Une bise pour dire bonjour

Une interférence. Un transfert.

Une harmonisation parfois… mais bien souvent, une désinformation. Une absorption. Une intrusion. Et la Matrice le sait parfaitement.
 Un rituel social codé… et imposé
La bise n’est pas un geste neutre.
C’est un rituel de programmation sociale.

Car ce n’est pas toi qui choisis librement combien de bises faire, ni avec qui. Le code est culturel, inconscient, incontournable.

2 bises dans une région.
3 dans une autre.
1 ailleurs encore.

Une mécanique presque militaire.

⟶ Ce que tu crois être un signe de liberté est un conditionnement déguisé en coutume.

La bise n’est pas une preuve d’amour.
C’est un mot de passe pour entrer dans la tribu.

 Que se passe-t-il vibratoirement ? Lors d’une bise, ton visage entre dans le champ de l’autre. Et ce champ contient :
• ses pensées
• ses émotions
• ses croyances
• ses mémoires cellulaires
• ses entités, parfois

En te frottant, même une fraction de seconde, tu reçois une empreinte vibratoire.
Tu échanges plus d’informations dans cette seconde que dans une heure de discussion.

Le système le sait.
Et il a codé la bise comme un acte d’harmonisation descendante.
Ce n’est pas toi qui montes les autres à ta fréquence.
C’est souvent toi qui redescends à la leur.

 Pourquoi sur la joue ? Pourquoi à ce moment ? La joue n’est pas un hasard. Elle est connectée :
• au nerf trijumeau (passage d’information)

• au méridien de l’estomac (gestion de l’énergie reçue)

• au chakra de la gorge (juste à côté, relié à l’expression de ton identité)

Faire la bise, c’est se connecter par les codes de soumission. C’est valider l’autre, et se faire valider à travers un rituel non verbal.C’est un pacte silencieux : « J’appartiens encore à ce monde-là. »
 Les bises les plus toxiques sont celles qu’on fait par obligation. Tu le sens.

Quand tu ne veux pas. Quand ton corps dit non. Quand ton cœur se ferme. Et pourtant tu le fais.
Parce que ça se fait.
Parce que tu ne veux pas paraître impoli.
Parce que « ça ne se fait pas de refuser ».
Mais à ce moment précis…Tu donnes l’accès à ton champ contre ton gré.Et ce que tu ressens ensuite — fatigue, gêne, irritation, chute vibratoire — n’est pas psychologique. C’est énergétique.

 La bise dans les mondes éveillés

Chez les civilisations avancées, la bise n’existe pas.Pas sous cette forme.Car l’intégrité du champ personnel est sacrée.Le respect de l’espace vibratoire est total.
On se salue par regard. Par fréquence. Par champ de reconnaissance mutuelle.
Le contact physique n’est fait qu’en conscience. Jamais comme un automatisme.

 Et entre êtres connectés ? Lorsque deux êtres éveillés se font la bise… cela peut être une bénédiction. S’ils sont tous deux conscients. Ouverts. Alignés.
Alors la bise devient un pont de lumière.Une fusion éphémère de deux champs.Une activation mutuelle.Mais cela reste rare.
Car dans la majorité des cas, la bise reste un acte codé, et non une communion vibratoire.

 Comment s’en libérer sans heurter ? Tu n’as pas besoin de justifier.Tu n’as pas besoin de choquer non plus.Voici quelques suggestions vibratoires pour désactiver le programme :

• « Je préfère les regards aux bises, c’est plus profond. »

• « Je suis en processus énergétique, je ne fais plus la bise. »

• « Mon système énergétique est trop sensible, je te salue autrement. »

Et si la personne insiste… c’est qu’elle est encore dans le besoin d’adhésion tribal.

Tu n’es pas là pour nourrir les programmes des autres.
Tu es là pour incarner ta vibration.

Pour ma part… Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai dit, sans même vraiment comprendre pourquoi : « N’entre pas dans ma bulle qui veut. »

Je ne suis pas une adepte des câlins ou des bises avec des personnes que je ne connais pas, ou que je ne sens pas vibratoirement compatibles. Ce n’est pas un caprice, ni un trait de personnalité fermé. C’est une sensation intérieure très claire : pour moi, toute proximité physique est un acte énergétique, un passage de Fréquence, une ouverture, parfois même une intrusion.

Je peux être très proche de quelqu’un, sans pour autant souhaiter qu’il ou elle entre dans mon champ. Ce n’est pas une question de mental ou d’habitudes sociales… c’est une réalité vibratoire qui m’habite depuis toujours, sans que j’aie toujours su l’expliquer.

C’est pourquoi ce texte, trouvé sur les réseaux sociaux, vient mettre des mots sur quelque chose que j’ai toujours su sans pouvoir le nommer. Je le partage ici, non pour convaincre, mais pour offrir une piste de réflexion à celles et ceux qui, comme moi, ont peut-être souvent ressenti ce malaise sans savoir pourquoi.

« Voilà. Un texte qui, pour ma part, nomme avec justesse une réalité peu exprimée, mais profondément ressentie. »

Et toi, que ressens-tu face à ce geste si banal… mais peut-être pas si neutre? »

Namasté !  Suzanne Deborah.

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