etre heureux

Agissez différemment, et vous penserez différemment !

Pensez-vous que ce que vous pensez définit votre comportement ? Ou au contraire que ce que vous faites définit ce que vous pensez ? Peu importe votre réponse, vous avez raison, car les deux concepts sont connectés et l’influence est bidirectionnelle. Nos pensées peuvent influer sur nos actions et vice-versa. Vous n’êtes toujours pas convaincu ? Poursuivez votre lecture.

 

Vous demandez-vous souvent quelles mesures vous pourriez prendre pour être plus heureux ?

Lorsque nous parlons des questions pour être plus heureux, nous faisons références à ces interrogations qui nous placent face aux choses essentielles de la vie. Car c’est de cela que se compose le bonheur : de réalités et d’univers qui nous permettent d’être en paix et en accord avec nous-mêmes.

Déconnecter son esprit est l’une des clés pour être heureux. La vie nous demande beaucoup de choses. Trop de choses. La société ne veut pas seulement que nous soyons bons dans ce que nous faisons, elle veut que nous soyons les meilleurs. Tout ce que nous avons définit notre valeur. Si nous avons de l’argent, une grande maison, une bonne voiture et un corps de rêve, nous aurons beaucoup plus de valeur que si nous n’avons rien de cela. On en attend beaucoup de nous.

Nous transportons avec nous beaucoup de bagages inutiles et adoptons ainsi beaucoup de mauvaises habitudes. Nous devenons vite à l’aise avec ces habitudes, et nous avons besoin de rappels pour remettre nos idées en place.

Tout le monde veut être heureux, mais il y a certains comportements d’entêtement que nous avons tous dont nous pouvons nous passer de manière à laisser place au bonheur.

Pas tout le monde n’a eu la chance de vivre une enfance heureuse. Malheureusement, certaines personnes ont connu des expériences difficiles et, parfois, débordantes, qui d’une certaine manière ont laissé une profonde trace en elles, capable d’imprégner divers domaines de leur vie. Dans l’enfance, une partie des fils de notre vie psychologique se tissent. Pour cela, nous devons nous demander, peut-on être heureux après avoir vécu une enfance traumatique ?

Personne n’ose le reconnaître à voix haute, mais cela arrive très souvent : nous ne nous réjouissons pas que l’autre soit heureux. Cet autre peut être le conjoint, un ami d’enfance et même un enfant. Toutes les liens humains sont susceptibles de générer ce genre de sentiment.

Nous sommes censé, lorsque nous aimons vraiment quelqu’un, que ses peines et ses joies soient les nôtres. Il s’agit de ce que dit la théorie et l’accord tacite du politiquement correct. Mais cela n’est pas toujours le cas en pratique. Nous aimerions toujours disposer de la grandeur de nous réjouir que l’autre soit heureux. Mais le contraire se produit parfois.

Souvent, nous pensons que notre vie sera plus belle une fois que nous aurons atteint nos 18 ans, quand nous aurons rencontré quelqu’un, quand nous nous marierons, quand nous aurons un emploi plus satisfaisant, quand nous aurons un bébé, quand nous aurons perdu quelques kilos…

Ensuite, nous sommes fatigués, car nos enfants grandissent et nous demandent beaucoup d’énergie, et nous pensons que quand ils seront un peu plus âgés, nous serons heureux.

Je suis de plus en plus humain-e, de moins en moins parfait-e et pourtant, plus heureux-se. Je suis devenu-e mon propre médicament, et c’est la chose la plus importante. Peut-être que c’est l’âge, mais j’ai finalement compris que nous venons au monde pour “être” et “se laisser aller”. Parce que ça ne vaut pas la peine de se perdre parmi les autres pour cesser d’être soi-même, car les gens qui veulent me voir différente ne m’aiment tout simplement pas.