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Règles de belle vie - Joéliah
- Par reikiland
- Le 28/12/2013
Voici quelques belles règles de vie qui peuvent changer réellement notre vibration et notre vie. Une belle œuvre d’élévation à vous offrir avec amour et courage si vous voulez évoluer :
* Respectez la Vie sous toutes ses formes, du mieux possible.
* Mettez toujours l’amour et la transparence au premier plan.
* Ayez des idéaux élevés et respectez-les.
* Respirez lentement et profondément.
* Mangez sainement dans le calme.
* Bénissez votre nourriture et remerciez la vie pour tout ce qu’elle vous donne quotidiennement.
* Vivez intensément chaque instant présent.
* Préparez votre futur en visualisant un bel avenir et en embellissant votre présent.
* Semez de bonnes graines pour une récolte abondante.
* Centrez-vous dans votre cœur avant d’entreprendre une activité importante.
* Ecoutez vos pensées intérieures et annulez vos pensées négatives.
* Remerciez quotidiennement pour tout ce que vous avez.
* Remerciez pour ce que vous n’avez pas encore et qui arrive.
* Glorifiez la Vie pour la beauté de la nature qui vous entoure.
* Recueillez-vous et priez régulièrement.
* Prononcez des phrases positives à haute voix.
* Cherchez toujours le meilleur en tout
* Ouvrez-vous aux autres.
* Aimez tout sans attendre de retour, l’amour agit comme un boomerang et vous reviendra multiplié.
* Parlez avec réflexion et sagesse. La parole est créatrice.
* Partagez votre bonheur avec les autres.
* Riez chaque jour.
* Marchez dans la nature aussi souvent que possible.
* Apprenez à bien vous connaître.
* Développez vos qualités.
* Surveillez vos défauts et trouvez quelle qualité ils peuvent dévoiler.
* Offrez des cadeaux simplement par plaisir.
* Respectez votre corps et aimez-le.
* Pardonnez sincèrement et demandez pardon facilement.
* N’entretenez pas de ressentiments.
* Libérez vous des croyances limitatives.
* Soyez grand dans votre humilité.
* Ayez confiance en vous et dans les autres.
* Ecoutez votre ressenti et exprimez-le.
* Soyez honnête avec vous et avec les autres.
* Cultivez vos talents, exprimez votre créativité.
* Offrez le meilleur à la Vie
* Remerciez avec le sourire.
* Ecoutez de la musique classique ou vibratoirement élevante et relaxez-vous.
* Pratiquez une technique d’éveil spirituel : prières, méditations, appels de rayons et de flammes divines…
* Cultivez l’empathie, mettez-vous à la place des autres tout en vous respectant.
* Soyez un modèle pour les autres.
* Réglez tous vos problèmes en y mettant de l’amour.
* Demandez souvent l’aide des forces divines.
* Dépassez toujours vos capacités.
* Allez au bout de vos buts.
* Souriez régulièrement.
* Cherchez et trouvez la lumière qui est en vous, c’est la porte du Ciel.
* Détachez-vous de la possessivité de la matière tout en acceptant d’avoir ce qu’il convient pour vivre ses rêves.
* Soyez sûr que Dieu peut tout vous donner.
* Analysez votre vie et changez ce qui vous gène.
* Réalisez une œuvre artistique.
* Réparez vos erreurs.
* Acceptez vos responsabilités.
* Ayez de la patience et persévérez.
* Ayez la volonté d’accomplir vos désirs.
* Purifiez-vous régulièrement.
* Bénissez votre maison et tous vos objets.
* Mettez toujours Dieu (ou le nom que vous donnez à la Source ou énergie de base) au premier plan de votre vie.
* Confiez votre vie et votre cœur à votre être réel.
* Accomplissez tout avec amour dans la lumière.
* Remerciez votre Moi supérieur pour tout ce qu’il fait pour vous chaque jour.
* Soyez heureux et élevez-vous dans la sérénité de la splendeur divine.
Bon travail dans la lumière !
Joéliah©
Je l’ai éditée en 2002 et mise en pratique et ma vie se transforme magnifiquement depuis.
Vous pouvez partager en toute liberté en citant la source lejardindejoeliah.com
Pour un meilleur partage, indiquer la source de votre lecture, en respectant le texte, y compris cette ligne. http://etredelumiere.ordi-netfr.com/
"J’ai l’espoir que les gens ne prendront pas ce qui est dit comme la vérité,
mais la découvriront par eux-mêmes, parce que la vérité n’est pas dite, elle est réalisée."
Ne prenez rien pour vérité. La vérité, votre âme la connait, car la vérité ne s’enseigne pas « elle est ».
Prenez l’habitude de vérifier par vous-même, de vous renseigner, de vous informer et d’écouter votre sagesse intérieure. Vous avez votre Libre arbitre. Ne discutez jamais une intuition. Suivez-là. L’univers est gigantesque ! La vie dans l’univers est au-delà de l’imagination humaine ! Vous ne concevez qu’une infime partie de ce que peut être la vie..
« Nous sommes tous des visiteurs de ce temps, de ce lieu. Nous ne faisons que les traverser. Notre but ici est d’observer, d’apprendre, de grandir, d’aimer… Après quoi nous rentrons à la maison. » Proverbe aborigène
http://etredelumiere.ordi-netfr.com/Reglesdebellevie.php -
Le miroir
- Par reikiland
- Le 28/12/2013
Jamais vous ne pourrez vous voir vous-même dans un miroir. Un miroir peut être utile à votre toilette, voire indispensable, mais ce n’est pas dans un miroir que vous trouverez la révélation de vous-même. Vous ne pouvez pas vous regarder priant dans un miroir, vous ne pouvez pas vous voir comprenant dans un miroir. Votre vie profonde, celle par laquelle vous vous transformez vous-même, c’est une vie qui s’accomplit dans un regard vers l’autre.
Dès que le regard revient vers soi, tout l’émerveillement reflue et devient impossible. Quand on s’émerveille, c’est qu’on ne se regarde pas. Quand on prie, c’est qu’on est tourné vers un autre ; quand on aime vraiment, c’est qu’on est enraciné dans l’intimité d’un être aimé. Il est donc absolument impossible de se voir dans un miroir autrement que comme une caricature si l’on prétendait y trouver son secret.
La vie profonde échappe à la réflexion du miroir ; elle ne peut se connaître que dans un autre et pour lui. Quand vous vous oubliez parce que vous êtes devant un paysage qui vous ravit, ou devant une œuvre d’art qui vous coupe le souffle, ou devant une pensée qui vous illumine, ou devant un sourire d’enfant qui vous émeut, vous sentez bien que vous existez, et c’est même à ces moments-là que votre existence prend tout son relief, mais vous le sentez d’autant plus fort que justement l’événement vous détourne de vous-même. C’est parce que vous ne vous regardez pas que vous vous voyez réellement et spirituellement, en regardant l’autre et en vous perdant en lui. C’est cela le miracle de la connaissance authentique. Dans le mouvement de libération où nous sortons de nous-mêmes, où nous sommes suspendus à un autre, nous éprouvons toute la valeur et toute la puissance de notre existence…
Dans ce regard vers l’autre, nous naissons à nous-mêmes.
Texte de Maurice Zundel :
http://www.clindieu.com/clin%20dieu/miroir.htm -
Douleurs au dos : cataplasme d’argile
- Par reikiland
- Le 28/12/2013
Comment soulager les douleurs au dos ?
En cas de lumbago ou de mal de dos, l’argile est utilisée pour atténuer et soulager les douleurs au dos. Le cataplasme d’argile est un des remèdes naturels incontournable de nos grands-mères !
Remède de grand-mère contre le mal de dos
Mélangez l’argile avec l’eau afin d’obtenir une pâte.
Faites chauffer la pâte au four pendant quelques minutes.
Appliquez le cataplasme chaud (non brûlant) sur la zone douloureuse du dos.
Laissez agir pendant 1 heure.
Ingrédients
3 c. à soupe d’argile verte en poudre
2 c. à soupe d’eau minérale
Équipement
Un récipient en verre
Une cuillère en bois
Un tissu
Les conseils de nos grands-mères
Ne pas utiliser des ustensiles en métal pour la préparation de la pâte d’argile car ils enlèvent les propriétés de l’argile.
Renouvelez le cataplasme si nécessaire. Ne réutilisez jamais le même cataplasme plusieurs fois. Jetez celui-ci après utilisation.
Où acheter de l’argile verte en poudre ? L’argile se trouve dans les magasins bio, parapharmacie et aussi sur internet.
Ne jamais laisser l’argile sécher.
Vous pouvez utiliser en parallèle la fameuse bouillotte de grand-mère pour vous soulager.
http://www.grands-meres.net/douleurs-au-dos/ -
Savoir donner et recevoir, un art sacré…
- Par reikiland
- Le 28/12/2013
Pour les plus âgés, encore aujourd’hui, pour les Chrétiens, c’est depuis leur plus tendre enfance qu’ils entendent parler de la valeur du don. Pour eux, savoir donner et recevoir, cela fait naturellement partie du partage et de l’échange, tel que le stipule la Loi cosmique. Ainsi, pour la plupart, ils ont appris à donner assez spontanément, sans attente, sans compter, sans espoir de retour comme l’une des conditions de plaire à Dieu et de mériter leur salut, ce qui en fait, du reste, des victimes facilement exploitables par les jeunes. Ils devaient s’astreindre à donner à autrui, à échanger avec eux, à partager le meilleur de leur être, de leur temps et de leur avoir, à les aider quand ils étaient dans le besoin, même si cela ne leur convenait pas toujours ou s’ils n’en avaient pas le goût, s’imposant de se rendre disponibles, au détriment de leurs propres nécessités, par exemple lors de corvées d’entraide auprès de nécessiteux, après une catastrophe ou un cataclysme. Il leur fallait simplement donner comme témoignage d’amour ou de charité, de civisme, de solidarité, de fraternité, d’humanité, parce que, disait-on, il n’y avait rien de plus noble que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. Mais les formateurs de l’époque ont bien peu parlé de la nécessité de savoir recevoir. Ils ont négligé d’expliquer qu’avant de donner, il faut avoir appris à recevoir. Car qui peut avoir sans avoir accepté de recevoir?
N’est-il pas étrange que ces gens, pourtant intelligents, aient appliqué la loi du don et du redon en insistant sur le don, mais en oubliant l’aspect du redon? Ainsi, ils ont imprégné la conscience de ceux qu’ils ont formés du principe du don, du partage et de l’aide à autrui, mais ils ont oublié l’aspect du rechargement, qui passe par le savoir recevoir dans le même amour, la même simplicité et la même dignité qu’il faut savoir donner.
Pourtant, celui qui donne, donne et donne encore, veillant à ne se recharger par lui-même, sous prétexte qu’il ne doit accepter de recevoir qu’en cas de dernière nécessité ou qu’il ne veut rien devoir aux autres, repousse la réalisation de ce qu’il désire ou de ce à quoi il aspire. L’échange à sens unique épuise et dévitalise, confinant à l’inanition… et à une disparition prématurée. Qui refuse ou néglige de recevoir dans le même état d’esprit qu’il sait donner se refuse le droit à la croissance, à l’expansion, à la prospérité, à la plénitude, d’où il ne peut que se flétrir et régresser.
En fait, c’est une manière de priver un auxiliaire d’incarnation du privilège de jouer son rôle fonctionnel d’instrument ou de véhicule de l’Approvisionnement divin, ce qui l’amène à s’écarter pour aller accomplir ailleurs sa mission, sans avoir pu s’identifier. Car, par contrat antérieur à l’incarnation, tout être incarné s’est fait accompagner d’auxiliaires lui permettant, s’il en maintient le choix, autant de développer ses compétences, d’affiner ses connaissances ou de démontrer les forces qu’il s’est découvertes, que d’accepter que d’autres suppléent aux carences qu’il porte dans d’autres domaines, puisqu’il ne peut tout apprendre et découvrir en une seule vie.
Il est certain que, pour éviter que l’eau d’une citerne, symbole ici de l’énergie omniprésente, stagne et se corrompe, il faut qu’elle circule constamment. Mais le fait de circuler constamment implique autant un dispositif d’évacuation qu’un autre d’alimentation. Car nulle citerne ne peut donner ce qu’elle ne contient pas ou ne contient plus : nulle citerne vide ne peut assurer la survie d’un assoiffé, encore moins d’un grand déshydraté. De même, tout appareil électrique fonctionnel comporte un dispositif d’entrée de l’énergie et un autre de sortie.
Dans toute communication, qu’elle soit de l’ordre de la conversation ou d’un autre ordre d’échange et partage, il faut deux pôles : un pôle émetteur et un pôle récepteur d’égale valeur. Dans l’ordre de la semence et de la moisson, un riche ne pourrait apprendre la nécessité et la grandeur de donner généreusement dans l’amour inconditionnel et impersonnel, sans jugement ni attente, s’il n’existait pas de pauvres. Il est aussi difficile de maîtriser la technique du véritable don amoureux que celle de la réception amoureuse. Après des années d’études, un médecin ne parviendrait pas à parfaire sa compétence sans l’existence des patients ou clients que sont les malades. Le diplôme d’enseignement d’un professeur ne servirait à rien, ne pouvant même pas lui servir de gagne-pain, s’il ne trouvait une institution lui permettant d’instruire d’éduquer des étudiants. De même, les parents qui ne peuvent procréer des enfants ou en adopter ne peuvent pas découvrir et comprendre grand-chose de ce rôle traditionnel de l’éducation, à part ce qu’ils peuvent saisir par l’observation de l’expérience d’autrui. Qui veut se divertir ou s’exercer au jeu du lancement d’une balle doit autant accepter de la lancer que de la saisir au vol, quand un partenaire de jeu la lui relance.
Celui qui dirige trop son énergie sur lui-même, ne sachant que prendre et accumuler, devient une citerne qui s’expose à exploser. Celui qui oriente trop son énergie vers les autres, ne sachant que remettre et donner, devient une citerne qui s’expose à imploser. Toute citerne doit rester ouverte à son niveau supérieur, comme à niveau inférieur, ce qui assure la libre circulation de ce qui y entre. Pour assurer que le niveau de l’eau y reste stable ou y augmente, il faut que le débit reste le même à l’entrée qu’à la sortie ou qu’il augmente à l’entrée.
Du reste, dans l’ordre du partage et de l’échange, un être ne doit partager que ses surplus, puisque la plus large part de ce qu’il s’attire doit servir à combler ses propres besoins, à lui assurer le nécessaire (qui est de l’ordre de la survie, même de la vie dans le bien-être) et l’essentiel (qui est de l’ordre de l’accomplissement personnel ou de l’évolution individuelle). Les vases communicants qui partagent par le bas amènent deux vases à s’équilibrer au point d’équilibre de ce que contiennent l’un et l’autre vases : la plupart du temps, l’un y perd beaucoup tandis que l’autre y gagne d’autant. Ceux qui partagent par le haut assurent que le vase le plus plein ne déverse dans l’autre que ce qui fait part de ses surplus, sans soustraire de la part qui assure sa propre efficacité et qui comble les besoins de sa propre vie : l’un partage, comblant une part de la vacuité de l’autre, mais sans s’appauvrir et sans s’exposer au danger de régresser, tandis que l’autre s’en trouve grandi ou enrichi.
Qui sait observer la Nature avec attention en tire toujours de salutaires leçons puisque tout se passe en haut comme en bas, mais de façon inversée. De même au Ciel, de même sur Terre, dans un Jeu amoureux éternel de réflexion du Sujet divin à son Objet, de son Image (sa Réalité) à sa Ressemblance (son Reflet ou sa Projection). Qu’une citerne reçoive trop par rapport à ce qu’elle émet ou qu’elle émette trop par rapport à ce qui l’alimente, il s’établit un déséquilibre inquiétant. Il en va ainsi de la vie que celui qui va faire ses courses ou ses emplettes gagne à apporter ses propres sacs lui permettant le transfert des denrées ou des biens d’un endroit à un autre. De même, celui qui veut recevoir doit préparer des paniers pour accueillir ce qu’il désire. Mais, dans toute transaction, comme dans tout achat, il devra offrir sa quote-part qui lui permet que l’échange se produise. Et il ne gagnerait rien à acheter des produits sans les rapporter à la maison, car ils ne les auraient pas au moment où il en aurait besoin.
Dans un univers où le Grand Approvisionneur cosmique, qui n’est nul autre que la Providence divine, s’exprime dans l’Unité, chacune des étincelles du Grand Tout doit être prête à recevoir les dons de la vie, comme à les partager avec ses semblables, voire avec toutes les créatures. L’acte de recevoir est aussi sacré et indispensable que celui de recevoir, et inversement. Tout ce qu’un être se voit proposer représente, en quelque sorte, un présent d’amour divin à travers l’un de ses instruments incarnés. À lui de déterminer s’il en a besoin ou pas, s’il lui convient ou pas, s’il capte la leçon qu’il peut en tirer.
Par sa loi de Causalité (action et réaction ou cause à effet), l’Univers ne comble que ceux qui savent trouver l’équilibre entre l’accueil et le don, s’ouvrant ensuite à l’accueil du retour tout en veillant immédiatement à la part de redon (environ dix pour cent de ce qui est reçu). Donner et recevoir font partie du même processus de partage et d’échange, sauf que l’acte de recevoir doit précéder celui de donner. N’est-ce pas le message que lance l’enfant nouveau-né, dans son dénuement et sa dépendance jusqu’à sa maturité?
Du reste, c’est même un service cosmique à rendre à ses compagnons d’incarnation que d’accepter de prendre ce qu’ils proposent d’offrir, si cela est d’une quelconque utilité ou d’un quelconque bénéfice. Il s’agit de recevoir, de bénir amoureusement, de partager et de rester ouvert à une plus grande abondance. C’est ainsi qu’un être apprend, en s’efforçant de lui ressembler, à devenir opulent comme son Créateur qui, à titre de Source de toute richesse, est d’une abondance infinie. Il suffit, même quand on a beaucoup, de continuer d’accueillir, de rester détaché de ce qu’on reçoit, de savoir remercier sincèrement pour ce qu’on est et pour ce qu’on possède déjà.
Nul être ne recevra jamais ce qu’il désire ou ce à quoi il aspire s’il ne s’ouvre pas à recevoir autant qu’il donne. Qui ne sait pas recevoir ne peut pas voir sa situation changer pour le mieux, attirer ce qu’il désire dans sa direction, car il exprime alors tacitement, en repoussant ce qui lui revient, le fait qu’il n’est pas digne de croître et de prospérer, qu’il ne mérite pas qu’il en soit ainsi pour lui. Il en est de même lorsqu’il économise inutilement : il proclame qu’il n’a pas droit à ce qui est cher, coûteux, onéreux ou qu’il n’est pas digne de se procurer une réalité au prix demandé. Il s’évalue à rabais, payant, par un retour de plus grande pénurie, le prix de sa piètre évaluation.
Car il appartient à chacun de s’évaluer dans l’accomplissement de ses œuvres, pas à Dieu. Ce qui fait la différence entre un riche et un pauvre, c’est que le riche sait se donner, se permet de dépenser sans compter, dénué de toute peur du manque, alors que le pauvre se croit emprisonné dans son rôle misérable pour la vie. De par l’arbitraire du destin, il se croit né pour un petit pain, il se fait valet au pays des rois. Pourtant, celui qui se réduit, jusqu’à se faire tapis, n’a pas à se surprendre qu’on s’essuie les pieds sur lui.
Comme je l’ai appris dans ma propre expérience, celui qui donne trop se dévitalise et s’appauvrit et il s’expose à l’ingratitude des autres au point, après trop de blessures apparemment injustes, de devoir s’isoler un jour dans une solitude amère. Les autres prennent trop rapidement pour un dû ce qui représente une offre gracieuse et un surplus dans leur vie, mais qui est fourni ou présenté régulièrement. Il est peu apprécié, dans son être et dans ses créations, parce qu’il s’évalue à rabais, s’installant dans un certain état d’infériorité, même si son motif secret consiste, dans sa dépendance affective, à acheter l’amour d’autrui. Nul n’accorde une grande valeur à ce qu’il réussit à se procurer à vil prix. Mais, dans un juste retour, c’est se faire bien payer pour son incompréhension de la dynamique de la vie.
En revanche, celui qui ne donne pas assez, s’attire la suspicion sur ses intentions. Considéré comme un égoïste, un exploiteur, un pilleur, un prédateur, il est repoussé, isolé. Souvent, dans sa possessivité et son accaparement, c’est lui qui, comme un misanthrope, choisit de s’écarter des autres par peur de se faire prendre injustement. Il s’assèche, il se crispe comme un rapace, il devient suspicieux, sévère et hargneux, très diviseur. Il voit un ennemi potentiel dans tout être qui l’approche. Pourtant, curieusement, c’est souvent l’être le plus généreux qui est le plus suspecté d’exploiter les autres. Mais cela, c’est une autre histoire…
N’est-il pas étonnant que des gens dépenses autant en achats superflus, vains et inutiles, qui ne servent qu’à masquer les apparences, à perpétuer la dualité, à renforcer la densité ou à entretenir les illusions, notamment la peur de vieillir et de s’enlaidir, alors qu’ils n’ont jamais d’argent pour se procurer les documents qui pourraient les instruire et former leur conscience à un plus grand bonheur et à une plus grande plénitude. Et ce sont souvent les Européens qui sont les plus pingres, les plus subtils et les meilleurs dans cette tentative de prédation.
Ainsi, combien de fois les gens ne me font-ils pas savoir, dans un désir de m’émouvoir de leur sort et de m’amener à leur fournir mes documents gratuitement : «Pour avoir lu certains de vos document inspirés, je sais à quel point ils sont pertinents et instructifs. Mais, à mon grand déplaisir, parce que je suis étudiant ou autre chose, je dois admettre que je n’ai pas l’argent pour me les procurer». Et si je ne m’exécute pas, on me boude, on se retire de la liste d’amis virtuels, on ne donne plus de nouvelles, on passe ailleurs pour reproduire son frauduleux manège.
Même chez les gens qui se disent éveillés, on veut tout obtenir pour rien, en oubliant qu’on ne peut prospérer que par la semence et la récolte. Tel on évalue un autre, tel on est évalué. Alors, basta! Ce ne sont là que des balivernes qui surgissent, chez un être ignorant, tiède ou indécis, de l’incompréhension des lois de la Vie! Se procurer ce qui fait le nécessaire assure la survie, mais se procurer ce qui représente l’essentiel, fait la vie, permet d’être vraiment. C’est ce qui ouvre la conscience et rapproche de l’accomplissement. Et cela, c’est question de savoir ce qui importe le plus de manière à bien établir ses priorités. Si j’avais agi ainsi, du temps de ma formation, je ne serais toujours qu’un endormi qui se prend pour un éveillé, pour avoir tenté de spolier en vain le savoir d’autrui. Ce qu’on ne sait pas apprécier à sa juste valeur ne rapporte jamais les bénéfices escomptés.
Investir où cela importe, c’est un don amoureux qu’on se doit à soi-même. Chacun gagne à savoir se procurer au prix indiqué ce qu’il juge important pour son évolution. Pourquoi un autre accomplirait-il ce geste gracieux à son endroit quand, dans sa peur de la pénurie, il n’a pas le courage de se donner à lui-même et ne fait pas confiance en l’Approvisionnement universel? En cela, la cause précède l’effet.
Recevoir, c’est se préparer à donner, quand donner, c’est se préparer à recevoir plus encore. Autrement dit, ici-bas, tout être reçoit pour donner et il reçoit par la suite dans la même mesure qu’il continuer de recevoir, tout en acceptant de redonner. C’est la seule manière de maintenir l’énergie vitale en circulation et de l’amener à se multiplier au centuple, dans la mesure où le don est accompli dans la pureté d’intention, la spontanéité, la sincérité, la confiance, l’amour, le détachement, le non-jugement, donc sans attentes ni arrière-pensées.
© 2013 Bertrand Duhaime (Douraganandâ) Note : Autorisation de reproduire ce document uniquement dans son intégralité –donc sans aucune suppression, modification, transformation ou annotation, à part la correction justifiée d’éventuelles fautes d’accord ou d’orthographe et de coquilles– veillant à en donner l’auteur, Bertrand Duhaime (Douraganandâ), la source, www.facebook.com/bertrand.duhaime, ou le site www.lavoie-voixdessages.com, et d’y joindre la présente directive, en tête ou en pied de texte. -
La Conscience divine règne en Vous…
- Par reikiland
- Le 28/12/2013
De nombreux Êtres vous observent et sont témoins de votre évolution… Des manifestations spontanées de conscience divine s’interposent dans votre quotidien lorsque vous leur permettez de prendre place. Ces moments vous permettent de vous aligner parfaitement avec l’Essence mère de la Vie, l’Essence première de ce que vous anime. Ces moments de grâce, que vous qualifiez parfois de “sublimes” libèrent en vous des quantas de lumière ayant une fréquence extrêmement élevée. Ils sont en fait des moments initiatiques créant une connexion interdimensionnelle avec tous les aspects de votre Être. Ces instants de grâce vous permettent de vous souvenir et ce, pour quelques instants, que vous faites partie d’un Tout, que vous faites partie du Tout. Libre à vous de réactiver ces parties dormantes de votre Être.
Il vous est totalement possible de changer votre réalité par l’entremise de votre conscience, par l’entremise de vos pensées, par l’entremise de votre vibration. Cette habileté est présente en vous en tout temps. Elle ne vous a jamais quitté. Il est impératif que vous preniez quelques instants afin de prendre une pause et d’entrer dans votre coeur, de vous connecter avec votre Essence et de laisser le mental de côté. Les pensées que vous entretenez quotidiennement vous limitent trop souvent.
Ne vous arrive-t-il pas de répéter sans cesse les mêmes pensées ? Vous êtes parfois prisonnier de votre propre moulin à pensées qui crée malheusement un espace de stagnation en vous, en votre être. C’est ainsi que vous créez une réalité qui semble parfois limitée. Peu importe le type de réalité que vous avez créé ou êtes en train de créer, il vous est possible de modifier le tout en tout temps. Il est même possible de changer une réalité qui est en voie d’être créée par le biais de vos croyances et de ce que vous émettez comme fréquences. Cela est totalement possible.
C’est en adaptant vos schèmes de pensées à la nouvelle énergie que vous pourrez créer une toute autre réalité. Une réadaptation, une réorganisation de vos schèmes de pensées.. Voilà ce qui vous assistera dans la co-création de votre nouvelle réalité. Si vous croyez être incapables de changer votre réalité, vous serez alors incapables de le faire. Votre réalité sera le reflet de ce que vous croyez. Il en est ainsi.
La respiration est clé. Les moments de calme sont impératifs. Vous êtes constamment bombardés par les pensées des autres, par ce qui est véhiculé dans la trame énergétique de tout ce qui vous entoure. Cette trame énergétique, cette grille énergétique est une autoroute d’information. Tout ce qui s’est passé sur Terre, tout ce qui se passe est inscrit dans cette trame. Et naturellement, vous êtes branchés à celle-ci. Vous êtes partie intégrante de cette trame. Vous n’en êtes point séparés. Vous ne l’avez jamais été.
Puisque vous êtes affecté par toute information qui est véhiculée par tout être, organisation ou groupe, il va de soit que vous affectiez également tout ce qui est existe par l’entremise de vos pensées, de vos croyances, de vos actions et de vos paroles. Vivez consciemment… Vivez pleinement via l’Essence divine qui vous anime…
La conscience divine avec laquelle vous désirez tellement vous connecter est déjà en vous. Elle l’a toujours été et le sera toujours. Vous êtes des êtres absolument extraordinaires mais vous semblez avoir oublié cet élément de base… Une amnésie collective a pris place sur Terre il y a de cela très, très longtemps. Cette amnésie disparaîtra par votre entremise. L’intervention divine que vous attendez impatiemment est déjà active en vous. Il suffit que vous en deveniez conscient.
Vous êtes ceux qui apporteront les changements sur Terre. Vous êtes ceux et celles qui se dissocieront de cette aménise collective. N’attendez pas que les êtres de lumière le fassent pour vous. Vous êtes les acteurs principaux de votre propre Vie. La mise en scène doit changer. Le scénario doit maintenant être écrit de votre coeur, et non de votre mental. L’égo doit laisser sa place à ce qui est réel.
Un changement s’impose puisqu’il y a répétition des mêmes expériences… Des guerres se créent sans arrêt… Des conflits, des drames, des traumas… tout cela est votre création que vous en soyez conscients ou non, que vous le vouliez ou non. Vous avez un rôle de premier plan dans la création de la réalité qui prend place sur Terre et ce, à chaque instant.
Lorsque vous entretenez des pensées de peur, vous les inscrivez dans votre champ électromagnétique, dans vos mémoires ancestrales, dans vos mémoires karmiques, dans l’Inconscient collectif, dans la trame énergétique qui existe autour de vous et en vous… autour de tout ce qui existe et en tout ce qui existe. Il en est de même, naturellement, pour les pensées empreintes de haine, de colère, de frustration, etc… Si ces fréquences existent en vous, en vos mots, vos gestes, vos pensées, vous créez un espace limitatif et limité en votre Être et en toute chose. Nous ne vous disons point de ne pas ressentir la peur car elle est parfois cet élément-clé qui vous sauvera la vie lorsque vous vous trouvez au coeur d’une situation de vie ou de mort. Ce que nous désirons souligner est tout simplement le fait que lorsque vous entretenez ces pensées, ces fréquences, vous changez complètement l’empreinte énergétique de tout ce qui existe.
Chacun et chacune de vous affecte le cours des événements sur Terre… Vous êtes tous et toutes, et ce, sans exception, des participants-clés à la création de la Vie sur Terre. Il devient donc urgent que vous soyez conscients et conscientes de ce que vous créez… Et, rappelez-vous, vous créez à chaque instant. Vous êtes des co-créateurs et vous devez vous réapproprier ces caractéristiques divines que vous avez oubliées.
L’on a déjà, à maintes et maintes reprises, évoqué l’importance des temps présents. Vous êtes entrés dans une ère d’énormes transformations pour la race humaine. Le déroulement de votre destinée ne dépend que de vous. Nous observons. Nous sommes témoins et nous voyons que la plupart des êtres qui foulent ce sol sur lequel vous marchez ne sont pas conscients de l’urgence de créer une toute autre réalité.
N’ayez point peur. Ne vibrez pas dans la peur. Cette fréquence est extrêmement basse et ne crée que chaos et confusion. Assez de cette vibration… Son règne est révolu. Relevez-vous et reconnaissez l’Être divin que vous êtes.
Rassemblez-vous en toute conscience en émettant des vibrations de joie, de compassion, de paix, de respect et d’amour… un amour universel. Un amour ne connaissant aucune frontière, aucune limite. Ces vibrations sont élevées et vous rapprochent de votre réelle nature. Vous n’êtes pas la peur, la haine, la rage, la colère… à moins que vous ne choisissiez de l’être. Vous faites partie d’un plan physique qui est également intimement lié avec les plans supérieurs… Ce plan vous permet de créer par l’entremise de vos pensées, actions, croyances et paroles. Devenez conscients de vos habiletés qui sont, pour la plupart, dormantes…
L’être humain est un être divin pouvant changer le cours des événements sur Terre. Il suffit qu’il vibre à l’unisson avec sa propre divinité, qu’il reconnaisse les pouvoirs créateurs qui sont siens. Paroles, pensées, gestes et croyances sont les graines qui permettent à de nouvelles réalités de prendre place. Cette création commence à l’intérieur de chacun de vous et s’installe ensuite dans les plans subtils et par la suite, prend place dans les plans physiques.
Il est possible de changer les divers scénarios qui ont été créés par votre entremise. Voilà la force que vous possédez. Éveillez-vous à cette magnificence qui existe en vous, en toute chose. Accueillez cette identité qui est vôtre. Ayez confiance en vos propres habiletés. Rassemblez-vous en paix afin de créer de nouvelles réalités pour la race humaine. Vous en êtes dignes. Rappelez-vous de votre réelle nature et osez, osez créer une réalité empreinte de respect, d’égalité, d’ouverture du coeur. Cela est votre destinée.
Réécrivez ensemble un nouveau scénario pour la Terre. Vous en faites partie et elle fait partie de vous. La séparation n’est qu’illusion.
Bon cheminement à tous.
Canalisé par Christine Poulin
praticienne en techniques énergétiques et shamaniques
Joignez-vous à nous afin de changer le cours des événements sur Terre… Osez changer les choses sur Terre et participez à la méditation du 30 décembre prochain “Transformation des événements de la denière année” www.ascensiondivine.com/aa_meditations_conscience_planetaire.htm -
Astro Maya - Samedi 28 Décembre 2013
- Par reikiland
- Le 28/12/2013
Vous
Tendance du jour : la libre volonté
La vie vous propose toujours des choix. Sachez reconnaître ceux qui vous apportent un bien de ceux qui risquent de vous nuire. L’angoisse vous est néfaste, la confiance vous est propice. Une nourriture saine vous apporte le bien être, les excès sont préjudiciables à votre santé. Soyez votre ami(e) et choisissez en toutes circonstances ce qui vous est bénéfique. C’est ainsi que vous constaterez votre amour pour vous-même.
Vous et les autres
Tendance du jour : la sagesse
C’est en cherchant à aider les autres, à vouloir les satisfaire que vous éprouverez le plus de satisfaction. Les ressentiments, la colère, le mécontentement, sont source de tension et peuvent aller jusqu’à vous rendre malade. Sachant que ce qui n’est pas donné est perdu, c’est pour vous un manque à gagner sur tous les plans de ne pas suivre la voie la plus élevée. -
Demain doit arriver car vous avez trop de rendez-vous à ne pas manquer
- Par reikiland
- Le 27/12/2013
Demain. Pouvez-vous prouver que demain s’en vient ? Pouvez-vous prouver qu’une quinzaine de jours vont suivre, sans utiliser vos calendriers ? Cela doit venir, car vous avez beaucoup trop de rendez-vous à ne pas manquer. Vous comptez sur le fait qu’une quinzaine de jours suivront à partir de maintenant. Vous pigez ? C’est de cette façon que vous savez qu’une quinzaine s’en vient. Mais jusqu’à ce que cet instant ne se produise (dans une quinzaine), vous ne pouvez en prouver l’existence.
Dans deux semaines à partir de ce jour-ci, votre destinée se manifestera dans votre vie, conformément aux attitudes émotionnelles que vous glanez aujourd’hui. En effet, votre vie changera dans une quinzaine en accord avec la connaissance acquise aujourd’hui. Cela se manifestera car, ayant élargi votre réalité, et en vérité aussi votre perception, votre destinée manifestée s’élargit par le fait même. Ce que vous lisez en ce jour peut influer sur vos lendemains si vous envoyez à votre âme le message de retirer le gardien de la porte.
Les êtres humains sont très inconstants. En effet, vous êtes des créatures mouvantes. Oui, vous l’êtes. Les lois du karma, du péché éternel et tous ces concepts véhiculés par un enseignement limité relèvent d’un entendement limité parce que, lorsque vous faites intervenir l’élément choix, vous pouvez changer d’idée àn’importe quel moment. De cette façon, vous pouvez changer votre destin. Votre destin est changé automatiquement car il est le moment où se situe votre esprit, le maintenant, tel qu’il est perçu maintenant. Et si vous vous réveillez un beau matin et que vous changez votre attitude dans son ensemble, vous cesserez alors d’être un chaton apeuré et vous vous réveillerez aussi brave qu’un ours rempli d’un nouveau savoir inné. Votre destin, votre « maintenant» seront alors changés. Vous êtes très flexible. Vos vies sont très flexibles et le tout repose sur le choix. Le choix. Ne vaut-il pas mieux aimer que haïr ? Pardonner plutôt que faire la guerre ? Ce n’est qu’une question de choix.
Considérez ce maintenant-ci. Regardez où vous êtes en ce moment même, assis ici, ou couché là. Ce maintenant, ce moment précis dans le temps est le résultat de ce que vous avez fait il y a quinze jours. Vous l’avez programmé. Il s’est actualisé et c’est ce qui a créé ce moment-ci. L’humanité dans son ensemble fonctionne selon le même principe. Vous n’êtes pas différents de vos frères qui vivent dans l’espace. Ils font ce qu’ils ont à faire, pourrait-on dire. Vous êtes identiques à eux. Donc la destinée de la race humaine est effectivement une destinée manifestée, basée sur l’attitude commune de chaque être humain. Et comme on le voit en ce moment, la destinée se manifeste dans le temps en fonction de l’attitude générale qui existe en ce moment même.
Comment pouvez-vous parler du futur? Il est ardu de spécifier des jours et des moments. Mais parler du futur de l’humanité est simple, car l’attitude collective engendre le destin qui se manifeste dans la vie de chacun.
Dans ce livre, je vais vous entretenir du drame humain, de la destruction de l’homme et de la nature par l’homme. Ces prédictions qui sont faites à partir du drame humain et que vous maintenez hors de votre champ de vision, sont entièrement basées sur le mouvement collectif de l’humanité à l’heure présente. Elles sont basées sur les buts de l’humanité en ce moment précis. Et ces objectifs, comme on les voit en ce moment, sont en voie de se manifester. Rappelez-vous que ce que vous ressentez et embrassez émotivement aujourd’hui doit se manifester, telle est la loi. Comprenez-vous ?
(*Maîtres : s’adressant à ses auditeurs, Ramtha utilise généralement l’expression « maître », car, selon lui, « chacun est le maître de son destin, l’auteur de sa vie, le seigneur de son royaume » )
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Il n’existe pas de mot plus mal compris et mal appliqué que celui de « Médium »
- Par reikiland
- Le 27/12/2013
Traduction de l’article « Mediumship » écrit par W.Q. Judge et publié dans la revue The Path de Novembre 1887, sous le pseudonyme d’« Albertus ».
Il n’existe pas de mot plus mal compris et mal appliqué que celui de « Médium ». Ayant été pris à leur compte par les spirites, ils lui ont donné une signification que l’on suppose naturellement aujourd’hui être la seule possédée par ce mot.
Les hommes prennent un mot, l’affublent d’une signification, l’enfourchent comme leur dada, et le lancent au galop tort et à travers, si bien que les autres s’en détournent avec terreur; ou bien encore, ils le condamnent à désigner une chose vile et inutile. Ceux qui ont donné au mot de médium le sens qu’il revêt actuellement, attribuant tout phénomène à l’œuvre d’esprits désincarnés, ont fait du médium ce qu’il est, et en attirant sur leur sein le Frankenstein qu’ils ont évoqué, ils l’enserrent étroitement dans leurs bras, qu’il soit ange ou démon. Pourvu que le médium transmette des communications d’« Esprits », il importe peu que ce soient des paroles de divine vérité, de purs mensonges, ou les pensées du médium lui-même; sans se donner vraiment la moindre peine pour découvrir la source de ces communications, ils les acceptent toutes et les attribuent aux Esprits. Ces procédés, et certains autres, ont découragé beaucoup d’investigateurs intelligents à poursuivre des recherches dans le domaine de la médiumnité, et ont amené tous les hommes, à quelques exceptions près, à se défier du mot et à le craindre.
Néanmoins, la médiumnité est, un fait, quel que soit le discrédit où il se trouve ou notre préjugé à son égard. Mais, en, réalité, la médiumnité ne consiste pas uniquement en soi-disant communications de décédés, ou en prétendues matérialisations et formes d’Esprits, dans les veines desquelles coule le sang rouge de la Nature, et dont l’haleine dégage fréquemment une odeur suspecte d’oignons. Bien qu’il n’y ait pas un aspect du spiritisme qui ne soit fondé sur une vérité, ces démonstrations sont presque toujours l’œuvre de gens peu scrupuleux cherchant profit ou renommée. Lorsqu’un médium acquiert une petite connaissance de quelque loi occulte ignorée, il s’imagine qu’il sait tout, qu’il le doit à ce qu’il appelle un esprit, et il applique immédiatement sa connaissance à son profit personnel. Trouvant qu’elle ne lui permet d’avancer que jusqu’à un certain point, et pas davantage, au lieu de tâcher de l’élargir, il s’efforce d’improviser sur ce qu’il sait, dans le but d’arriver à ses fins, ou pour gagner l’or qu’il convoite. Nous ne nions pas que ces êtres soient des médiums, car ils le sont effectivement comme le sont aussi les charlatans et les fraudeurs qui s’agrippent aux basques du spiritisme. Ce sont des médiums pour les passions inférieures et les élémentaux. L’erreur des spirites réside dans le fait qu’ils attribuent tous les phénomènes aux Esprits. La clairaudience, la clairvoyance, la psychométrie, l’hypnotisme, etc…, sont tous considérés comme l’œuvre d’un Esprit ou d’un Guide.
Tous les hommes sont des médiums ou des sensitifs, et à un point dont ils se doutent fort peu. Nous ne prétendons pas que tous les hommes soient des médiums pour les Esprits des morts, ou qu’ils soient tous des instruments pour les intelligences les plus sublimes, mais ils sont des médiums pour des élémentaux – incarnés ou désincarnés, ou encore n’ayant jamais été incarnés et ne devant peut-être jamais l’être – en résumé, des médiums pour tout ce que contient l’Astral, et parfois même pour ce qu’il y a au-delà de ce monde. Ils sont des médiums pour leurs propres sois Intérieur et Supérieur, ou pour ceux d’autres hommes, et très souvent, faute d’en reconnaître la nature véritable, ils les appellent « Esprits ». Le psychomètre est un médium ou un sensitif, mais il n’est cela qu’en rapport avec la manifestation de l’âme des choses. L’être plongé en hypnose est également médium, mais c’est pour la manifestation de ses propres pouvoirs latents ou pour ceux d’autres mortels. Le clairvoyant voit ce qui est enregistré sur l’Astral.
Le clairaudient peut entendre la voix d’Esprits, mais il peut tout aussi facilement percevoir la pensée, non exprimée en mots, d’autres êtres vivants, ou encore la voix de forces, ou de son propre Soi Intérieur ou Supérieur, qu’il ne reconnaît pas.
Tout s’inscrit sur la Lumière Astrale : la connaissance des âges, les actions accomplies de tout temps, les formes de tous ceux qui sont morts, et de tous ceux qui vivent actuellement, comme aussi les pensées de tous les êtres qui ont existé ou existent s’y trouvent photographiées. Les hommes raisonnables ont admis et admettent de plus en plus, chaque jour, qu’il y a des forces et des pouvoirs dans la nature, dont nous ne connaissons sa peu près rien. L’homme de science éclairé, dépourvud’idées préconçues, commence à comprendre, dans une faible mesure, l’âme des choses animées et inanimées, les lumières, couleurs et auras des corps non lumineux, les pouvoirs et les forces exercées par les objets immobiles, et leurs effets sur l’organisme humain, mais le véritable étudiant occultiste seul les connaît parfaitement.
La pensée va et vient en passant d’un homme à l’autre. A un niveau supérieur, elle passe, de même, d’intelligences plus évoluées à l’homme, le tout s’accomplissant dans une sphère au-delà du monde matériel. Les hommes, pour des causes diverses, s’élèvent à des degrés différents au-dessus de leur soi extérieur ordinaire et arrivent dans l’Astral où tout se déploie devant eux. Ils ne voient et ne lisent que ce qu’ils sont aptes à percevoir, et ne comprennent que ce qu’ils sont préparés à saisir. Par suite d’une exaltation consciente ou inconsciente, ils s’élèvent à un niveau où ils entrent en contact avec un courant quelconque de pensée ou de paroles non exprimées, qui pénètre dans leur cerveau, par diverses voies d’accès. Ils ne comprennent peut-être que partiellement ce message qui est toutefois tout à fait étranger à leur façon normale de penser et, sachant qu’ils ont entendu une voix, ils l’attribuent à un Esprit, quoiqu’en fait ce puisse être la pensée d’un être vivant qu’ils entendent, sentent, voient ou répètent. Tous ceux qui, grâce à leurs efforts, à un entraînement ou une sensibilité personnelle extrême, se haussent consciemment, ou sont élevés inconsciemment, au-dessus du monde matériel, et acquièrent ainsi la sagesse, la connaissance et l’inspiration d’autres plans sont des médiums.
Tout étudiant qui a recherché l’occulte, et qui a atteint son but, a été médium, depuis Bouddha, Pythagore, Zoroastre, Apollonius, Platon, Jésus, Boehme, jusqu’aux occultistes de temps plus récents ou d’aujourd’hui. L’Adepte, comme le Chéla, l’Initié comme le Néophyte, le Maître comme l’Etudiant sont des Médiums. Le Chéla n’est que le Médium pour ses propres possibilités latentes – son Maître et les lois de la Nature. Il en est de même du Néophyte, car tous, en s’efforçant d’atteindre un haut idéal, cherchent à s’élever jusqu’à un plan où les lois Occultes peuvent se manifester d’une façon visible ou intelligible par leur intermédiaire, et où les voix silencieuses du Grand Invisible deviennent perceptibles, qu’elles soient individualisées ou diffuses dans l’espace, comme le sont les forces. Tout parle, et possède une signification, rien n’est silencieux – tout parle, depuis la monade en passant par toute la nature, les forces, les sphères et l’espace, jusqu’au silence Omniscient – le Verbe à jamais vivant, la voix de la Toute Sagesse, et tous les hommes entendent ou sentent de façon ou d’autre, certaines de ces voix et en sont donc les médiums.
Il existe des forces qui n’attendent que la volonté ou le désir des âmes pour revêtir un certain degré d’intelligence humaine, et se faire entendre à ceux gui les ont fait naître à la vie matérielle, ou par leur intermédiaire.
Le corps de l’homme lui-même n’est qu’un Médium, si ce n’est pour son propre Soi Intérieur et Supérieur, è’est pour celui d’autres hommes, car nous exprimons les pensées et les actes d’autrui tout aussi souvent que les nôtres.
Il n’y a pas une seule parole de sagesse ou de bonté exprimée, une note de vraie musique composée,’ une ligne de véritable poésie écrite, un ensemble harmonieux de couleurs peint, qui n’ait été le résultat de la médiumnité. Il n’y a jamais eu d’explication d’une loi occulte ou de révélation d’un mystère divin par le canal d’un homme, d’un Chéla, d’un Etudiant, d’un Adepte ou d’un Maître, qui n’ait été due à la médiumnité.
Le Maître est plus élevé que le Chéla qui est son médium. Il existe quelque chose de plus haut que le Maître, et celui-ci en est le Médium. Envisagée sous son jour véritable, la Médiumnité est l’une des merveilles du Créateur. Celui qui possède cette faculté à un haut degré, qui comprend ce qu’elle est, et comment il peut en faire usage avec sagesse, peut se sentir l’objet d’une bénédiction suprême. Le mystique et le vrai Théosophe réalisant ce qu’est en réalité un Médium pourront bien hésiter avant de se joindre à ceux qui rejettent la divine sagesse, sous prétexte qu’elle a été transmise par un intermédiaire déclaré avec horreur par certains comme étant de nature médiumnique.
William Q. JUDGE
Posté par rusty james
http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/12/24/28735266.html