maigrir aussi car au bout d’un moment votre corps vous dira qu’il a assez mangé.
-Écoutez votre corps. Lorsque votre corps vous dit qu’il a assez mangé, ne le forcez pas, laissez-lui le temps de « souffler ». Écoutez vos douleurs aussi. Posez-vous la bonne question à savoir quel comportement de votre part cause telle douleur. Vous aurez la réponse puisque vous posez la bonne question. Vous pourriez avoir la réponse sous toutes sortes de formes : en tombant « par hasard » sur un article, ou en parlant avec un ami, ou en écoutant un reportage.
-Dansez. Encore une fois, peu importe la forme de danse, bouger votre corps vous permet d’augmenter votre taux vibratoire, une meilleure circulation sanguine et la bonne humeur garantie. Observez les enfants qui se mettent à bouger en entendant la musique. Croyez-vous qu’ils sont inconscients des bienfaits des sons ?
-Sortez de chez vous. Allez vers les gens, promenez-vous dans la nature, faites des soirées entre amis, prenez un cours quelconque, etc. Un échange énergétique est bénéfique tant pour votre santé intérieure que votre apparence extérieur. En effet, cela vous donne le sourire et vous remonte le moral et par effet même, rajeunit vos cellules. Évitez des gens qui vous stressent, qui vous énervent et qui ne correspondent pas à vos énergies.
Kayla, guide spirituelle d’Olésia
http://olesiamedium.wordpress.com/2013/10/19/votre-epanouissement-commence-a-linterieur-de-vous/ -
Faire le deuil d’une personne toxique
- Par reikiland
- Le 17/11/2013
Y a-t-il une personne toxique dans votre environnement ?
Une personne toxique fait du mal, blesse et fait souffrir une autre personne, et ce, en sachant très bien qu’elle le fait. Elle ne reconnaît jamais ses torts, ni n’éprouve aucun regret des gestes qu’elle pose.
Une personne toxique fait du chantage affectif et est insensible à sa victime.
Pour arriver à ses fins, elle peut mépriser, jalouser, rabaisser, juger, faire du harcèlement ou manipuler de toutes sortes de façon sa victime. Elle fait en sorte que tranquillement sa victime perde l’estime de soi et devienne son bouche-trou, afin de garder l’emprise sur elle.
La plus grande peur d’une personne toxique est de perdre le pouvoir qu’elle exerce sur sa victime. Elle ne souhaite aucunement la voir s’épanouir et réussir sa vie. Alors, elle sabote les efforts que cette dernière fait pour mener une vie heureuse et productive.
On peut avoir une relation toxique avec un parent, un ami, un collègue de travail, un conjoint (conjointe) ou même nos propres enfants.
C’est difficile de croire que ce sont les gens qui vous sont les plus chers, qui abusent de vous.
Le début d’une relation toxique
Une relation toxique a presque toujours comme base une famille dysfonctionnelle qui mène à une dépendance affective. Pendant votre enfance, on vous a appris qu’il fallait plaire pour être aimé. Qu’il fallait vous oublier et faire ce que vos parents vous disaient, sans écouter vos propres besoins. Très vite, vous avez compris en tant qu’enfant que si vous voulez de l’amour, de l’attention ou simplement être vu de vos parents (ou d’un parent), vous devez être à la hauteur de leurs attentes. Cela devient avec le temps du chantage affectif de la part des parents. C’est comme s’ils vous disaient, je vais t’aimer, si tu agis ou tu fais ce que je te dis de faire.
Avec le temps, vous grandissez et ce lien de dépendance devient de plus en plus fort et toxique.
Vous quittez le nid familial pour vous marier et vous vous rendez compte après quelques années que la femme ou l’homme que vous avez marié fait exactement le même chantage affectif que votre père ou votre mère. C’est-à-dire, vous fait croire que pour avoir de l’amour, il vous faut accepter de vous oublier et de vous laisser dénigrer.
Pourquoi je reste dans cette relation
Il y a de fortes chances que si vous restez dans une relation toxique, c’est sans doute que :
Vous avez peur d’être seul
Peur de vous sentir abandonné.
Peur de prendre votre place
Vous manquez d’estime de vous
Vous vous sentez vulnérable
Vous vous sentez coupable
Pourquoi est-ce si difficile de sortir d’une relation toxique ?
Tout simplement parce que vous êtes dans l’attente.
Vous espérez que peut-être un jour cette personne va vous donner un peu de reconnaissance, de bonheur ou de l’amour. Exactement comme lorsque vous étiez enfant et que vous attendiez désespérément que papa ou maman vous voit vous reconnaisse et vous aime. C’est pour cette raison que c’est si dur de sortir d’une relation toxique. C’est votre enfant intérieur qui est encore en attente.
Pour sortir de ce genre de relation, il faut faire le deuil de vos attentes, de tout ce que vous aurez aimé recevoir de cette personne. Il faut accepter que jamais vous n’ayez ce que vous attendez de cette personne. C’est d’accepter aussi que vous ne puissiez jamais changer cette personne.
Lorsque vous étiez enfant, vous aviez besoin de vos parents pour combler vos besoins affectifs. C’est normal qu’un enfant s’attende à recevoir de l’amour de ces parents. Mais en tant qu’adulte, il faut prendre conscience que ce n’est pas le rôle de l’autre de combler vos besoins. Vous pouvez les combler par vous même et ainsi, devenir responsable de votre bonheur.
Comment s’en sortir ?
Rien ne changera si vous ne faites rien. Dans ce cas-ci, c’est faux de dire que le temps arrange les choses.
Il faut prendre le temps de vous retrouver. De retrouver votre identité, votre essence et de vous faire confiance.
Ce n’est pas toujours nécessaire de quitter définitivement la personne toxique, surtout si c’est une personne à laquelle vous tenez vraiment (ex.: un enfant, un parent). Quelques fois de s’en éloigner quelques semaines ou mois ou même des années, peut être bénéfique. Le temps de reprendre des forces, de réfléchir et de se retrouver soi-même. Si plus tard, vous voulez rebâtir quelque chose avec cette personne, vous serez plus en état de le faire.
Si pour vous, la meilleure décision est de couper les ponts définitivement, alors faites-le et sachez que ce n’est pas d’être égoïste que de penser à soi.
Votre entourage (qui n’est pas au courant de ce que vous vivez pour la plupart du temps) vous dira sans doute :
Tu as juste une mère, un fils, etc. Tu devrais faire des efforts.
Ces gens-là ne savent pas à quel point vous souffrez en dedans. La décision de couper les ponts n’est jamais facile. Mais à partir du moment où vous êtes bien dans votre décision, ce qu’en pensent les autres n’est pas vraiment important.
Aucune relation ne vaut le coup de continuer à coup de chantage affectif, par peur de l’abandon.
Sortir d’une relation toxique, ce n’est pas faire du mal à l’autre. C’est d‘ouvrir les yeux, d’ouvrir son cœur et de s’aimer assez pour ne plus accepter de vivre dans cette relation.
Une personne qui vous aime vraiment vous laissera libre d’être vous-même.
Aimer ce n’est pas SE donner et s’oublier, c’est de donner et partager.
http://www.vivre-harmonie.com/faire-le-deuil-dune-personne-toxique/ -
Comment lâcher prise : quelques moyens
- Par reikiland
- Le 17/11/2013
Lâcher prise peut s’expliquer et s’appliquer de bien des façons. Une manière très simple de l’apprivoiser consiste à l’opposer à son contraire : le contrôle. Tous, à des degrés divers, nous aimons bien avoir le contrôle, que ce soit sur notre travail ou des parties de celui-ci, sur notre vie personnelle, sur nos émotions, sur les autres peut-être. Nous aimerions bien parfois avoir le contrôle sur des événements qui, justement, sont hors de notre contrôle. Lorsque nous réalisons que nous ne pouvons changer ni les événements ni les autres et que nous pouvons seulement changer notre façon de les percevoir, nous sommes dans le lâcher prise. Nous nous donnons alors une chance de vivre moins de stress. De la même façon, lorsque nous modifions notre action pour arriver à un résultat, nous faisons preuve de flexibilité et de notre habileté à décrocher d’une conduite stérile.
Dans tous les événements qui nous arrivent, il est important de faire la différence entre ce que nous pouvons contrôler, ce que nous pouvons influencer et ce que nous ne pouvons ni contrôler, ni influencer. Faire une distinction entre les trois est sans doute une première étape dans le lâcher prise.
Le lâcher prise et les objectifs
Est-ce à dire que lâcher prise implique de renoncer à nos buts, à nos objectifs ? Pas nécessairement. Lâcher prise, dans l’immédiat, peut être parfaitement compatible avec l’action, mais impliquera parfois une action différente ou différée. Prenons un exemple simple qui permettra de mieux comprendre. Il vous est sans doute déjà arrivé d’avoir un nom sur le bout de la langue et de vous acharner pendant de longues minutes pour le retrouver, mais en vain. On dirait que plus vous faites des efforts, moins vous vous en souvenez. Puis, vous passez à autre chose, vous lâchez prise sur votre recherche. Soudain, le nom recherché arrive de lui-même et sans aucun effort.
Penser de façon obsessive à un problème est la plupart du temps complètement inefficace et ne le règle surtout pas. Au contraire, s’en détacher provisoirement peut permettre à notre cerveau de faire émerger certaines solutions et surtout de laisser la place à l’originalité et la créativité.
Lâcher prise: un acte de confiance
Pourquoi trouvons-nous si difficile de laisser aller notre besoin de contrôle? Parce que nous nions ou parce que nous sommes très peu conscient des peurs liées à l’absence de contrôle. Par exemple, on peut craindre des autres qu’ils nous dominent, avoir peur de se tromper, peur de ne pas être adéquat, peur de manquer de quelque chose. Plus on cherche à contrôler, que ce soit les collègues, le conjoint, ses enfants, une manière de faire les choses, l’opinion des autres ou même son apparence, plus cela est signe d’insécurité et moins on lâche prise. Lâcher prise est un acte de confiance. Cela nécessite l’acceptation de nos limites, la reconnaissance des autres dans leurs différences et la capacité de faire avec ce qui est dans le présent (voir encadré). La tentation est grande toutefois de refuser ce qui n’est pas conforme à nos désirs. Le besoin de contrôle nous fait nous acharner sur ce qui aurait pu être ou ce qui devrait être et oublier ce qui est présentement.
Des moyens de lâcher prise
Comment peut-on s’y prendre pour développer la capacité à lâcher prise ? De plusieurs façons. Mais la première et la plus importante n’en demeure pas moins la prise de conscience. Devenir conscient de nos émotions face à ce qui arrive. Devenir également conscient de l’absurdité du contrôle sur ce qu’on ne peut ni changer ni influencer. Devenir conscient de toute la perte d’énergie et de bien-être que représentent le perfectionnisme et l’acharnement.
Par exemple, vous partez en voyage à l’étranger dans l’intention bien précise d’en profiter pour faire de la photographie, une de vos passions. Dès votre arrivée, votre appareil ne fonctionne plus. Il est impossible de le faire réparer sur place ou de s’en procurer un autre. Entretenir en vous la frustration, la colère, le dépit par rapport à cette contrariété peut gaspiller vos vacances et ne corrigera en rien la situation. Alors, ne vaut-il pas mieux recadrer cette situation ? Vous dire, par exemple, que vous pouvez peut-être profiter autrement des belles images qui s’offrent à vous ? Peut-être serez-vous plus sensible aux brochures, aux cartes postales, aux vidéos que vous pourrez vous procurer ? Peut-être ne pas être embarrassé d’un attirail de photographe vous permettra-t-il de faire des activités différentes ? Peut-être que de couper court à ces pensées moroses vous permettra-t-il de ne pas rater vos vacances et, la prochaine fois, de partir avec un plan B : une deuxième caméra ou, tout simplement, un appareil photo jetable ?
Les deuils à faire
Simple logique, direz-vous, mais comment se fait-il que ce simple comportement soit parfois si pénible à faire ? C’est là qu’intervient la stratégie suivante qui est essentielle, soit celle d’accepter de faire le deuil de quelque chose auquel nous tenons. Ce qui a empêché notre petit singe du début de lâcher prise quant à son désir d’obtenir le riz, c’est son incapacité à faire ce deuil. Il croit qu’ouvrir sa main lui fera perdre la nourriture, mais il ignore qu’il n’a pas besoin de faire le deuil du riz, seulement d’une stratégie inefficace et qui menace même sa liberté.
Combien de fois, tout comme lui, nous répétons un comportement stérile. Pensons à toutes les fois où nous refaisons la même intervention avec un enfant, un conjoint, un ami, un collègue, intervention qui ne donne pas les résultats escomptés, mais que nous répétons inlassablement, contre toute logique, en pure perte, récoltant à chaque fois la même déception. Nous pourrions comparer cela à une mouche prisonnière dans la maison et qui cherche à sortir. En voyant la lumière de la fenêtre, elle fonce vers la liberté, mais se frappe dans la vitre. Elle pourra répéter cette stratégie pendant des heures, jusqu’à l’épuisement et même la mort, même si ce moyen est complètement inefficace.
Lâcher prise implique parfois de faire le deuil d’une croyance, les il faut, les je dois appris, conditionnés et inefficaces quant au résultat. Par exemple : il faut que tout soit parfait. – Tout doit toujours fonctionner comme je le veux. – Je dois tout faire moi-même.
D’autre fois, c’est du résultat qu’il conviendra de faire le deuil puisqu’il n’est pas entièrement sous notre contrôle (par exemple, les résultats scolaires de notre enfant ou l’ordre dans sa chambre). Certains auraient intérêt à faire le deuil de leur passé, de leurs épreuves, de leurs problèmes, puisqu’on ne peut changer le passé et que le ressasser inlassablement nous empêche de profiter du moment présent. Certains traînent avec eux, pendant des années, des deuils et refusent de tourner la page, minant ainsi leur propre moral et celui des autres.
Les deuils à faire sont multiples, que l’on songe à toutes les idées irréalistes que nous entretenons sur nous-même (vouloir être apprécié de tous, par exemple, ou vouloir que tout le monde autour de nous soit bien), sur les autres (souhaiter que son conjoint ou son collègue de travail ait un caractère différent), sur le travail, etc. Pardonner est aussi une façon de lâcher prise.
La première question à nous poser, donc, pour comprendre pourquoi nous avons autant de difficulté à lâcher prise dans certaines situations, c’est la suivante : de quoi dois-je faire le deuil? Il y a bien évidemment des deuils plus difficiles à faire que d’autres, comme le deuil d’une valeur importante à nos yeux. Par exemple, l’infirmière qui devrait faire le deuil du temps qu’elle peut passer avec un client en raison d’une réorganisation d’un plan de soin, et qui a comme valeur importante la relation qu’elle établit avec le client, trouvera très difficile de faire le deuil de cette partie de son travail. Pour elle, ce serait presque se renier elle-même, renier sa mission. Nous pouvons comprendre alors l’énorme résistance qu’elle développera, résistance qui pourra aller jusqu’à se chercher un milieu de travail plus satisfaisant qui respecte sa valeur. À moins qu’elle ne change le processus de vérification de cette même valeur, c’est-à-dire sa façon de vérifier sa valeur.
Un déclencheur du lâcher prise.
Voici un truc qui semble facile, mais qui demande un peu de pratique. C’est un excellent déclencheur du lâcher prise. Il s’agit de vivre le moment présent. Cela nous fait automatiquement couper court aux pensées parasites, qu’elles concernent le passé, l’avenir, les problèmes, les faux buts et les mauvais moyens. Ici et maintenant libère, permet de décrocher et d’être sensible aux alternatives. Trouvez un moyen qui vous permette d’être dans le moment présent. Pourquoi ne pas vous mettre à la photo pour vous forcer à regarder ou à l’observation des oiseaux ou des papillons ou au jardinage ou même à la méditation?
Lâcher prise implique donc parfois de nous changer nous-même ou de nous accepter avec nos limites, nos valeurs, ce qui nous permet d’accepter les autres bien plus aisément. Le cerveau humain est très complexe et capable de grandes choses, à condition que nous développions sa grande flexibilité.
Être flexible, c’est accepter de lâcher prise si les moyens que nous utilisons ne fonctionnent pas; c’est aussi essayer autre chose, une autre stratégie. C’est aussi nous mettre en recherche active de d’autres moyens pour arriver à nos fins. C’est accepter de laisser aller un certain contrôle.
Note: cet article est adapté du chapitre 12 du livre Oser changer: mettre le cap sur ses rêves.
Marie Bérubé et Marc Vachon
http://oserchanger.com/blogue_2/index.php/2013/05/comment-lacher_prise/ -
Notre bilan de vie, en 20 questions
- Par reikiland
- Le 17/11/2013
Avant de foncer tête première dans la nouvelle année,
on fait le point pour mieux voir où on en est et où on s’en va.
Le bilan de vie, c'est un outil pour cibler les désirs qu'on voudrait combler, pour mettre le doigt sur nos bobos et pour déterminer nos objectifs pour l'année qui commence. C'est aussi l'occasion idéale de dépoussiérer nos rêves, de stimuler notre imaginaire et d'élargir nos horizons.
Petite mise en garde: avec ce type d'exercice, il est facile d'être trop dure avec soi-même. Alors, attention: le but n'est pas de se taper sur la tête ni de faire un examen de conscience sévère. Il s'agit plutôt d'un exercice pour faire le point et réfléchir, mais aussi pour se faire plaisir sans se juger. Deux conseils pour partir du bon pied:
On ne fait pas le tour de sa vie sur le coin d'une table comme on rédige une liste d'épicerie. Pour que l'exercice soit efficace, on bloque du temps de qualité à l'agenda. Que ce soit une journée de congé ou un week-end entier, on choisit un moment où on ne risque pas d'être dérangée. On peut choisir de faire notre bilan d'une traite ou par petits bouts; on s'assure toutefois, dans ce cas, de se donner une date limite pour boucler le tout.
Pour rendre l'exercice ludique, on se choisit un joli papier et des crayons colorés. On peut même garder tout près une pile de vieux magazines qu'on pourra découper pour «illustrer» nos idées et propos. Prête ? On y va !
1. Quelles sont les trois qualités qui me définissent ?
Sens de l'humour, débrouillardise, générosité, franchise, sens de l'écoute... on possède toutes des qualités qui nous rendent uniques aux yeux des autres. Affirmer ces qualités servira de levier pour débuter notre introspection sur une note positive.
2. Si je devais nommer 10 choses pour lesquelles je suis reconnaissante, quelles seraient-elles ?
Rien de tel que la gratitude pour nous faire voir les choses autrement. On a parfois tendance à voir le mauvais côté des choses, mais, en y regardant de plus près, on verra que l'année a été parsemée d'une foule de petits moments positifs, d'événements heureux et de joies inattendues. Et justement, un bilan, c'est aussi pour ça: célébrer les joies et les bonheurs de l'année qui vient de se terminer.
3. Dans la dernière année, quelle a été ma plus grosse erreur? Quelle leçon en ai-je tirée ?
Une erreur n'est jamais une erreur lorsqu'on en tire une leçon. Qu'a-t-on appris sur soi dans la dernière année, et comment peut-on se servir de cette épreuve pour réaliser notre plein potentiel et vivre une vie qui nous ressemble davantage?
4. Mon rythme de vie: trop rapide ou pas assez ?
On commence par dresser la liste des différentes activités de notre quotidien: boulot, tâches domestiques, courses, préparation des repas, transport, activités sportives, devoirs des enfants, etc. Est-ce que ça déborde? Ou, au contraire, devrait-on se trouver de nouveaux défis, de nouvelles activités?
5. Au quotidien, qu'est-ce qui m'énergise ?
Quels sont les gestes, les rituels, les activités qui nous donnent envie de nous lever le matin? Qu'est-ce qui met de l'essence dans notre moteur? On en profite pour cibler aussi ce qui nous ralentit ou draine notre énergie.
6. Quelle est ma plus grande source de stress ?
Comment réagit-on lorsque le stress se présente dans notre vie? On a souvent tendance à penser que le stress dépend d'une situation extérieure, mais notre réponse ou notre attitude face à cette situation y est aussi pour quelque chose. Une fois la source de stress identifiée, on se demande comment on pourrait la tourner de façon positive. Par exemple, si la source de notre stress est le temps qu'on perd dans la circulation, on pourrait décider de se servir de ce moment pour écouter de la musique relaxante, chanter, respirer, etc.
7. Mon chez-moi est-il en harmonie avec la personne que je suis ?
Sans forcément déménager, il est bon de voir si le lieu qu'on habite et les choses qui nous entourent nous conviennent toujours. Quelle est l'ambiance qui se dégage de notre demeure? Est-on satisfaite de son accessibilité, du confort qu'elle nous procure? Le décor de la maison ou le style de l'appartement nous plaît-il toujours? Est-ce un endroit où on aime passer du temps, où on se sent heureuse?
8. Qu'est-ce que j'aimerais faire avec mon argent ?
L'utilise-t-on aux endroits qui comptent pour nous? Accumule-t-on des économies sans jamais se faire plaisir? A-t-on des dettes qu'on traîne depuis trop longtemps?
9. Mon travail me plaît-il toujours ?
Est-on bien dans notre environnement de travail? Qu'en est-il de nos horaires? du transport? de nos relations au travail? A-t-on toujours envie d'y relever des défis? Arrive-t-on au bureau la plupart du temps heureuse et positive ou, au contraire, y va-t-on à reculons, démotivée par une tâche qu'on trouve ennuyante ou difficile? Quels aspects de notre travail apprécie-t-on? Et lesquels nous déplaisent?
10. Sexuellement, est-ce que je me sens épanouie ?
Notre sexualité nous rend-elle heureuse ou, au contraire, triste ou angoissée? A-t-on envie d'essayer de nouvelles choses, de découvrir des façons différentes d'éprouver du plaisir? Peut-on en parler ouvertement avec la personne qu'on aime ou a-t-on peur d'être jugée ou même ridiculisée?
11. Dans ma vie, de quoi suis-je le plus fière ?
L'idée du bilan, c'est aussi de faire la liste de nos bons coups. Pour se motiver à aller plus loin, on note nos réalisations et nos succès. A-t-on cessé de fumer? payé nos dettes? enrichi notre relation avec nos enfants? Ici, l'exercice doit nous apporter un réel sentiment de fierté. Une petite tape dans le dos, de temps en temps, ça ne fait pas de mal!
12. Quelle est ma plus grande peur ?
Est-ce la peur de l'amour, peur du succès, peur de l'échec, peur de perdre le contrôle, peur du changement? Dans le contexte du bilan, on pourrait en choisir une seule et voir, concrètement, comment on pourrait transformer cette peur en un succès. En nommant une action concrète pour transcender nos peurs, on amorce un processus pour s'en libérer.
13. Qu'est-ce que j'ai à pardonner ou à me faire pardonner ?
Le ressentiment et la rancune nous gardent attachée au passé et nous empêchent d'avancer. Pardonner permet de passer à autre chose et de faire en sorte que notre vie ne soit plus limitée par un événement négatif. Parfois aussi, c'est à nous de demander pardon à quelqu'un afin de ne plus vivre avec le poids de la culpabilité.
14. À qui ai-je envie de dire merci, aujourd'hui ?
Avec un peu de recul, on réalise que, dans la dernière année, des gens nous ont aidée, supportée, écoutée, encouragée... C'est le moment de leur dire un sincère merci. Qu'il s'agisse d'une voisine, d'une amie, d'une collègue ou d'un proche, on trouve une façon sincère et originale de lui témoigner notre reconnaissance.
15. En couple ou célibataire: dans les deux cas, suis-je heureuse ?
Source de grandes joies, la vie à deux peut devenir néfaste quand on est malheureuse ou qu'on a tout essayé, sans succès, pour requinquer notre union. Notre couple est-il en santé ou, au contraire, draine-t-il notre santé? Qu'est-ce qui nous plaît ou nous déplaît dans notre vie amoureuse? On est célibataire? Est-ce que le célibat - imposé ou volontaire - nous comble? Est-on heureuse seule? Sinon, que pourrait-on faire pour retrouver une relation qui nous comblera?
16. Qui compte pour moi ?
On a toutes des relations importantes qui marquent nos vies, que ce soit avec nos parents, nos conjoints, nos enfants, notre belle-famille, les enfants de notre conjoint, etc. Le bilan nous donne l'occasion d'examiner ces relations, mais aussi d'apprécier ceux et celles qui font partie de notre vie.
17. Ai-je la vie familiale dont j'ai rêvé ?
Les besoins de chacun sont-ils comblés? Notre environnement familial est-il harmonieux? La répartition des tâches est-elle équitable? Bref, qu'est-ce qui va bien et qu'est-ce qui a besoin d'être corrigé?
18. Quelles sont les amitiés les plus importantes pour moi ?
Une véritable amitié est une relation qui nous aide à grandir et nous encourage à être une meilleure personne. C'est le moment de passer en revue nos amitiés, les vieilles comme les nouvelles. Certaines d'entre elles sont-elles toxiques ou, du moins, très accaparantes? Prend-on assez soin de nos amies et ces dernières sont-elles là pour nous quand on a besoin d'elles? Est-ce qu'on traîne de vieilles amitiés qui ne sont plus agréables? Y a-t-il de nouvelles amies à qui on aimerait faire plus de place dans notre vie?
19. Pour être plus libre, qu'est-ce que je devrais laisser aller ?
Un secret de famille, de vieux regrets, un tabou qui nous a miné l'existence, voilà des chaînes qui nous gardent prisonnière du passé. Que ce soit en parlant ouvertement de ce qui nous a blessée ou en faisant une trêve dans un conflit qui n'existe même plus, le temps est venu de nous libérer de nos vieux bagages pour voyager plus léger.
20. Si j'avais un mot à choisir pour guider mes actions dans la prochaine année, quel serait-il ?
Que ce soit confiance, force, créativité ou gratitude, on profite de cet exercice pour se donner en cadeau un mantra qui guidera nos pensées, nos paroles et nos actions en 2012. On l'écrit sur une feuille et on le met à notre vue pour toute l'année, histoire de ne pas l'oublier.
Prochaine étape : on passe aux actes
Une fois l'exercice terminé, on prend un peu de recul afin d'examiner notre parcours, les erreurs commises, les leçons apprises, les insatisfactions à régler, les désirs à combler, les projets à réaliser. Faire le bilan de sa vie demande un peu d'humilité, pas mal d'introspection et une bonne dose de courage.
Si nos réponses aux questions révèlent une insatisfaction, un doute, un mécontentement, on devra peut-être réfléchir encore un peu pour nommer ce qui nous dérange et comment y remédier. C'est aussi le bon moment pour voir ce qui pourrait être délégué ou éliminé pour faire un peu plus de place à ce qui compte pour nous, à ce qui nous ressemble. À partir de là, on choisit quatre ou cinq actions qu'on aimerait réaliser prochainement.
Si on en a envie, on peut utiliser nos réponses pour créer un rappel visuel des choses qu'on veut changer, améliorer ou instaurer. On utilise nos couleurs préférées et on souligne les mots-clés qui nous parlent le plus, on y ajoute des images qui correspondent à ce qu'on est et à ce qu'on désire. On peut même y mettre quelques phrases inspirantes pour s'encourager.
Pour éviter de faire des changements radicaux sur un coup de tête, on se fixe un échéancier pour amorcer ces changements en tenant compte des circonstances de notre vie et de notre rythme personnel. On peut maintenant amorcer la prochaine année avec confiance et sérénité!
Pour faire le point, et aller plus loin
L'auteure de cet article, Nicole Bordeleau, est aussi derrière ce coffret audio qui regroupe 12 conférences où elle aborde des thèmes semblables à ceux de cet article: le pardon, la gratitude, le stress, etc. Un beau cadeau à se faire pour commencer l'année!
Une année pour mieux vivre, 39,99$ ou 29,99$ en téléchargement sur yogamonde.com (on peut aussi possible télécharger les conférences à la pièce, pour 6,99$ chacune).
Si on aime les tests, ce petit bouquin regroupe 30 tests publiés par le magazine français réputé Psychologies. Pratique... et ludique! Qui êtes-vous vraiment? Présenté par Pascale Senk, L'Express, 2011, 22,95$.
http://www.coupdepouce.com/bien-dans-ma-tete/psychologie/notre-bilan-de-vie-en-20-questions/a/38041/5