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Blog

 

 

  • Astro Maya - Samedi 23 Novembre 2013

    Vous

    Tendance du jour : la joie

    D’une façon générale, la tendance est à la tristesse par méconnaissance de notre origine divine et de la source qui nous nourrit. Après avoir pris conscience de qui vous êtes et de ce qui vous anime, vous rechercherez la joie. Ensuite, vous apprendrez à la cultiver dans votre quotidien en créant sans cesse de la positivité, en éloignant de vous la peur et les craintes, en ne voyant que le plus beau en tout. Le plus sûr chemin pour y parvenir est d’être reconnaissant(e) pour tout et de remercier pour ce que vous recevez de la vie. Soyez confiant(e) dans le fait que lorsque vous l’aurez acquise, plus rien ne pourra vous atteindre.

    Vous et les autres

    Tendance du jour : le sens critique


    Quand vous donnez votre avis sur un être ou sur tout autre chose, cela signifie que vous mettez en avant votre ego. En effet, on parle de ce qui touche. Ainsi une vexation, un désappointement, vous amènent à vous venger inconsciemment en propageant autour de vous des ondes négatives sur le sujet qui vous a déçu. De même, ce qui vous plaît vous contente et vous voulez le faire savoir. Mais l’événement ou la personne concernée n’est pas en cause, seule votre satisfaction ou votre déception vous pousse à juger. Et ce n’est pas forcément l’avis de tout le monde. Alors, ne donnez plus votre opinion car elle n’a pas de valeur et peut même vous desservir auprès des autres.

     

    lotus couleurs

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  • Les personnes de ta vie

    tendresse
    Les gens se présentent dans ta vie pour

    - une raison,
    - une saison,
    - ou pour la vie.

    Lorsque tu sauras laquelle s'applique pour une personne, tu sauras ce qu'il faut faire pour cette personne.

    Lorsqu'une personne est dans ta vie pour une raison, c'est habituellement pour combler un besoin que tu as manifesté. Elle est venue pour t'assister à travers une épreuve, pour t'offrir son aide et support, pour t'aider physiquement, émotionnellement ou encore spirituellement.

    Cette personne est là pour la raison pour laquelle tu veux bien qu'elle soit.

    Alors, sans aucune mauvaise action par toi-même ou à un moment inopportun cette personne dira ou fera quelque chose pour briser cette relation. Quelques fois, elle meure. Quelques fois elle quitte. Quelques fois, elle agira de façon à te faire prendre une position ferme. Ce que tu devras réaliser, c'est que ton besoin a été comblé, ton désir est réalisé, son travail est terminé. Ta prière a été exaucée et maintenant il est temps de passer à autre chose.

    Certaines personnes viennent dans ta vie pour une saison parce que ton tour est venu pour partager, grandir et apprendre. Elles t'amènent une expérience de paix ou te font jouir de la vie. Elles pourraient te montrer quelque chose que tu n'as jamais fait. Elles te donnent habituellement une joie inhabituelle et incroyable. Crois-le c'est réel, mais simplement pour une saison.

    Les amitiés à vie te montrent des leçons de vie, des choses sur lesquelles tu dois bâtir, afin d'avoir une fondation solide en émotions. Ton travail est d'accepter la leçon : aimer la personne et mettre en valeur tout ce que tu as appris d'elle afin d'aider d'autre dans ta vie personnelle.

    Il est dit que l'amour est aveugle mais que l'amitié voit loin.

    Merci de faire partie de ma vie !

    Envoie ce message à tous tes amis internautes
    Source inconnue

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  • La prophétie de Shambhala


     
    " Parvenue jusqu’à nous à travers douze siècles, la prophétie annonçant la venue des guerriers Shambala illustre les défis auxquels nous sommes confrontés à l’époque du Grand Tournant et les forces que nous pouvons y investir.

    C’est en 1980 que Joanna Macy a connu cette prophétie en Inde par des amis tibétains, persuadés que cette ancienne prophétie se rapportait au temps de la planète que nous vivons. Elle an fait souvent le récit dans des ateliers car les signes qu’elle annonçait sont reconnaissables aujourd’hui - des signes qui témoignent d’un grand danger.

    On peut donner de cette prophétie diverses interprétations.
    Certains définissent la venue du royaume de Shambhala comme un événement intérieur, une métaphore de notre voyage spirituel intérieur, indépendant du monde qui nous entoure. D’autres le présentent comme un événement purement extérieur qui se déroulera indépendamment du choix de nos actes et de notre participation à la guérison de notre monde.
    Une troisième version de la prophétie, Joanna l’a reçu de son ami et maître Choegyal Rinpoche de la communauté de Tashi Jong au nord de l’Inde.

    La Prophétie :

    Il arrive un moment où toute vie sur terre se trouve en danger.
    De grandes puissances barbares se sont dressées. Bien que ces puissances dépensent leurs richesses à préparer leur destruction réciproque, elles ont beaucoup de choses en commun : des armes de destruction massive incommensurables et des technologies qui dévastent notre monde. En ce siècle où l’avenir de notre existence physique ne tient qu’au fil le plus mince, le royaume de Shambhala fait son apparition.

    On ne peut pas s’y rendre car ce n’est pas un lieu ; ce n’est pas une entité géopolitique. Il existe dans le cœur et l’esprit des guerriers Shambhala - « guerrier » est bien le terme employé par Choegyal. On ne peut pas reconnaître les guerriers Shambhala -homme ou femme- en les voyant car ils ne portent ni uniformes ni insignes ni drapeaux. Ils ne montent pas sur des barricades pour menacer leurs ennemis ou ne se replient derrière pour se reposer ou se regrouper. Ils n’ont pas même de territoire à eux. Ils doivent toujours se déplacer sur les terrains des barbares.

    Le temps est venu où les guerriers Shambhala doivent s’armer d’un grand courage -moral et physique- car ils doivent s’avancer au cœur même de la puissance barbare, pénétrer dans les fosses et les caches où sont entreposées les armes pour les démanteler. Pour démanteler ces armes -dans tous les sens du terme- ils doivent parvenir dans les allées du pouvoir où se prennent les décisions.

    Les guerriers Shambhala ont le courage de faire cela parce qu’ils savent que ces armes sont « manomaya » -construites par l’esprit. Construites par l’esprit humain, elles peuvent être détruites par l’esprit humain. Les guerriers Shambhala savent que les dangers qui menacent la vie sur terre ne nous sont pas infligés par quelque puissance extra-terrestre, des divinités sataniques ou un destin maléfique déterminé à l’avance. Ils proviennent de nos propres décisions, de nos propres modes de vie, des relations que nous entretenons.

    C’est pourquoi aujourd’hui les guerriers Shambhala s’exercent.
    Quand Choegyal lui dit cela, Joanna lui demanda
    « comment s'exercent-ils ? ’, «ils s’exercent au maniement de deux armes ».
    « Quelles armes ? ». Il leva la main comme le font les lamas qui tendent les objets rituels dorje et cloche au cours de la danse des lamas.

    Ces armes sont la compassion et la compréhension intuitive (insight). Les deux sont nécessaires, dit-il.

    Il vous faut la compassion parce qu’elle vous donne le punch, la force, la passion pour vous mettre en marche.
    Cela implique que vous n’ayez pas peur de la douleur du monde.
    Alors vous pouvez vous offrir à lui, aller de l’avant, agir.

    Mais cette arme seule ne suffit pas.
    Elle peut vous détruire, vous avez donc besoin de l’autre.

    Vous avez besoin de cet esprit de pénétration qui vous permet de saisir l’interdépendance fondamentale de tous les phénomènes.
    Grâce à cette sagesse, vous savez qu’il ne s’agit pas d’une lutte entre les « bons » et les « méchants », car la ligne de démarcation entre le bien et le mal traverse le paysage de tout cœur humain.

    Si l’on comprend par intuition les profonds liens qui nous unissent -notre écologie profonde- on sait que des actions entreprises dans une intention pure ont des répercutions dans tout le tissu vital et dépassent ce que l’on peut mesurer ou entrevoir.

    En elle-même cette compréhension peut nous paraître trop molle, trop conceptuelle pour nous soutenir et nous maintenir en mouvement, nous avons donc besoin de chaleur et de compassion.
    Les deux ensemble peuvent nous soutenir et faire de nous les agents d’un changement salutaire.
    Ce sont les dons qu’il nous faut réclamer pour guérir notre monde.

    Ces deux armes du guerrier Shambhala représentent deux aspects fondamentaux de l’œuvre de Reconnexion.

    L’une reconnaît et expérimente notre douleur éprouvée pour le monde. L’autre reconnaît et expérimente les liens fondamentaux qui nous permettent de nous unir à toute forme de vie."

    Merci à C. Dandréa d’avoir traduit ce texte de l’anglais et merci à tous ceux et celles qui ont permis à cette prophétie de traverser douze siècles....

    Source : http://www.journarles.org/spip.php?article31

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  • Cachez-Vous votre Lumière aux Autres ?



    Cette canalisation fait partie d’une session privée avec Saint-Germain canalisée par Alexandra et Dan. Elle est reproduite avec le consentement de leur client.

    « Cher Saint-Germain, j'aime apprendre de nouvelles méthodes de guérison alternatives. Je veux aider les autres avec ce que je sais déjà, mais je voudrais quand même en apprendre davantage. En ce moment je suis engagé dans l'homéopathie, la réflexologie, le Reiki, et le yoga.

    Mon gros problème, c'est le trac. Quel que soit ce que je fais, j'ai du mal à me présenter devant les autres. Je me sens exposé, aussi je me retrouve à cacher ma lumière. Cela m'empêche d'offrir au service des autres tout ce que je suis. Pouvez-vous m'aider ? »

    Mon cher ami, JE SUIS Saint-Germain.

    Il est clair que vous avez un grand amour du savoir et une affinité pour les arts de la guérison. Vous êtes également attiré vers une expression sensible de toute nature, et c'est quelque chose que vous devriez encourager en vous-même au fil de votre vie. Vous comprenez facilement les choses, vos intérêts sont variés, et votre désir d'utiliser vos talents créatifs est admirable.

    Vous aimez apprendre, enseigner, et réaliser, ainsi qu'être au service des autres avec compassion. Cependant, comme vous l'avez mentionné, vous ressentez une certaine gêne à le faire. Vous appelez ça « trac » ou angoisse de performance. Mais en réalité, cela a plus à voir avec la manière dont vous vous reliez émotionnellement aux autres, avec la manière dont vous gérez vos limites personnelles, et la manière dont vous êtes prêt à descendre dans les profondeurs de vos expériences. Voici ce que je veux dire par là.

    Schémas émotionnels subconscients

    Vous êtes naturellement attiré par les postes de direction, où vous pouvez montrer aux autres ce que vous savez et le partager avec eux. Cependant, vous pouvez aussi vous sentir mal à l'aise devant les gens, qu’il s’agisse d’amis et de pairs, ou de personnes que vous n'avez pas rencontrées auparavant.

    Ceci est dû en grande partie à des schémas émotionnels inconscients que vous portez en vous. Ils peuvent provenir de vies passées ou des débuts de cette vie-ci. Mais ce qu'ils ont en commun c’est que vous semblez conditionné à vous attendre à être humilié, gêné, menacé ou blessé si vous parlez ou si vous vous produisez devant des gens — quel que soit votre immense désir de le faire.

    Cela suggère que l'estime de soi et le sens de votre valeur sont impliqués ici, ainsi que la certitude que vous êtes sain et sauf dans le monde, et que vous pouvez faire confiance aux autres.

    C'est la raison pour laquelle vous pouvez vous sentir mis au défi de dépasser votre amour de l’étude pour interagir davantage avec vos clients. Faire cela vous oblige à établir des liens de confiance, ce qui pourrait vous donner un sentiment de menace, au niveau émotionnel. C'est l'une des principales raisons pour lesquelles vous vous sentez anxieux devant les gens, quelque chose que vous appelez « le trac ».

    Le point de vue de l'observation neutre

    Votre Âme vous encourage à vous détacher de l'anxiété et de l'inconfort que vous ressentez lorsque vous êtes avec des gens. Cette inquiétude ne fait que renforcer la croyance qu’être vu comme vous êtes réellement ne peut que conduire au ridicule et à la honte, ou menacer votre estime de soi.

    Bien sûr, cela ne signifie pas que vous devez réprimer ou nier vos émotions, ou cesser de vous exprimer. Cela signifie simplement que vous devriez mettre les choses en perspective. Cela signifie que vous auriez intérêt à adopter autant que vous le pouvez le point de vue de l'observateur neutre, jusqu'à ce que vous ayez appris à vous sentir plus à l'aise avec les gens.

    Lorsque vous adoptez le point de vue de l'observateur neutre, vous faites appel à votre capacité de vous observer pendant que vous interagissez avec les gens, sans vous laisser rattraper par la peur d'être embarrassé. C'est une sorte de confiance en soi détachée et humble qui ne dépend pas de la validation ou de l'approbation des autres.

    Vous avez appris à cacher votre lumière aux autres afin de vous protéger et de ne pas exposer au rejet vos émotions sensibles. Mais cela ne marche plus pour vous. Au lieu de cela, si vous pouvez apprendre à vous laisser être vu, au lieu de craindre d’être blessé si vous êtes exposé, vous allez permettre aux autres de se connecter avec vous d'une manière sincère. C'est ainsi qu'ils vont apprendre à vous faire confiance en tant que guérisseur, et que vous allez apprendre à les servir en tant que soutien.

    Quand vous adoptez le point de vue de l'observateur neutre, il est facile de vous rappeler votre valeur et vos capacités, et de partir simplement de là. Vous n’aurez pas peur de l'impression que vous ferez sur les autres, vos clients le sentiront et ils vont se détendre. En conséquence, vous serez en mesure de vous concentrer sur la mise en œuvre de vos compétences et vos clients seront en mesure de recevoir le traitement et les soins qu'ils attendent de vous.

    Lorsque vous atteignez cet état de neutralité, essayez de déplacer votre attention sur l’aide à vos clients. Une attitude de service est un bon remède pour l’angoisse de performance, parce qu’elle vous éloigne de la lumière des projecteurs et vous permet, à la place, de faire briller votre lumière de guérison sur eux.

    Rester ouvert, tout en conservant des limites

    Oui, en tant que soignant, vous devrez établir la confiance avec vos clients lorsque vous les servez. Vous le ferez en restant ouvert à eux émotionnellement, mais à l’intérieur de limites appropriées. Cela signifie que vous devez être disponible pour les inspirer et les encourager afin que leur guérison soit facilitée par vos soins et votre implication — mais sans vous laisser attirer dans leur drame ou leur souffrance, ce qui ne ferait que vous affaiblir et encourager leur dépendance.

    Maintenir des limites appropriées avec vos clients signifie que vous aurez besoin d’affermir votre position en tant que professionnel qui les sert, mais sans compromettre votre enracinement ou vous desservir vous-même en vous sentant mal à l'aise auprès d'eux. Si vous le faisiez, alors vous découvririez bientôt qu'il n'y a pas de place pour vous. Rappelez-vous de vous faire confiance, et de faire confiance à l'Esprit qui vous guide. Ayez confiance en vos capacités et ne dépendez pas de l’approbation ou de la reconnaissance de ceux que vous servez. Il suffit que le travail soit fait.

    Descendre dans les profondeurs de vos expériences

    Vous êtes motivé par des idéaux élevés et un amour de la science de la guérison, mais maintenant vous allez avoir besoin d’enraciner cela dans l'organisation pratique et l'exécution de votre métier. Cela va exiger votre attention, de la discipline, et un engagement renouvelé.

    Rappelez-vous qu'il sera bientôt temps pour vous de descendre dans les profondeurs de vos expériences en tant que guérisseur. Cela signifie que vous aurez à prendre l’engagement de rester concentré, et de ne pas vous laisser distraire par des intérêts concurrents, ou par la tentation d'essayer tout ce qui vous attire sans maîtriser une seule spécialité.

    Ce qui est important pour vous en ce moment, c'est d’examiner soigneusement tout ce que vous voulez faire. Regardez, et soyez honnête avec vous-même sur ce qui compte vraiment pour vous et ce que vous voulez atteindre dans votre carrière. Comment voulez-vous vous manifester dans le monde du service en tant que guérisseur ?

    Vous aimez vraiment le savoir, c'est vrai. Vous êtes né pour illuminer votre esprit avec la lumière de votre lampe spirituelle. Cela signifie que vous serez motivé pour apprendre des choses qui vous font du bien et auxquelles vous vous connectez profondément — et c'est ainsi que cela devait être. Mais ce dont vous avez besoin maintenant, c’est d’enraciner et de concentrer votre désir spirituel, afin de pouvoir vous engager comme guérisseur en serviteur sérieux et compétent.

    Votre Âme vous encourage à vous faire davantage confiance, à rester confiant dans vos compétences, et à avoir foi dans les processus spirituels qui opèrent dans les coulisses de votre vie. Une grande transformation s’installe dans votre vie actuellement, et cela va se prolonger au cours des prochaines années. Alors, si vous sentez que c’est juste, soyez prêt à accepter ce qui s'offre à vous. Faites confiance à votre intuition dans ce domaine, car ELLE EST la voix du conseil qui vous parle dans vos moments de silence et de calme.

    Souvenez-vous que vous êtes tendrement aimé, mon ami. JE SUIS Saint-Germain.

    Traduction AD
    Page d’origine : http://joyandclarity.blogspot.fr/2012/01/do-you-hide-your-healing-light-from.html
    http://www.anneduquesne.com/article-cachez-vous-votre-lumiere-aux-autres-121238566.html

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  • L’importance du travail de la pensée



    Les humains se sont tellement habitués à rester à la surface des choses qu’il est difficile maintenant de leur faire comprendre l’importance du travail de la pensée. Or, c’est dans le travail de la pensée qu’ils ont des possibilités qu’aune autre activité ne pourra jamais leur procurer. C’est pourquoi ils doivent commencer par voir la différence entre le travail tel qu’ils le comprennent en général et le travail de la pensée.

    Même si vous possédez toutes les richesses de la terre, tant que vous n’en aurez pas tiré la quintessence, vous vous sentirez pauvre, vide, inquiet, insatisfait. Car ce n’est pas la quantité de matière qui vous comblera, mais sa qualité, c’est-à-dire sa quintessence, quelque chose d’impondérable qui donne un sens à la vie.

    Malheureusement, il faut bien le reconnaître, dans presque toutes les activités, les humains ne font que casser des pierres, accumuler du minerai. Ils n’arrivent pas à en extraire la quintessence. Car pour obtenir la quintessence, il faut une autre activité, et cette activité se trouve dans le plan mental supérieur. Seul un enseignement initiatique peut apprendre aux humains comment trouver la quintessence.

    Tout ce que l’homme a vécu, tout ce qu’il a accumulé comme pensées, sentiments, sensations ; toutes les expériences qu’il a faites, toutes ses erreurs même, et toutes ses souffrances. Dans une école initiatique le disciple apprend à extraire la quintessence de son existence ; il étudie comment les lois agissent, il comprend pourquoi dans tel domaine il stagne, il n’arrive pas à avancer, alors que dans tel autre il progresse, il remporte des succès, il s’enrichit spirituellement. C’est ainsi qu’il tire des leçons et acquiert une véritable sagesse.

    La quintessence est ce que l’on peut trouver de plus parfait dans tout ce qui existe. Elle est comparable à un parfum, dont les effluves ne cessent de s’échapper dans l’espace sans que lui-même perde quoi que ce soit de sa matière. Quand un homme est parvenu à trouver la quintessence de sa vie, de son être, il a trouvé ce qui existe de plus précieux. Si en lisant un livre, en regardant un tableau, en écoutant de la musique vous sentez soudain que vous touchez une vérité qui transformera votre vision des choses, cette révélation durera encore demain et après-demain. A travers ce livre, ce tableau ou cette musique, votre esprit s’est élevé très haut et a saisi un sens. C’est comme un élément éternel qui est entré en vous et qui ne vous quittera jamais plus. Lorsque vous avez trouvé ce sens, vous le posséder pour toujours.

    Si l’homme ne se décide pas à faire ce travail de la pensée, qui seul, peut ordonner et orienter sa vie, il descend peu à peu dans les régions inférieures de la conscience, et c’est là qu’il trouve l’Enfer, car l’Enfer aussi est en lui. L’homme contient l’Enfer et le Ciel, et cela dépend de lui d’aller vers l’un ou vers l’autre. Alors, ne vous laissez pas influencer par tous les ignorants qui veulent vous éloigner de la vie spirituelle, en vous persuadant qu’ainsi vous serez plus heureux. C’est impossible ; le sens de la vie, vous ne le trouverez pleinement ni dans la famille, ni dans la profession, ni dans l’art, ni dans les voyages, etc. Ils peuvent être des moyens qui vous aident à vous approcher de ce sens, mais ils ne le contiennent pas. La preuve ; une famille, un métier, les voyages ou l’art n’ont jamais empêché un homme ou une femme de se suicider.

    Le travail de la pensée est difficile, c’est une entreprise de longue haleine. Parce que la méditation ne leur donne pas rapidement des résultats, beaucoup se découragent et en abandonnent la pratique. Mais pourquoi sont-ils tellement pressés ? Il faut du temps, beaucoup de temps, pour extraire ce qui est le plus précieux. Quelle quintessence peut-on extraire en quelques minutes ? Alors, du moment que vous avez commencé ce travail de la pensée, ne vous arrêtez plus, c’est à cette seule condition que vous aurez vraiment des résultats. Quand je parle de la pensée, je parle d’un instrument dont nous devons nous servir pour nous rapprocher d’un monde intérieur de lumière, de certitude, de paix ; car si la pensée ne nous rapproche pas du monde de la lumière, elle nous rapprochera du monde des ténèbres.

    Le sens de la vie est la récompense d’un travail intérieur patient, incessant, que l’homme par sa pensée a entrepris de faire sur lui-même. Lorsqu’il est parvenu à un certain état de conscience, il reçoit du Ciel un atome, comme une goutte de lumière, une quintessence qui imprègne toute la matière de son être. A partir de ce moment-là, son existence prend une dimension et une intensité nouvelles, les événements lui apparaissent sous une nouvelle clarté, comme s’il lui était donné la connaissance de la raison de toute chose. Et même la mort ne l’effraie plus, parce que cet atome, justement, cet électron lui découvre l’immensité d’un monde éternel où il n’y a plus de dangers ni de ténèbres, et il sent qu’il marche déjà dans l’espace illimité de la lumière.

    http://herosdelaterre.blogspot.fr/

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  • Astro Maya - Vendredi 22 Novembre 2013

    Vous

    Tendance du jour : accorder matériel et spirituel

    Votre combat dans la vie doit avoir lieu envers vous-même et non contre les autres. Ne recherchez pas les satisfactions que peut procurer une vie matérielle, ne vous obstinez pas dans une existence trop spirituelle. L’une est liée à l’autre, aussi c’est dans un ancrage entre ces deux pôles que vous trouverez votre équilibre. Votre ego doit être canalisé dans ses exigences afin d’accorder vos aspirations spirituelles avec la vie dans ce monde. Et c’est en évoluant que vous parviendrez naturellement à ce que ce soit votre âme qui oriente votre vie.

    Vous et les autres


    Tendance du jour : la concorde

    Il est temps de combattre les mauvaises habitudes que vous avez pu accumuler envers les autres. En effet, les bons sentiments ne sont guère à la mode et l’influence des films toujours plus violents et prônant l’idée que la vengeance doit remplacer la justice, ne sont pas un exemple à suivre. Prenez systématiquement le contre-pieds de toutes ces tendances, qui, si vous n’y prenez pas garde, risquent de vous influencer dans vos rapports avec ceux qui ne sont pas en accord avec vous. Souciez-vous d’être toujours un jardinier de paix, semant les bonnes graines là où poussent les mauvaises herbes.

     

    ton ange est là

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  • Compassion, mon Amie



    Comme je compatis à toute Vie, à tout Être, quelle que soit sa forme, son expérience !

    Je compatis à toute situation, qu’elle soit mienne ou inconnue. Je compatis à ma propre destinée, au jeu qui se révèle doucement chaque instant.

    Ainsi, comment puis-je m’en vouloir d’avoir fait tel ou tel choix ? Comment puis-je envier l’aventure de mon voisin, convoiter la réussite d’un autre, ou me poser des questions inadéquates sur le fait d’aimer tout, la Vie, la réalité, les rêves, l’Absolu ?

    Je suis née pour devenir une créature consciente de son Univers.

    Je suis née pour me réveiller à la Splendeur de toute chose.

    Je suis née pour être moi, emplie de « défauts » et de « qualités » humaines.

    Si je pense pouvoir m’éloigner de ce chemin, c’est que je cherche à convoiter celui d’un autre.

    Si je décide de regarder mes imperfections, c’est que je doute de ma réalité unique.

    Si je me lasse de certaines situations, c’est que j’ai oublié que tout n’est qu’un leurre, que je reconstruis chaque jour, lorsque je rouvre les yeux sur ce monde aux folies multiples.

    Alors, j’aime ! J’aime Moi et moi. J’aime mon ouvrage du moment. J’aime tout ce qui m’entoure, des fleurs aux oiseaux dans le ciel. J’aime à cœur perdu cette minette qui s’affale sur mes genoux, lorsqu’elle pressent que je vais voguer dans les nuées sans limites. J’aime respirer la Vie, la sentir vibrer, s’affoler, s’alanguir, se reposer, s’étirer, être.

    J’aime par-dessus tout, tout ce Qui est, ici et maintenant.

    J’aime ce que d’autres trouvent laid, cruel, innommable, insupportable. Non pas par irrespect ou désinvolture, mais parce que je n’ai pas choisi cet aspect de ma vie. Je compatis de toute mon âme, de tout mon cœur, de tout ce Que je suis, et déverse mon Amour sans fin vers ceux qui peinent, qui souffrent, qui se sacrifient, qui pleurent, qui abdiquent. Je leur rends grâce de me faire remarquer ce que je n’ai pas choisi d’être. Je les remercie de me montrer leurs périples, tout en n’y prenant pas part. Je pourrais sembler sans cœur, impassible, irrespectueuse ou opportuniste, mais il n’en est rien. Je comprends la souffrance pour l’avoir connue maintes fois et encore. Je comprends le manque, car il a fait un bout de route en ma compagnie. Je comprends l’absurde pour l’avoir vu se poser sur mon cœur, et versé des larmes amères, tant de fois.

    A ce que je ne peux changer : je le regarde avec compassion, même si quelque chose en moi se rebelle, ou souffre de tant de sottises inutiles.

    A ce que je ne peux comprendre, je laisse mon intellect analyser le fait et trouver où le ranger, pour plus tard, ou pour jamais.

    A ce que je ne peux aimer, je m’en excuse et souris tendrement. Je ne suis pas un dieu, un surhomme, une fée, une divinité, une magicienne, je suis moi, tout simplement. Je m’octroie des choix et les expérimente jusqu’à la lie. Je dissèque, pour mieux goûter, tout ce qui se présente à moi, pas à pas, instant après instant. Et je me rassasie de tout ce qui m’est offert ou de tout ce que j’ai décidé de savourer. La vie est si immense et généreuse.

    Si j’analyse le mot « compassion », il résonne en moi : avec passion. C’est ainsi que je mène mon expérience : avec passion.

    Ma passion m’a révélée de merveilleuses aventures, puisque ne sachant jamais faire les choses à moitié. Elle m’a permis de me tromper et de croire aux légendes, aux contes doucereux, aux histoires d’Amour, et de dégringoler la pente amère de la désillusion. Ma force m’a donné la possibilité de me relever à chaque fois, pour repartir de plus belle, vers des ailleurs plus cléments. Et j’y suis parvenue, tout en étant si loin du drapeau « arrivée ». Il me reste tant à voir, tant à découvrir, qu’une seule vie ne me suffira jamais.

    J’aime. J’aime dans l’absolu depuis ma naissance. Je suis peut-être « fleur bleue », mais n’est-ce pas ainsi que l’on reste dans une certaine frivolité, une insouciance salutaire et non suicidaire ? N’est-ce pas cette petite folie qui nous maintient la tête hors de l’eau quand tout se noie autour de nous ? Dans mon for intérieur, je sais que rien ni personne ne pourra détruire totalement cette partie de moi. Je suis elle, elle est ma personnalité et nous jouons bien ensemble.

    Je compatis pour ceux qui ne savent plus rêver, qui ne peuvent plus s’émerveiller d’un vol de papillon, d’un éclat de rire de bébé, d’une brise douce qui câline nos sens, d’un regard amoureux qui fait frémir notre cœur. Je compatis pour ceux qui ont choisi la lutte, contre la vie, contre la mort, contre les injustices, contre tous, contre eux. Je les aime d’autant plus que je comprends leur expérience, puisque c’est un des choix que j’aurais pu faire. Je compatis envers tous ceux qui se battent pour leurs coutumes, leurs valeurs, leurs opinions, leurs devoirs, leurs acharnements, leurs convictions, leurs défaites. Je les embrasse toutes. Personne n’a jamais eu tort, personne n’a jamais eu raison, mais tous ont suivi leur cœur, leur famille, leur habitude, leur tradition, leur bon sens.

    C’est ainsi que je m’émerveille de la complexité que nous avons décidé d’expérimenter. Cet écheveau, garni de possibles, est le meilleur refuge qui soit, lorsque la lassitude envahit chacun de nous. Il ne nous reste qu’à cueillir la pomme qui réjouira nos sens et nous fera ressentir que la Vie peut tenir dans une seule main.

    La compassion envahit ce Que je suis et l’Amour infini l’accueille dans son berceau éternel…

    Comme vous êtes Beaux et Belles ! Et quel bonheur d’être en votre compagnie …quel doux bonheur.

    Avec passion, j’aime, je vous aime !

    Rédigé par : Pascale Arcan

    http://www.lesperlesdelunivers.fr/

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  • La compréhension juste des qualités de l’Être




    Lors de notre parcours dans l’expérience humaine, depuis notre naissance, et notamment dans l’enfance, nous avons été impressionnés (nous avons assimilés des principes en nous) par les comportements extérieurs, en particulier ceux de nos éducateurs, d’abord nos parents puis les enseignants. Si ces comportements n’étaient pas juste, qu’ils ne reflétaient pas de pures qualités de l’Être, à notre tour, nous pouvons être en difficulté pour les exprimer, n’ayant pas été confrontés au bon exemple.

    Il est sûr que chacun à ses forces et ses faiblesses, et s’exprime simplement selon son niveau de conscience et ses croyances sur la façon dont devrait de dérouler la Vie. Déjà, la Vie est-elle sensée se dérouler de telle ou telle manière ? N’est ce pas un moyen d’essayer de contrôler celle-ci ? Ne serait-il pas plus sage de s’abandonner à Son courant, sachant que qu’Elle est toujours de notre côté, et qu’elle nous soutient constamment. La Vie, et j’entends par là La Source en nous, est en effet, à chaque instant, d’un amour constant et d’une Présence sans conditions. En acceptant de cesser de donner de la valeur à notre mental linéaire (moi, je sais ! et je juge), en osant se redéfinir différemment, du point de vue de la conscience (dans le cœur), nous nous alignons sur les principes corrects de la Vie, ceux qui nous élèvent, nous rendent autonomes et puissants. Et cet alignement nous permet de vibrer de façon juste, à notre manière, les principes universels.

    Ainsi, il est important de redéfinir, de réhabiliter la définition juste des qualités qui dictent nos comportements, et je vous invite, dans une introspection personnelle, à voir de quelle manière vous comprenez ces mots, et comment ils vous ont influencé :

    - L’autorité, ce n’est pas l’autoritarisme. L’autorité bienveillante permet d’offrir à l’être une ligne directrice, de se tenir droit, et de lui fournir des repères sains pour ses choix personnels. Elle apprend le positionnement juste, et véhicule une rigueur bienfaitrice.

    - La rigueur, ce n’est pas la rigidité. Elle dirige vers l’autonomie et la constance, elle offre de la force et soutient aussi la droiture. La rigueur est une base essentielle qui permet, dans le quotidien, de rester fidèle à ses choix, de se respecter et de s’honorer. Elle est une des bases de l’Amour.

    - L’Amour, ce n’est pas la permissivité. L’Amour est une force (la plus grande d’ailleurs) et porte l’être vers son niveau le plus haut. L’Amour, c’est d’abord se respecter et s’honorer en se reconnaissant en tant d’Être Divin. Puis c’est aussi s’aimer dans son humanitude, dans la reconnaissance de cette condition imparfaite. L’Amour commence par soi, et permet de se dire : « je choisis de m’aimer, même si je suis triste, même si je suis fatigué, même si je suis frustré, angoissé… car je sais que ces expériences sont temporaires, alors que l’Amour est la base de la Vie ». Nous sommes l’expression de l’Amour en incarnation et nous apprenons à nous améliorer dans ce contexte, par nos interactions, nos relations. L’amour que nous choisissons de nous porter (et par extension, d’offrir aux autres) nous invite ainsi à poser des limites saines (ne pas tout permettre), et à exprimer de la compassion.

    - La compassion, ce n’est pas de la pitié. La pitié est une expression de la personnalité inférieure, inconsciemment, elle contient un jugement, et elle est concentrée sur la souffrance. La compassion, c’est offrir la lumière de la Conscience Divine sur une situation, sans y porter un quelconque avis, et sans entrer dans la souffrance, mais en restant tourné vers la solution. La compassion est ainsi une force qui nous permet d’exprimer notre sensibilité.

    - La sensibilité, ce n’est pas la sensiblerie. Elle est une qualité supérieure qui nous permet de vibrer et d’exprimer notre créativité. Elle nous aide à identifier nos émotions pour mieux apprendre à les maîtriser. Elle nous maintient dans notre authenticité et notre Unicité. La sensibilité est donc une qualité qui nous aide à nous affirmer.

    - L’affirmation de Soi, ce n’est pas du dirigisme ou de la supériorité. L’affirmation de Soi soutient le développement et le rayonnement de la personnalité, et l’expression, encore une fois, de l’Unicité. Elle permet de se définir dans ce monde, sans rapport ou comparaison avec l’extérieur, mais dans la reconnaissance de notre valeur et de nos qualités personnelles, de nos spécificités. Nous sommes tous Divins, issus de la Source, et nous avons tous choisi de l’exprimer d’une manière unique, telle que nous l’appréhendons. Et cela est Juste et Respectable. Nous rayonnons ainsi de confiance.

    - La confiance, ce n’est pas de l’orgueil. L’orgueil a pour base la peur de ne pas être à la hauteur, et s’appuie sur le complexe de supériorité, une facette de la personnalité inférieure (dans la non reconnaissance et compréhension des principes divins). La confiance, à l’opposé est une qualité divine, l’affirmation de l’Être qui se reconnaît lui-même, et qui affiche son authenticité. C’est une appréciation et claire de Soi, dans la Simplicité.

    Redéfinir ces qualités de manière juste, les reconnaître et désirer les incarner, à notre niveau, et suivant notre compréhension du moment, qui va toujours en s’élargissant, nous amène à vibrer notre note personnelle d’une manière plus juste et à équilibrer nos relations, autant intérieures que d’extérieures. C’est un exercice de Justesse.

    Rédigé par : Sophie Riehl

    http://www.natureetharmonie.net/

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