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Ancrons notre divinité dans notre réalité ordinaire, elle nous apportera l’amour et la guérison dans tous nos corps subtils. La lumière qu’elle émane éclaire toutes nos zones d’ombres, accueillons les en observateur et permettons leur libération. Accueillons la puissance de l’amour inconditionnel et celle de notre coeur sacré en nous. Vivons en conscience cette divinité retrouvée, ainsi, nous ne dépendrons plus de nos pensées, de nos émotions ; nos peurs se dissoudront sous l’effet de la lumière organique vivante qui nourrit le feu sacré qui est en nous. Soyons au-dessus de nous, même tout en étant ancrés à la terre, ramenons le ciel sur la terre. Élevons-nous à notre plus haute fréquence vibratoire pour nous éclairer et illuminer le monde.Nous ne sommes pas de ce monde

il y a quelques années, un monsieur m’a dit, à la fin d’une conférence : vous êtes le plus beau paquet de particules que j’ai vu dans ma vie. J’avoue que sur le coup, je n’ai pas vraiment compris que c’était un vrai compliment… aujourd’hui, j’ai pris conscience ! Nous sommes pure conscience cosmique, énergétique, particules atomiques en perpétuel mouvement qui vibre en permanence pour exister. Il n’y a pas un point de départ de la conscience, ni un point d’arrivée, elle est partout, tout le temps. C’est ce qui est nommé Dieu, la Source, l’énergie universelle ou encore le Chi. Tout ce qui vit est donc un paquet de particules assemblées par attraction pour former une manifestation. Chaque manifestation peut dire ‘Je suis’ au centre de mon monde dans le champ du Tout. Chaque ‘Je suis’ à raison ! L’ensemble des ‘Je suis’ vibrant dans la même fréquence s’attirent.

La Nature Vivante est l’ensemble des êtres pensants qui représentent les “atomes” du grand, de l’auguste monde. Tout l’espace dans lequel nous vivons et nous nous mouvons, est rempli d’êtres de catégories et de cultures différentes. De sorte que lorsque nous parlons de l’univers, nous comprenons la totalité des êtres intelligents ayant entre eux des rapports d’une harmonie absolue. Ce sont précisément ces êtres vivants qui donnent un si grand prix à tout le cosmos. Et voilà pourquoi, pour ceux qui ont la conscience cosmique, le cosmos tout entier avec sa nature est un être vivant dans lequel tout s’unit.Et ce cosmos peut être “illimité” et “limité”, grand et petit : un admirable attribut de l’Éternel est de pouvoir prendre les formes qu’il veut.

Beaucoup d’entre vous ont éprouvé des craintes quant à l’avenir de leur monde, de leur pays ou de leur vie individuelle. C’est compréhensible. Nombreux sont ceux qui, dans votre monde, profitent de vos peurs. Si vous craignez que le fait d’être mal informé vous rende vulnérable aux attaques, vous passerez des heures à vous tenir informés. Si vous avez peur de manquer à l’avenir, vous achèterez plus que vous ne l’aviez prévu lorsque quelque chose est en solde. Si vous avez peur d’être malade, vous achèterez des biens et des services pour prévenir votre décès et passerez d’innombrables heures à lire des articles sur les maladies possibles. En tant que race humaine, vous commencez tout juste à comprendre que, quelle que soit

Le chat, majestueux animal aux yeux perçants et à la grâce mystérieuse, est bien plus qu’un simple être vivant. Il incarne une connexion entre notre monde terrestre et le royaume spirituel. Depuis des millénaires, ces créatures mystiques sont considérées comme des envoyés divins, des gardiens des énergies célestes et des guides de l’âme. Les chats possèdent en eux une force ésotérique unique, telle une lumière intérieure qui les anime. Leur subtilité et leur agilité physique cache un véritable don, celui d’avoir la capacité de percevoir les énergies invisibles qui nous entourent. Leur sixième sens, développé à travers les âges, leur permet de ressentir les vibrations les plus subtiles, qu’elles soient positives ou négatives. Les chats sont capables de détecter les changements énergétiques dans notre environnement et de nous avertir des périls qui s’approchent

Depuis des lustres, le monde se divise en deux : une moitié se moque, juge, critique, accuse et condamne l’autre. Dans cette vision limitée, nous semblons constamment du mauvais côté.Alors, pourquoi chercher à satisfaire l’un ou l’autre camp ? La vie nous a conféré le Pouvoir de Choisir ce qui nous convient, de nous éloigner de ce qui nous nuit. Ce pouvoir n’est pas fait pour dominer ou asservir ceux qui pensent différemment. Inutile de gaspiller notre énergie et nos journées à défendre nos points de vue. Après tout, ce ne sont que des opinions parmi tant d’autres. Optons librement pour le bien-être et laissons partir ce qui ne nous correspond pas.  C’est ça, le libre arbitre : choisir pour soi-même simplement et librement. Ouvrons les yeux

Il y a un champ d’expérience dont on ignore tout. Ce champ est de partout comme dans notre propre corps. Ce corps intérieur renferme en lui tout de l’extérieur, puisque l’un est l’expression de l’autre. Ce champ infini est sans cesse accessible et pourtant, nous sommes constamment focalisés sur toute autre chose. Tant que nous sommes happés par notre mental, nous ne pouvons accéder à cette terre infinie d’apprentissage. Cette école de vie est sans cesse en nous, parce que nous sommes constamment en elle, et tant que nous resterons subjugués par toutes nos projections mentales, nous serons hélas imperceptiblement programmés à ne rien pouvoir voir et donc à ne jamais rien comprendre de ce qui se passe réellement dans notre vie.

Le monde extérieur que nous percevons est à l’image de notre réalité intérieure. Quand bien même on essaie de nous faire avaler que nous vivons tous dans le même monde où il se passe d’horribles choses, ce n’est pas le cas, au contraire.Personnellement, mon monde est merveilleux, il est magique (au moins 6 jours sur 7 )Nous interprétons toujours le monde extérieur selon notre prisme intérieur. Et comme cette interprétation devient notre réalité; nous créons individuellement notre monde extérieur.Et nous trouvons un cadre de référence commun pour pouvoir en parler avec autrui, dans lequel nous faisons souvent l’amalgame de penser que l’autre et moi-même percevons la même chose d’une situation.