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On vous a aussi demandé d'arrêter de rêver et de revenir sur terre.

Est-ce que vous vous rappelez de ce que vous rêviez de devenir lorsque vous étiez enfants? À quel point, à ce moment-là, tout vous paraissait possible.

Et puis, vous avez pris quelques centimètres et les discours des grands ont fini par avoir raison de votre foi aveugle en un avenir prometteur.
 

La langue bretonne connaît un très grand nombre de mots pour désigner le petit peuple, et dans cette « région infestée de lutins », il est commun de les distinguer par leur habitat.

Pierre Dubois attribue aux kornikaneds les bois, aux korils, courils, corrics, kriores, kéréores et kannerez noz les landes, aux poulpiquets les vaux, aux teuz les prés, aux boléguéans les tumuli, aux hoseguéannets les cercles de pierres et aux boudics, boudiguets et bouffon noz les fermes. Mais la Bretagne connaît aussi des « farfadets », « duz », « korrigs », « kerrighed », « komaudons », « korandons », « kormandons », « kérions », « ozégans », « fomiquets » ou encore « chorriquets ». Au fil du temps, toutes ces petites créatures jadis distinctes sont venues à être désignées sous l’unique nom de « korrigan »

Et si c’était possible d’aimer profondément qui l’on EST ?
Et si on avait la possibilité de se regarder dans le miroir et d’aimer profondément notre reflet, d’oser se réaliser tel qu’on EST sur Terre ?

Avoir confiance en soi, et osez avancer vers ce qui vibre.
 

Chers Frères et Sœurs de lumière, bien avant cette Ère d’opportunité, loin de vos premiers questionnements, de vos premières prises de conscience... et quoi que vous puissiez faire, être et vivre à l'heure d'aujourd'hui, vous avez tous été, à une période de votre vie, un rêveur doté d'une imagination sans limites. Ce rêveur dont je vous parle est tout simplement l'enfant que vous avez été et qui depuis un certain temps vous a été conseillé de redevenir.

Coucou tout le monde

Un message qui m’a été soufflé un bon nombre de fois sans que je comprenne réellement le sens est “retrouvez votre adolescence” Les personnes que j’ai accompagné en séance m’ont permise de mettre en lumière ce concept d’actualité. Ce que je peux observer chez beaucoup de belles personnes qui ont du mal à trouver leur place ou leur “légitimité” dans leur vie, est un gros vide au niveau du plexus. Cette espèce de joie insouciante, inconséquente et centrée sur un bonheur vraiment personnel.

Vous êtes programmé pour rêver en grand et pour persister lorsque les autres ont abandonné…

Le Choix de l’Amour

– Préparation à la Renaissance –

En tant qu’acteur divin du changement, vous êtes programmé pour rêver en grand et pour persister lorsque les autres ont abandonné. Même dans les moments les plus difficiles, il y a au plus profond de vos os la connaissance que d’une manière ou d’une autre les choses vont bien. Une partie de vous se rappelle que l’amour est votre véritable nature et qu’il triomphera même dans les moments les plus sombres.

Chaque jour de la vie renferme des moments merveilleux dont on n’est pas toujours conscient(e)s. Une journée que l’on considère comme «normale» est pleine de situations emplies de sens et que parfois on transforme en habitudes insensées quand on ne les vit pas avec les sens fermés.

«Bonheur» est un mot si grand qu’il semble évoquer seulement les grands événements ou les grandes réussites. Ainsi, comme ces instants ne sont pas fréquents, on pense alors qu’un tel bonheur se sert de manière espacée en doses très grandes, et seulement ainsi. Cependant, il se peut que l’on se trompe d’approche. Peut-être le bonheur ne réside-t-il pas dans l’extraordinaire, mais dans tous ces moments quotidiens que parfois on laisse passer sans trop y faire attention.

Une Légende dit que lorsque le monde était jeune, un vieux Sioux du Lakota, dirigeant Spirituel, était sur une haute montagne. Il eut une vision. Dans sa vision, Iktomi , le grand professeur de sagesse, paru sous la forme d’une araignée. Iktomi s’adressait à lui dans une langue sacrée que seulement les dirigeants spirituels du Lakota pouvaient comprendre.

Pendant qu’il parlait, Iktomi l’araignée, prenait un cerceau de saule avec des plumes, de la chevelure d’un cheval et des perles. Ainsi , il commençait à tournoyer et à tisser une toile. Il parlait au saule des cycles de la vie et de quelles manières ont commencé nos vies. Du nourrisson à l’enfance et l’âge adulte. Enfin la vieillesse où nous devons être soignés comme des nourrissons, complétant ainsi le cycle .

Même si nous passons beaucoup de temps à fantasmer au bonheur, nous faisons rarement les changements nécessaires pour l’obtenir.

Cela a une raison puissante : la peur. Que se passerait-il si ce que nous faisons ne nous aidait pas à être plus heureux, ou pire encore, gâchait tout ce que nous avons aujourd’hui ?

Les meilleures choses sont toujours gratuites : rêver, embrasser, rire…