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Astro Maya - Jeudi 6 Février 2014
- Par reikiland
- Le 06/02/2014
Vous
Tendance du jour : la mise en œuvre
Chassez les illusions, les façades, les faux-semblants qui règnent autour de vous et créez vos propres réalités de ce monde qui est le vôtre. Allez à la rencontre de vous-même plutôt qu’à celle des supports quels qu’ils soient et qui vous sont extérieurs. Retrouvez l’état d’enfance que les conditionnements vous ont fait perdre et acceptez avec humour les perturbations générées par cette transformation.
Vous et les autres
Tendance du jour : la transmission
Vous allez avoir besoin de repères affectifs. Aussi, n’hésitez pas à parler ouvertement de vos idées et de vos nouvelles intentions qui émanent du plus profond de votre être. Accueillez l’éventuelle insensibilité, voire même les sarcasmes, avec bienveillance. Répondez aux questions avec bonne humeur. Vous apporterez une certaine lumière dont les autres n’ont pas forcément l’habitude. Votre joie et votre rire seront vos meilleurs atouts. -
Astro Maya - Mercredi 5 Février 2014
- Par reikiland
- Le 05/02/2014
Vous
Tendance du jour : la mise en œuvre
Chassez les illusions, les façades, les faux-semblants qui règnent autour de vous et créez vos propres réalités de ce monde qui est le vôtre. Allez à la rencontre de vous-même plutôt qu’à celle des supports quels qu’ils soient et qui vous sont extérieurs. Retrouvez l’état d’enfance que les conditionnements vous ont fait perdre et acceptez avec humour les perturbations générées par cette transformation.
Vous et les autres
Tendance du jour : la transmission
Vous allez avoir besoin de repères affectifs. Aussi, n’hésitez pas à parler ouvertement de vos idées et de vos nouvelles intentions qui émanent du plus profond de votre être. Accueillez l’éventuelle insensibilité, voire même les sarcasmes, avec bienveillance. Répondez aux questions avec bonne humeur. Vous apporterez une certaine lumière dont les autres n’ont pas forcément l’habitude. Votre joie et votre rire seront vos meilleurs atouts. -
Les phases de la transformation
- Par reikiland
- Le 04/02/2014
Lorsque vous vous situez au niveau spirituel, vous êtes automatiquement stabilisés dans des énergies hautes, car à ce moment-là, aucun travail ne se fait sur votre corps physique, sur votre corps énergétique, sur vos cellules. Il y a des moments où le travail est inopérant, car vous ne pourriez pas vivre à temps complet, en permanence, cette transformation totale de votre être, de vos cellules, de votre énergie. Vous ne le supporteriez pas physiquement, émotionnellement et psychiquement.
La transformation se fait donc par phases. Elle peut se faire lors de votre sommeil, elle peut se faire pendant vos moments de veille. Les phases de transformation sont très réduites dans le temps pour vous permettre de bien les intégrer, les digérer. Pendant ces périodes, vous êtes dans des phases de vibrations beaucoup plus basses (pas en vibrations basses, mais dans des phases de vibrations beaucoup plus basses).
Il vous arrive parfois d’avoir des difficultés à méditer. Celles-ci sont aussi à rapprocher des transformations vibratoires et de ces moments d’intense travail de transformation personnelle. Chacun vit ces moments, vit des périodes de décalage par rapport à son frère, à son voisin, à son conjoint, à son ami. Ces phases de transformation n’ont pas lieu systématiquement au même moment pour chacun.
Ce que nous énonçons est très important par rapport au chemin que vous avez emprunté, à vos questionnements, à votre transformation. Les moments de « dépression » ou d’état un peu dépressif correspondent généralement à de grands moments de transformation aux niveaux physique, émotionnel et psychologique, mais pas au niveau spirituel.
Vous comprendrez maintenant pourquoi vous êtes cyclothymiques, pourquoi, à certains moments, vous êtes dans des phases agréables pour vous, c’est-à-dire dans des périodes où vos vibrations sont très élevées, où vous êtes dans la joie, dans la sérénité, dans l’Amour, et pourquoi, à d’autres, vous êtes dans des vibrations totalement différentes. Cela fait partie des transformations qui ont lieu en vue de l’accession à la nouvelle dimension de la vie.
Vous ne pouvez gérer cette cyclothymie par rapport à votre entourage. Il faut que vous acceptiez cette transformation. Vous n’avez aucune possibilité de gérer l’ingérable. Il faut que votre entourage ait suffisamment d’Amour pour supporter vos moments de transition, de transformation.
Bien évidemment, lorsque vous êtes au courant de cela, il est plus facile de l’accepter, de le comprendre, de le vivre. N’essayez surtout pas de gérer des situations impossibles à gérer, cela ne fait pas partie de vos capacités. C’est comme si vous vouliez gérer des courants électriques gigantesques qui vous parcourraient, qui vous transformeraient.
Il faut que vous ayez suffisamment d’Amour pour accepter ces moments de cyclothymie, en vous et en ceux qui vous entourent, vos conjoints, votre famille, car si vous ne le faites pas, non seulement vous ne les aidez pas, mais vous ne vous aidez pas lorsque vous êtes dans la même situation.
Vous pouvez reproduire ces textes et en donner copies aux conditions suivantes :
- qu’ils ne soient pas coupés et/ou qu’il n’y ait aucune modification de contenu
– que vous fassiez référence à nos sites http://ducielalaterre.org,
– que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu -
Astro Maya - Mardi 4 Février 2014
- Par reikiland
- Le 04/02/2014
Vous
Tendance du jour : la libération
L’expérience nous donne l’occasion de connaître et de ressentir. Il faut savoir l’écouter. Chaque erreur commise est sujette à compréhension et permet d’avancer. Souvenez-vous des émotions vécues, de ce qui vous a fait souffrir, pour ne pas recommencer sans cesse les mêmes schémas. Libérez-vous des illusions provoquées par des sentiments à tendance dramatique qui ne vous conviennent plus. Construisez-vous pour faire de vous-même un être neuf grâce à une vision plus éclairée de la vie.
Vous et les autres
Tendance du jour : la fidélité
Apprenez à marcher dans les mocassins des autres. Essayez de comprendre chacun dans ses différences. Vous pouvez être aujourd’hui un compagnon dévoué et même un guérisseur, harmonisant la vie des autres grâce à votre esprit humaniste, élargissant leur conscience pour leur ouvrir la voie vers d’autres perspectives. Mais si vous n’êtes pas bien perçu(e), pardonnez car il est dans notre nature de n’être pas semblables ni dans notre sensibilité ni dans notre degré d’ouverture. -
Astro Maya - Lundi 3 Février 2014
- Par reikiland
- Le 03/02/2014
Vous
Tendance du jour : le mouvement
Vous manquez de confiance en vous et vous avez besoin que des signes vous soient envoyés pour obtenir des réponses à vos questionnements. Prêtez attention à tout car tout peut être signe pour vous dire qui vous êtes vraiment et ce que vous valez. Vous avez besoin d’une structure sur laquelle vous appuyer et vous êtes en train de la construire. Aspirant à une vie plus riche sur tous les plans, vous avez déjà semé la graine.
Vous et les autres
Tendance du jour : le flux
Telle l’eau qui coule pour aller vers la mer et former un tout, ainsi est votre volonté propulsée par le désir de combler vos aspirations. Votre instinct vous dit que vous faites partie d’un océan infinie, comme chacun d’entre nous. Sentez-vous comme un membre apprécié d’une équipe, en parfaite interconnexion avec chacun. Enfouie à l’intérieur de vous, existe une attirance innée pour le partage et le don, seuls des événements extérieurs freinent leur expression. Par une bonne entente avec les autres, vous dépasserez ces barrages pour devenir un canal. -
La première initiation à la VIE
- Par reikiland
- Le 02/02/2014
Vous verrez que dans la vie, vous recevez exactement ce que vous donnez. Votre vie est le miroir de ce que vous êtes. Elle est à votre image. Vous êtes passif, aveugle, exigeant. Vous prenez tout, vous acceptez tout, sans aucun sentiment d’obligation. Votre attitude envers le monde et la vie est l’attitude de quelqu’un qui a le droit d’exiger et de prendre, qui n’a aucun besoin de payer ou de travailler pour obtenir salaire. Vous croyez que tout vous est dû, juste parce que c’est vous! Tout votre aveuglement vient de là! Rien de tout cela ne vous interpelle. Et pourtant, c’est ce qui maintient les mondes séparés.
Vous n’avez aucune mesure vous permettant de vous évaluer. Vous vivez exclusivement selon le mode « J’aime » ou « Je n’aime pas », vous n’avez aucune appréciation, excepté pour vous-même. Vous ne reconnaissez rien au dessus de vous – théoriquement, logiquement, peut-être, mais en vérité, rien. C’est pourquoi vous êtes exigeant et continuez à croire que tout est bon marché et que vous avez assez dans votre poche pour acheter tout ce que vous voulez. Vous ne reconnaissez rien au dessus de vous, soit extérieurement, soit intérieurement. C’est pourquoi, je le répète, vous n’avez aucune mesure et vivez passivement selon vos préférences et vos dégoûts.
Oui, votre « appréciation de vous-même » vous aveugle. C’est le plus grand obstacle à une nouvelle vie. Vous devez être capable de surmonter cet obstacle, ce seuil, avant d’aller plus loin. Ce test divise les hommes en deux sortes : le « bon grain » et « l’ivraie ». Peu importe à quel point un homme est intelligent, doué, brillant : s’il ne change pas son appréciation sur lui-même, il n’y aura aucun espoir de développement intérieur, de travail vers la connaissance de soi, pour un vrai devenir. Il restera tel qu’il est toute sa vie. La première nécessité, la première condition, le premier test pour celui qui veut travailler sur lui-même est de changer son appréciation sur lui-même. Il ne doit pas imaginer, pas juste croire ou penser, mais voir des choses en lui qu’il n’avait jamais vues auparavant, les voir vraiment. Son appréciation ne pourra jamais changer tant qu’il ne verra rien en lui. Et afin de voir, il doit apprendre à voir. C’est la première initiation de l’homme vers la connaissance de soi.
Avant tout, il doit savoir ce qu’il doit regarder. Quand il le sait, il doit faire des efforts, maintenir son attention, regarder constamment avec persistance. Ce n’est qu’en maintenant son attention, et en n’oubliant pas de regarder, qu’un jour, peut-être, il sera capable de voir. S’il voit une fois, il peut voir une deuxième fois, et s’il continue, il sera incapable de ne plus voir. C’est l’état à rechercher, c’est le but de notre observation ; c’est de là que le vrai désir naîtra, le désir irrésistible de devenir ; de froids nous deviendrons chauds, vibrants ; nous seront touchés par notre réalité.
Aujourd’hui, nous n’avons rien d’autre que l’illusion de ce que nous sommes. Nous avons une trop haute opinion de nous-même. Nous ne nous respectons pas. Afin de me respecter, je dois reconnaître cette partie de moi qui est au-dessus des autres parties, et mon attitude envers cette partie doit témoigner du respect que j’ai pour elle. De cette façon, je me respecterai. Et mes relations avec les autres seront gouvernées pas le même respect.
Vous devez comprendre que toutes les autres mesures – talent, éducation, culture, génie – sont des mesures fluctuantes, des mesures de détail. La seule mesure exacte, la seule mesure réelle, immuable et objective, c’est la mesure de la vision intérieure. Je vois – je me vois : par cela, vous avez mesuré. Avec une partie supérieure réelle, vous avez mesuré une autre partie inférieure, tout aussi réelle. Et cette mesure, définissant par elle-même le rôle de chaque partie, vous mènera au respect envers vous-même.
Mais vous verrez que ce n’est pas facile. Ce n’est pas gratuit. Vous devrez payer très cher. Pour les mauvais payeurs, les paresseux, les parasites, aucun espoir. Vous devrez payer, payer beaucoup, et payer immédiatement, payer à l’avance. Payer de vous-même. Par des efforts sincères, consciencieux, désintéressés. Plus vous serez prêt à payez, sans économiser, sans tricher, sans falsifier, plus vous recevrez. Et à partir de là, vous connaîtrez votre nature. Et vous verrez toutes les manoeuvres, toutes les manipulations auxquelles a recours votre nature pour éviter de payer pour de vrai. Parce que vous devrez payer avec vos théories toutes faites, vos convictions enracinées, vos préjugés, vos conventions, vos « J’aime » et « Je n’aime pas ». Sans marchander, honnêtement, sans faire semblant. Sans essayer « sincèrement » de voir tout en offrant votre fausse monnaie.
Essayez un moment d’accepter l’idée que vous n’êtes pas ce que vous croyez être, que vous vous surestimez – en fait, que vous vous mentez à vous-même. Que vous vous mentez à vous-même à chaque instant, toute la journée, toute votre vie. Que ce mensonge vous domine au point que vous ne pouvez plus le contrôler. Vous êtes la proie du mensonge. Vous mentez, en tout lieu. Vos relations avec les autres : mensonges. L’éducation que vous donnez, les conventions : mensonges. Votre enseignement : mensonges. Vos théories, votre art : mensonges. Votre vie sociale, votre vie de famille : mensonges. Et ce que vous pensez de vous-même : mensonges aussi.
Mais vous ne vous arrêtez jamais dans ce que vous faites ou ce que vous dites, parce que vous croyez en vous. Vous devez vous arrêter intérieurement et observer. Observer sans préconçu, en acceptant un moment l’idée du mensonge. Et si vous observez ainsi, en payant de vous-même, sans auto-apitoiement, en abandonnant toutes vos prétendues richesses pour un moment de réalité, peut-être verrez-vous soudain, en vous-même, quelque chose que vous n’aviez jamais vu auparavant. Vous verrez que vous êtes différent de que ce que vous croyez être. Vous verrez que vous êtes deux. Un qui n’est pas, mais qui prend la place et joue le rôle de l’autre. Et un qui est, mais si faible, si intangible, que sitôt apparu, il disparaît immédiatement. Il ne peut supporter le mensonge. Le moindre mensonge le fait s’évanouir au loin. Il ne combat pas, il ne résiste pas, il est battu d’avance. Apprenez à regarder jusqu’à voir la différence entre vos deux natures, jusqu’à voir les mensonges, la tromperie en vous. Quand vous verrez vos deux natures, ce jour-là, en vous, la vérité naîtra.
- Jeanne de Salzmann
http://francesca1.unblog.fr/ -
Comment la pensée se réalise dans la matière
- Par reikiland
- Le 02/02/2014
Lorsque l’esprit de l’homme a quitté le sein de l’Eternel, il était en possession de tous les savoirs, de tous les pouvoirs, et il ne les a pas perdus, ils sont profondément enfouis, recouverts par des couches de matière opaque, mais ils sont toujours là, en lui. Alors, comment les retrouver ? C’est simple : le travail et le temps… oui, le travail et le temps nécessaires pour la matérialisation, la concrétisation des puissances de l’esprit.
Mais ce qu’il faut connaître avant tout, ce sont les conditions dans lesquelles ce travail de matérialisation est possible. Ces conditions, beaucoup, même parmi ceux qui se sont engagés dans la voie de la spiritualité, ne les connaissent pas. Sous prétexte qu’ils ont entendu parler des pouvoirs de la pensée, ils se lancent dans des exercices de concentration pour produire certains phénomènes ou réaliser des projets dans le plan physique ; et comme ils n’obtiennent pas de résultat, ils sont déçus et ne s’exercent plus, ce qui est dommage. Ou alors, ils persévèrent et détraquent leur système nerveux, ce qui est encore plus grave.
La nature a donné à l’homme différents instruments pour agir sur la matière, mais il doit savoir quand et comment les utiliser. Si vous voulez faire venir par la pensée un morceau de sucre jusqu’à votre bouche, vous aurez beau vous concentrer, il y a de fortes chances pour qu’il ne bouge pas. Mais prenez ce morceau de sucre avec la main, portez-le à la bouche, et ça y est ! Pour saisir les objets, la nature nous a donné une main, et cela doit nous suffire. Vous direz : « Mais alors, que doit-on faire avec la pensée ? « Ah ! avec la pensée on peut réaliser des choses beaucoup plus importantes ; seulement il faut connaître sa nature, comment elle travaille et quelles sont les conditions nécessaires pour qu’elle se réalise dans la matière.
Combien de livres compliqués ont été écrits sur la matérialisation de la pensée ! En réalité, c’est très simple, et le plus extraordinaire, c’est qu’on a continuellement sous les yeux des exemples de ce processus, seulement on n’ a pas su les observer et en tirer des conclusions. Un homme se dit un jour qu’il serait bien agréable d’avoir un peu d’argent sans se fatiguer. Tout d’abord, il se contente d’imaginer, il se représente la scène, les circonstances : la foule dans le métro, ou dans un grand magasin, et sa main qui se glisse dans une poche ou dans un sac pour prendre un porte-feuille… Cela reste encore un moment dans sa tête comme une perspective assez vague. Seulement voilà, comme cette pensée s’est enregistrée, elle déclenche certains rouages en lui et peu à peu elle descend dans le plan du sentiment : il commence à désirer ardemment sa réalisation. Les communications, les branchements sont en train de se faire, et voilà qu’un beau jour, sa main se faufile dans un sac ou s’empare d’un objet sur un étalage. Donc, vous voyez, tant que la pensée restait en haut, dans le plan mental, elle était inopérante ; mais elle est descendue dans le plan astral, le plan du désir, et de là dans le plan physique. Comment peut-on dire alors que la pensée ne se réalise pas ?
Prenons encore un exemple. Un garçon tout à fait pacifique, doux, idéaliste, qui ne ferait pas de mal à une mouche, entre à l’Université. Là, il commence à lire des livres d’histoire et de philosophie où il découvre les idées de certains penseurs politiques qui ont bouleversé des sociétés et entraîné des peuples dans de grandes aventures. Il se prend de passion pour eux, se plonge dans leurs œuvres, et nourrit des idées de plus en plus audacieuses. Enfin, il s’inscrit dans un parti avec le désir de jouer, lui aussi, un rôle et le voilà un jour à la tête d’une révolution dans son pays. Tout a commencé par des idées, des théories, une philosophie. Alors, comment douter que la pensée est une puissance formidable ? On ne la voit pas, elle n’arrive pas à faire bouger un morceau de sucre, mais elle finit par soulever des millions d’hommes !
La pensée est donc une force, une énergie, mais en même temps une matière d’une extrême subtilité qui travaille dans des régions très éloignées du plan physique. Elle traverse les murs et les objets sans laisser de traces et, pour pouvoir agir sur la matière, elle a besoin qu’on lui construise des ponts, c’est-à-dire toute une série d’intermédiaires. Donnez-lui ces intermédiaires et vous verrez qu’elle est capable d’ébranler l’univers. Vous avez regardé comment fonctionnent les machines dans une usine ? Tout est branché, tout est prêt, il y a juste un bouton, là, un simple bouton sur lequel il suffit d’appuyer ; et comme ce bouton est relié à une quantité de rouages, de circuits de transmission, au moment où on appuie, toutes les machines se mettent en marche et, au bout de la chaîne, là-bas, on voit bientôt apparaître un objet entièrement réalisé.
La pensée que l’homme projette agit déjà dans sa région, en haut, où elle met en marche des appareils d’une grande subtilité. Mais tant que la communication n’est pas correctement établie d’un plan à l’autre, tant que les relais de transmission ne sont pas installés, elle ne peut pas se concrétiser par des actes dans le plan physique ; il y a des trous, des zones mortes, le courant ne passe pas. Tout n’est donc qu’une question de communication, de transmission. Jamais la pensée n’exerce directement son pouvoir dans le plan physique. Il lui faut des intermédiaires. On ne saisit pas des braises avec la main, mais avec des pincettes ; et pour se servir de potage on prend une louche. Et le bras, si l’on veut comprendre ce qu’est un bras, eh bien, c’est justement un intermédiaire entre la pensée et l’objet. Lorsque vous prenez un morceau de sucre qui agit ? Votre pensée, car c’est votre pensée qui conduit le bras. Mais la pensée ne suffit pas, il faut le sentiment, car si vous n’avez pas envie de sucre ou si vous ne l’aimez pas, votre bras n’ira pas le prendre.
Il existe évidemment un lien entre la pensée e t l’action, mais c’est entre le sentiment et l’action que ce lien est le plus fort. Pourquoi, quand vous éprouvez de l’amour ou de la colère, ce sentiment se fraie-t-il immédiatement le chemin jusque dans le plan physique ? Que vous le vouliez ou non, vous faites les gestes qui lui correspondent. Aimez quelqu’un, et vous êtes instinctivement poussé à lui sourire, à la caresser, à l’embrasser, à lui apporter des cadeaux. Soyez irrité contre lui, et vous devez faire des efforts pour ne pas le foudroyer du regard ou lui donner une paire de gifles. Chaque sentiment se manifeste à travers des gestes déterminés. C’est toujours la pensée, soutenue par le sentiment, qui fait courir les gens ou qui les arrête, qui suscite des guerres, des dévastations ou les plus nobles entreprises…
La pensée est donc bien une puissance, mais à condition qu’il y ait les bras pour la réaliser. Et l’homme lui-même est un exécutant, un bras. Le bras d’un homme est un symbole de l’homme lui-même, qui représente alors un autre bras. Oui, le bras est résumé de l’homme : l’homme est un bras pour la pensée, et il se peut que la pensée soit aussi un bras pour d’autres pensées dans des régions de plus en plus élevées… jusqu’à la divinité qui utilise tous les bras, c’est-à-dire toutes les créatures.
S’il y a une chose qui’ ne faut jamais oublier, c’est que toutes les pensées que nous formons, les plus faibles, les plus insignifiantes soient-elles, sont une réalité, car chaque pensée est une entité vivante. Et ce n’est pas parce qu’elle ne touche pas directement le plan physique qu’on peut en conclure qu’elle ne se réalise pas. Elle se réalise, mais dans la région qui est la sienne : le plan mental, et c’est seulement là qu’elle agit, comme on peut l’observer dans le cas de l’hypnotisme (sujet abordé dans un autre post) .
http://herosdelaterre.blogspot.fr/ -
Contrôle de la pensée
- Par reikiland
- Le 02/02/2014
Une rencontre peu commune avec Anne Givaudan
Je reviens d’une rencontre peu commune puisqu’il s’agit d’une rencontre intergalactique. J’ai été amenée là avec cette sensation d’être aspirée vers « le haut » et sachant que mon rôle serait davantage celui d’une reporter ou chroniqueuse de ce moment-là.
Les Solaires étaient présents, ce qui est rarissime, ainsi que d’autres êtres sans doute d’une énergie identique puisque je ne pouvais distinguer d’eux qu’une lumière fabuleusement aimante qui s’en dégageait. Mes yeux encore trop humain, même en dehors de mon corps physique, ne me permettaient pas d’en distinguer davantage.
J’ai reconnu là aussi, dans ce lieu, des êtres déjà rencontrés sur d’autres planètes. C’est toujours un extraordinaire moment pour moi que d’être en présence d’autant d’êtres aux formes les plus diverses mais à l’émanation identique dans l’amour qui en émane.
Il fut question, entre autre, de la façon dont il était à présent important d’entrer en contact d’une façon bien plus générale avec les humains. Comment apparaître sans créer de panique et sans apporter à ceux qui gouvernent la terre une raison de plus de garder la population dans la terreur et dans la soumission.
Il a été également question de trouver comment rendre plus autonomes ceux de la Terre, au-delà des révoltes et des abattements, comment aider les humains à avoir confiance dans leur propre lumière, au delà de tout égo. Comment leur apprendre qu’ils ont en eux un pouvoir phénoménal qui va les aider à sortir de la matrice qui leur donne l’illusion d’être impuissants.
Il fut question aussi de permettre aux êtres de la planète Terre d’apprendre à distinguer les clones et les robots d’apparence humaine afin de ne pas tomber directement dans des pièges évidents pour tous ceux qui ne sont pas de la Terre.
Le point ultime fut aussi la mise au point de moyens pour élever suffisamment le niveau vibratoire de ceux qui se préparent aux changements rapides qui se mettent en place afin qu’ils puissent ouvrir un regard plus vaste sur le monde et cesser de se fermer à des possibilités qui leurs sont proposées.
Il fut question de nouveaux sas interplanétaires à ouvrir sur Terre prochainement et de renforcer les équipes de rêveurs nocturnes terrestres qui aident considérablement la planète par des rencontres sur des plans d’où ils envoient des ondes bénéfiques sur Terre.
Nombreux des humains qui souhaitent une nouvelle Terre font partie de ces « équipes ».
Tout est encore en projet mais je sais que, sur ces plans, il y a très peu de temps entre le projet et la réalisation et je suis sûre que dans les mois qui viennent nous verrons la concrétisation de la plupart de ces points soulevés. Comme lors d’autres réunions, certains des participants étaient entièrement confiants dans ce que les humains feraient alors que d’autres restaient sceptiques.
Apprendre à dire non, apprendre à dire oui en conscience et parce que nous écoutons ce que dit notre coeur en prenant le risque de nous tromper (si ce n’est pas lui qui parle) est une étape essentielle si nous voulons sortir de notre prison actuelle.
Je ne suis venue sur terre que pour élever le niveau vibratoire (comme d’autres aussi) et je peux choisir pour cela tous les moyens à ma disposition, le reste ne m’appartient pas et je ne suis pas maître du résultat. J’ai cependant une totale confiance en le fait que les dispositifs mis en place et à la disposition de chacun puissent devenir des sas ouverts sur les mondes que nombre d’entre nous ignorent encore, mais pressentent.
D’énormes changements sont en train d’arriver et certains sont déjà mis en place aussi. Quoi qu’il arrive, sachez qu’il ne peut vous arriver que ce à quoi vous avez dit oui. N’acceptez pas l’inacceptable et mettez de la Lumière sur ce que vous souhaitez vraiment, mais pour cela il vous faut apprendre rapidement à penser et à manier les formes pensées pour qu’elles ne soient plus involontaires et incontrôlables comme jadis.
Vous vous entraînez pour tout exercice que ce soit physique ou intellectuel. Aujourd’hui, il est grand temps de concevoir ce même entraînement pour vous servir de vos formes pensées afin de laisser la place aux évènements que vous voulez voir arriver.
Lors de la réunion, il a été fait mention du brouhaha incessant des pensées humaines. Il est plus que temps non seulement de connaître leur fonctionnement mais d’avoir une action et un contrôle sur ces pensées qui nous échappent, qui vivent leur vie et nous reviennent tel un boomerang.
La conclusion de cet échange était que, dès à présent, il était important de passer aux actes et non plus simplement de comprendre.
J’ai vu aussi dans l’immense sphère semblable au cristal en suspension au centre de la salle (et qui sert de pôle d’information pour des évènements actuels ou pour un éventuel futur) des scènes d’exode et de feu, de tremblements de Terre et de montée des eaux, de soulèvements populaires. Rien de très nouveau pour moi mais ce que j’ai vu aussi, c’est un nouveau soleil, une atmosphère encore inconnue sur Terre, l’émergence de bâtiments autrefois disparus, des aubes aux couleurs transparentes, des êtres aux radiations semblables à celles que l’on peut trouver sur d’autres planètes de l’Alliance et plus loin encore, en dehors de notre système galactique, un monde tellement différent que je ne peux le décrire sans l’amoindrir.
Je restai fascinée, presque collée au dessus du globe lorsque la voix chaleureuse et puissante d’un des êtres s’insinua en moi :
« Ceci est un des multiples possibles vers lequel se dirige la planète Terre.Toi qui est sur cette Terre, ne vois que la lumière au bout du tunnel et que ceux que tu approche fassent de même. Le But est lumineux ne le perdez surtout pas de vue et ne perdez plus de temps à comprendre. Il est plus que temps pour vous dans le temps qui vous est imparti de vous lever intérieurement et d’agir. »
Anne Givaudan du site : http://sois.fr/messages_single
http://channelconscience.unblog.fr/